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    L'Homme de Londres
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    Pascal
    Pascal

    117 abonnés 1 385 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2023
    Présenté en CO à Cannes (2007), cet avant dernier opus à ce jour du hongrois Béla Tarr est reparti la corbeille vide.

    Les amateurs du cinéaste adepte du slow cinéma ( long plan séquence ou les scènes sont statiques et bercées d'une musique envoûtante) et dont la philosophie tragique le rapproche de celle de Schopenhauer, ne manqueront pas cette adaptation d'un roman éponyme de Simenon.

    Ce qui est formidable avec BT, c'est qu'en quinze secondes on identifie sa signature et son style.

    Sans doute plus facile d'accès que d'autres de ses opus, " l'homme de..." n'est pourtant pas la meilleure réussite de son auteur.

    La faute me semble t il au casting international doublé en français ( l'action a été tournée dans le port de Bastia) qui n'est mais alors vraiment pas du meilleur effet.

    Gâché par cet artifice raté, ce titre de Tarr n'est en rien déshonorant et reste tout de même de bonne facture.

    Le réalisateur hongrois nous présente ici une galerie de portraits de gens pas moralement recommandables sur lesquels règne une société gangrenée par l'argent.

    Il règne la médiocrité, la folie, la saleté spirituelle et la sidération. Tous ces thèmes sont déjà traités dans d'autres opus du cinéaste avec encore plus d'alacrité et de dégoût qu'ici.
    Caine78
    Caine78

    5 991 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2015
    Ah ça ! C'est beau, c'est élégant, Bela Tarr manie les mouvements de caméra comme peu de cinéastes, le pouvoir hypnotique du film faisant son effet pendant un petit moment. Cela dit, lorsque l'on adapte du Simenon, je m'attends à autre chose qu'un exercice de style certes parfaitement maîtrisé dans son genre, mais n'en restant pas moins assez ennuyeux, voire franchement irritant sur la durée. C'est simple, on a l'impression que le réalisateur aurait pu boucler le récit en moins d'une demi-heure tant il se complaît à se regarder filmer, non sans un certain talent donc, mais surtout avec une évidente prétention. Alors les esthètes pourront toujours m'avancer la qualité de la photographie (effectivement très belle), mais moi, quand je m'ennuie parce que l'on ne me raconte rien, et qu'en plus cela est totalement calculé, ça me gonfle rapidement, surtout lorsqu'il s'agit de l'auteur de « Maigret », dont l'œuvre a été parfois transposée avec une grande réussite. Dommage, car il y avait en plus un vrai potentiel dramatique à exploiter, une tragédie humaine que n'aurait pas renié Marcel Carné ou Jean Renoir... On devra donc se contenter de beaucoup de beauté mais surtout de beaucoup d'ennui, tout juste éclairé par l'intrigue policière lorsque Tarr daigne bien la traiter quelques instants. Irritant.
    momo M.
    momo M.

    34 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 décembre 2014
    Mais que c'est lent !!!! Les acteurs ont du tous prendre du lexomil, c'est pas possible. Je n'ai rien habituellement contre les plans fixes dans les films, mais là, il n'y a que ça et cela n'apporte rien. Les acteurs hongrois s'expriment en français, langue que de toute évidence ils ne comprennent pas, ce qui donnent aux rares dialogues un côté maniéré et ridicule. Relisez le roman de ce pauvre Simenon qui ne méritait pas ce traitement.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Avec "L'homme de Londres" sorti en 2007, Bela Tarr adapte Georges Simenon. Comme beaucoup de films du cinéaste hongrois, celui-ci met en scène un être asocial à l'existence vide, devenant le témoin d'un meurtre. En plus de graves difficultés de tournage, l'ensemble constitue un Bela Tarr mineur. La plupart de ses qualités demeureront dans le domaine formel. Le cinéaste orchestre de façon savante de nombreux plans séquence, filmés dans un beau noir et blanc. Les décors sont soigneusement choisis et font la part belle à la Corse et plus particulièrement la ville de Bastia. Enfin la musique s'avère envoûtante, presque obsédante, à l'image des films de David Lynch. Mais on peine à retrouver l'ambiance captivante des romans de Simenon. Là, il faut bien avouer qu'il ne se passe pas grand chose que et le rythme extrêmement lent de l'intrigue en découragera plus d'un. Un film de transition assez moyen.
    stillpop
    stillpop

    74 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2011
    L'histoire d'un aiguilleur qui assiste à un meurtre nocturne crapuleux, mais quelque chose l'empêche d'être franc du collier.
    J'ai lu pas mal de Simenon, Maigret et hors Maigret, et force est de dire que la dureté et le côté désagréable de l'écrivain est parfaitement rendu dans ce film hors norme.
    Le premier plan séquence a failli m'énerver avant que je comprenne d'où venait cette ombre noire que je croyais rajoutée, ensuite, rassuré, j'ai dégusté les innombrables moments de bravoure cinéphilique.
    Contrairement aux dires des critiques, on ne retrouve pas l'épique plan séquence des monte charge de « Damnation », tout est plus léché, plus spatial et moins contemplatif, presque plus rapide. Pour ne pas dire plus professionnel, donc moins extrémiste. Hélas.
    Il reste quelques beaux retournements caméra, la scène du commissaire dans le bar, et quelques surprises, la chaise et le billard dans ce même bar dans une autre scène. Egalement de beaux jeux de lumière, les volets dans l'appartement par exemple.
    Quelques problèmes de netteté, la scène de la cabane est « tremblée », mais j'ai ensuite compris que vu le vent à cet endroit, le réalisateur n'a sûrement pu faire autrement. Alors que la scène est hélas décisive. Bref, on sent que la genèse de ce film n'a pas été simple, il suffit de voir les dates de réalisation.
    La musique est totalement répétitive, ce qui permet de n'y prendre aucun plaisir et se concentrer sur l'image. La bande son est également très dépendante du but du réalisateur, donc déroutante.
    On sent que le réalisateur a voulu se faire plaisir, certains travelling sont presque drôles à force d'obstination, et le choix d'un scénario très peu moral n'est pas le moindre des manquements aux normes du cinéma traditionnel. De sa Hongrie alcoolisée et désabusée, le réalisateur a du sentir une corrélation avec l'univers de Simenon qui détruit toute beauté aux prolétaires Français. Mais heureusement, il le fait avec moins de haine. On s'attache un tout petit peu à ce peuple de débiles profonds qui vont tout faire de travers. La déconstruction de l'intrigue à force de lenteur est bien fichue, la moralité du plus fort et du plus riche est parfaitement dans la lignée du dégoût qu'avait Simenon pour les moins que rien, et le film englue dans ce sentiment, lorsque le précédent aiguisait l'existentialisme et la survie.
    Il est difficile de donner une meilleure note qu'à « Damnation », en effet, si les travellings sont au dessus de tous soupçons, le doublage hongrois>français>anglais est très pénible (bien que finalement épique et ubuesque donc intéressant) tout comme le casting tellement hétérogène qu'il enlève quelque chose qui pourrait s'apparenter à la sécurité ou au plaisir du spectateur. Par contre, vue le côté abscon des performances demandées, tous les acteurs sont bons. La netteté n'est pas toujours au top, hélas spécifiquement sur le dernier plan du film ! Ce qui fait un peu désordre face à l'ambition de perfectionnisme de l'auteur. Mais il reste sublime face à l'histoire. Finalement, ce film est sans doute encore plus triste que « Damnation », mais plus digeste.
    Bref, la hargne et le plaisir visuellement anarchique de son précédent film font place à la morgue et la moiteur d'une trop vieille histoire qui ne peut charmer et assumer la verve contemporaine de l'art visuel de Béla Tarr. Et désormais sa maîtrise, puisqu'il a très bien conquis les nouvelles technologies industrielles du cinématographe.
    PS : Attention, 4 personnes sont sorties de la salle à la première demi-heure, ça reste du cinéma expérimental, à l'ancienne mais aussi contemporain, donc tout pour faire fuir. Contrairement à la lenteur de « Damnation », ici, les lenteurs sont sources de plaisir « littéraire », comme identique à un écrivain prenant son temps pour décrire la scène. C'est peut-être le problème de ce film, une narration normale face à une réalisation extraordinaire.
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2012
    Décevant car Bela Tarr est un cinéaste à la belle réputation. Des images somptueuses et des mouvements lent mais hypnotique. Le problème ce que sont histoire est inintéressante beaucoup de séquences sont inutiles et du coup l'ennui arrivent. Cela dit j'ai envie de voir les autres films de ce réalisateur.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 juin 2011
    Troisième adaptation d'un roman de Georges Simenon où les premières images (un très long plan sèquence qui suit la proue d'un navire) donne le ton de ce dixième film de Béla Tarr à la fois exigeant et austère! L'atmosphère embrumèe du port est bien rendue mais le formalisme excessif risque d'en perdre plus d'un route! Le style de la mise en scène dans la version d'Henri Decoin n'ètait pas sans rappeler celle des films noirs amèricains influencès par l'expressionnisme, celle de Béla Tarr est particulière et particulièrement hypnotique! La B.O est obsèdante, les bruits le sont ègalement, ou chaque action donne une dimension qu'on aurait voulu plus saisissante! Une oeuvre en demi-teinte où le cinèaste hongrois nous avait habituès à mieux...
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 novembre 2010
    Alors pour ce qui est de la mise en scène il n'y a pas à chier Béla Tarr est doué. Et puis c'est tout.
    Il faut dire qu'ill sait filmer le néant d'une manière saisissante, il est vraiment fort de nous pondre un film de 2h12 alors qu'une heure aurait suffit. Les plans-séquences sont rigoureux mais s'étirent et filment parfois inutilement. Les seuls plans ayant retenu mon attention sont ceux sur le personnage principal, un homme aux traits fatigués. A vrai dire la première demi-heure peut se révéler intéressante même si on s'attend déjà à s'emmerder à un moment ou à un autre. A la demi-heure justement c'est à peu près là que surgissent les dialogues en français et là je lance un grandissime LOL! Mais qu'est-ce que c'est que cette postsynchronisation à deux balles? Les personnages sont censés être de purs français de souches mais ils parlent avec un accent résultant d'un subtil mélange entre le hongrois et le polonais médiéval. Absolument inaudible. Le père parle comme un demeuré, Tilda Swinton on ne comprend rien à ce qu'elle dit, la fille parle tel un robot rouillé. Bref Béla a craqué sur ce coup-là. Outre cette synchronisation grotesque il y a aussi le manque de naturel des dialogues, et ça ce n'est pas seulement dû au mauvais doublage.
    Ensuite j'en reviens à un des principaux maux que l'on peut ressentir devant L'homme de Londres: on s'emmerde. Je mets au défi quiconque n'a pas baillé devant ce film. L'action est lente, d'habitude un rythme lent ne me gêne pas quand il a quelque chose à offrir, quand il nous donne matière à contempler. Sauf que là c'est trop lent et il n'y a rien à contempler d'autre que des visages usés. Bon en étant tout à fait honnête la photo est soignée et l'éclairage assez bien foutu mais voilà, le film se résumé à cela. Je n'ai pas tellement eu l'impression de voir un film mais plutôt un "truc", un truc austère, sans vraiment d'âme et pénible à regarder. Un film sans intérêt.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2008
    Dans les ténèbres du monde, en-deçà d’une vérité où croupissent l’homme et son triste sort, Béla Tarr trace des lignes érotiques sur des visages flétries. «A London ferfi» (Hongrie, 2003-2007) adapte Simenon pour témoigner d’un monde noir et désespérément contraint au silence, réduit au mutisme. Tarr lui-même se retient, efforce son cinéma à ne pas faire montre de narrativité pour combler le désir du spectateur en mal d’historiette. Tarr s’attarde sur des gens dont le quotidien pèse lourd, que la morosité ennuie. En démiurge que le cinéaste se plaît à être dans sa pratique du cinéma, il place dans le quotidien de ses «gens de peu» un objet de convoitise qui opère un basculement profond dans la vie de Malouin, modeste gardien de port. Au sein de ce drame, que l’accordéon adjoint d’une mélancolique tonalité, Tarr frôle les visages, caresse les situations et dévoile un monde comme on dénude une femme, avec la délicatesse des précieux. Pourtant Tarr n’est pas précieux, il est rude avec ses protagonistes autant qu’avec son auditoire. Le plan introductif où la caméra révèle la coque ombragée d’un navire en passant progressivement d’une contre-plongée à une plongée dans un mouvement lent contient tout le film. La bichromie du bateau (noir et blanc) signifie le dilemme, d’ordre éthique, qui se pose à Maloin. De même que la langueur du mouvement représente le trouble érotisme qui caractérise les gros-plans du film. Valeur purement assigné au cinéma muet, l’érotisme retrouve sa présence chez Tarr sans en passer par une photogénie esthétisante. La photographie de Fred Kelemen se contente d’accentuer de manière aigüe les noirs et blancs pour que Tarr y revienne dessus et relie, dans un geste d’effleurement que la caméra traduit, les pointes d’action qui se font au cœur de cette ville ténébreuse dont on ne perçoit que le port et les proches alentours. Cette proximité avec les expressions du visage, donc avec l’âme à en croire l’adage romantique, produit un cinéma éthique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 octobre 2008
    L'interêt du film tient essentiellement dans sa splendeur esthétique. Il démarre sur un sublime plan-séquence et on est d'emblée séduit par ce noir et blanc, cette musique, cette vue sur le port, ces longs mouvements de caméra.
    Si l'objectif de Béla Tarr était de filmer le néant, il a alors atteint son but admirablement parce que je ne pense pas que l'on puisse le filmer d'une plus belle manière. A ce titre, les plans sur les visages fatigués de la vie, de cet ennui quotidien, de ce vide qui les entoure et qui caractérise leur existence sont remarquables. Il y a une constante et profonde lassitude chez les personnages tout au long du film qui crée un climax très sombre, très pesant.
    Cela dit, passé les premières scènes, le film devient long, trop lent. On est très vite lassé de ces séquences interminables et souvent incompréhensibles, de ce curieux et désastreux doublage.
    Le style du cinéaste est toujours intéressant mais le scénario m'a semblé cette fois-ci bien trop pauvre malheureusement.
    L'homme de Londres est donc aux frontières de l'oeuvre atmosphérique, de l'étrangeté hypnotisante dans le sens où les images et l'ambiance surréalistes fascinent mais avec parfois hélas cette impression dérangeante que l'étirement du scénario n'est que prétexte à de la masturbation artistique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 octobre 2008
    Certes, le réalisateur reste assez fidèle à l'adaptation du génial livre de Georges Simenon et en magnifie même l'atmosphère: un superbe noir et blanc, un brouillard et une humidité omniprésents, des personnages burinés et marqués par la vie. Mais à force de se concentrer uniquement sur l'esthétisme (d'interminables plans séquences), Bela Tarr laisse l'intrigue (et du même coup le spectateur) de côté.
    Antn D
    Antn D

    8 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 octobre 2008
    Sous le prétexte fallacieux d'une poésie des choses et des "vies minuscules", Bella Tarr embarque le spectateur dans sa galère:l'ennui. Son "univers" sonne tout aussi faux que le jeux désatreux des acteurs. Ce réalisateur représente tout ce que je hais dans le "cinéma d'auteur" mais il a un avantage incontestable sur les autres:il vous endort. J'ai vu ce "film" à la Filmothèque du quartier latin, à Paris:sur une dizaine de personnes, trois, moins endurantes que les autres, sont parties avant la fin, probablement pour aller se balancer dans la Seine ou se saouler la gueule; j'ai entendu distinctement deux ronflements de timbre très différent; au bout d'une demi-heure, j'ai pris le parti d'ouvrir les yeux toutes les 40 secondes pour voir si l'image à l'écran allait enfin changer. Bella Tarr ne comprend visiblement pas ce que signifie le mot "cinéma":mouvement! hélas, l'immobilité et la pesanteur sont tout aussi mal filmées et mises en valeur.Il n'y a plus qu'une durée creuse qui s'écoule et une pellicule vide qui s'étire.Derrière tout film esthétisant mettant en scène les classes populaires,on est en droit de soupçonner une éthique insignifiante, voire nauséabonde. L'Homme de Londres ne fait pas exception à la règle, c'en est même le paradygme.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 octobre 2008
    Si l'on accepte de laisser le stress quotidien à l'entrée de la salle, on passe deux heures magnifiques dans une ambiance totalement "simenonienne". L'image est époustouflante, le grain du noir et blanc "à l'ancienne" n'est pas simplement un pari pris esthétique, la pesanteur de chaque mouvement ne peut être confondue avec de la lenteur. Il faut voir ce film!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 septembre 2008
    Je me suis endormi 2 fois durant la première heure ! Sinon, la fin est marquante parce le personnage-titre a un certain charisme du fait de la mise en scène et de ses traits très forts (dus à son grand âge). En conséquence, on peut sortir de la salle plutôt heureux mais quelle épreuve pour en arriver là!!! Dégoûté la masse, le grand public, semble être le but du réalisateur dès le premier plan. J'étais prévenu, j'y suis allé pour un nom: Tilda Swinton. Elle est plus que sous-employée dans ce film: elle est doublée!!! Dans la VO!!! Sacrilège! En plus, elle n'apparait que quelques minutes et son rôle est totalement sans intérêt. Malgré cela, la grande actrice brille via quelques plans quasi-fixes. Ca ne suffit pas.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2008
    Le cinéma de Bela Tarr, comme celui d'Alexandre Sokourov, est sans âme et pompeux. Le contraire de celui d'un autre cinéaste auquel on les comparent à tort: le génial Tarkovski.
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