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    Vivre et laisser mourir
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    231 critiques spectateurs

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    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2020
    Et voilà le jeune premier (46 ans !!!) remplaçant de Sean Connery et de l’éphémère Lazenby, Roger Moore pour le meilleur et surtout le pire. Entre humour et détachement guignolesque, on perd tout le sel et le mystère apportés par Sean Connery. L’histoire est quelconque et racoleuse, surfant sur la vague de deux styles en vogue à l’époque : la blaxploitation et le polar urbain noir. La mise en place est poussive ; la seconde partie offre de belles courses poursuites en hors-bord dans le bayou qui tient par contre du film publicitaire. Même l’intronisation du Sergent Pepper comme caution comique du film est pathétique ; un ersatz de « Sheriff fais-moi peur ». Le pré générique et générique que l’on attend avec impatience à chaque James Bond sont ici guère travaillés. L’introduction des gadgets est aussi très empruntée. Reste de ce film, une seule scène ; le faux enterrement dans les rues de la Nouvelle Orléans. Un Bond sans grand intérêt.
    tout-un-cinema.blogspot
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 770 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « Vivre et Laisser Mourir »
    Cette fois, Sean Connery a tenu bon, il a laissé le costume à Roger Moore.
    Remarque : Sean Connery jugé « vieux » à 41 ans laisse sa place à Roger Moore 45 ans !
    Oui, Roger Moore commence à 45 ans alors que Sean Connery a débuté à 32 ans !
    En quoi Roger Moore donne un coup de jeune à la saga ?!

    Ah, Roger Moore, c’est et ce sera à jamais Brett Sinclair.
    Sa façon de lever un sourcil, son sourire en coin parfois pincé, sa manière de se recoiffer après une bagarre et un humour savoureux dans la série culte « Amicalement Vôtre ».
    Cette série m’accompagne toujours. Je n’ai aucun DVD James Bond, mais j’ai les deux saisons de la série.
    Et fait inattendu, « Amicalement Vôtre » est l’exception qui confirme la règle : je ne regarde pas la série en V.O !
    Les voix de Claude Bertrand pour Roger Moore et de Michel Roux pour Tony Curtis collent parfaitement aux personnages et participent au succès de la série… en France !
    Ces voix sont de petites madeleines précieuses qui me renvoient à mon adolescence et dont je ne veux pas me séparer !
    Donc, j’étais tenté de regarder Roger Moore en V.F !
    J'ai écouté quelques secondes par curiosité puis suis revenu aussitôt en V.O.
    Ne serait-ce que pour les autres acteurs et parce que cela fait plus de 40 ans que je ne regarde qu’en V.O.
    Bien que ce soit la même voix française, je me suis dit que j’avais affaire à James Bond et non à Brett Sinclair.

    Que dire de ce 8ème épisode de la saga James Bond que je n’avais encore jamais vu ? Eh oui, 6 sur 8 !
    On y retrouve à la réalisation Guy Hamilton, le réalisateur du mythique « Goldfinger » et du très décevant « On ne vit que deux fois ».

    Le générique introduit d’entrée une femme noire aux yeux grands ouverts, le buste laisse deviner une poitrine généreuse. Pour la deuxième fois, après « Les Diamants Sont Eternels » l’érotisme est de chair ; toutefois, on y retrouvera des silhouettes ombrées aux seins nus. L’ambiance nous est révélé à travers le portrait de cette femme : le vaudou.
    Et le plus du générique : la chanson de Paul McCartney.

    Roger Moore ne semble pas du tout dirigé, il fait du Roger Moore. On retrouve son mouvement de sourcil conjugué à son sourire parfois agrémenté d’ironie et un humour déjà exercé dans la série « Amicalement Vôtre ».
    Un humour qui lui correspond bien.
    L’élégance est toujours là, il est vrai qu’il porte bien le costume.
    Il ne fume pas de cigarettes, il fume des cigares et ne porte pas de chapeau, ce qui fait qu’il ne peut pas le lancer sur un porte-manteau !
    spoiler: Il n’a pas l’occasion de le faire dans la mesure où M et Moneypenny débarquent en pleine nuit chez lui pour lui signifier sa mission.


    James Bond doit enquêter sur le sol des Etats-Unis ; trois agents des services britanniques ont disparu.
    Cela le mène des quartiers chauds de Harlem à la Nouvelle-Orléans.
    Son point de départ : le Dr Kananga sous les traits de Yaphet Kotto dont les activités sont plus que douteuses.
    Yaphet Kotto endosse le rôle du méchant de service, ici, on ne parle plus de Blofeld.

    Yaphet Kotto n’était pas satisfait du rôle : «J'étais le premier méchant Bond noir » ; il n’est pas le seul, tous les Noirs sont des méchants.
    Faut-il rappeler à Yaphet Kotto qu’avant « Vivre et Laisser Mourir », et bien avant « James Bond contre Dr No », de nombreux Blancs jouaient des méchants ?!
    Et ça continue !
    Entendu, pour une fois où des Noirs intégraient la franchise James Bond, il aurait apprécié que ce soit du côté des gentils.
    Malheureusement pour lui, il aurait mieux valu qu’il soit le premier méchant noir inoubliable, car à bien y regarder, son rôle est des plus classiques. Un méchant passe-partout.

    Au-delà de la référence Blacksploitation, « Vivre et Laisser Mourir » s’avère être un épisode peu enthousiasmant. Et ce n’est pas la longue et interminable poursuite en hors-bord qui arrange les choses.
    Que dis-je interminable ? Indigeste avec ce shérif bouseux et lourdingue.
    Je lui reconnais une qualité : le shérif est le portrait d’une Amérique raciste. Plus raciste que la production qui a casté des comédiens noirs pour des rôles de méchants.

    Côté James Bond Girl ?
    Une noire et une blanche comme deux notes de musique !
    Mais là encore, la production exploite (maladroitement ?) la blacksploitation avec la note noire sous les traits de Gloria Hendry en Rosie Carver.
    Première James Bond Girl noire quand même !
    Une espionne double-jeu, guère convaincante et un peu cruche.
    Inutile de tirer sur la production, des cruches Girls blanches, il y en a chez James Bond !
    D’accord, comme pour Yaphet Kotto, il aurait mieux valu que la première James Bond Girl noire soit entreprenante, de caractère etc…

    La franchise avance à petits pas, elle est à l’écoute de la société, patience, patience.

    La note blanche se nomme Jane Seymour dans le rôle de Solitaire.
    spoiler: Une cartomancienne, vierge, esclave du Dr Kananga,
    elle peut lire l’avenir dans les cartes du tarot.
    Evidemment, comme toute James Bond Girl qui se respecte ou respecte le cahier des charges, elle succombera à l’agent 007.
    spoiler: En perdant sa virginité, non seulement elle trahit son maître, le Dr Kananga, mais elle perd tous ses pouvoirs !

    Ayant goûter au plaisir de la chair, elle y gagne au change puisqu’elle en redemande la coquine !

    A voir en V.O… pour la vraie voix de Roger Moore !
    SpiderGogo
    SpiderGogo

    34 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    James Bond est appelé à la rescousse pour mettre fin à l'hécatombe meurtrière qui décime les agents secrets britanniques. Enquêtant à New York, dans le quartier de Harlem, il affronte un caïd de la drogue, le redoutable docteur Kananga et sa comparse, l'étrange Blanche Solitaire.
    J'ai toujours trouvé l’ambiance de cet opus assez glauque, ce qui détonne fortement avec les autres épisodes de cette ère. Hormis la chanson culte de Paul McCartney (sûrement l’une des plus mémorables de toute la saga), pas grand chose à retenir de celui-là. Dans le ventre mou de la franchise, il y’a pire assurément mais aussi beaucoup mieux. Roger Moore a le plus faible premier film des six interprètes de 007.
    Dora M.
    Dora M.

    48 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mai 2021
    James Bond apparaît pour la première fois sous les traits de Roger Moore, que j’ai trouvé de suite très crédible, il apporte sa personnalité au rôle et semble à priori déjà moins macho que le personnage de Sean Connery. Il apporte beaucoup d’humour, ce qui crée des dialogues très sympas avec de bonnes répliques, rythmant le film.
    Les décors de la Nouvelle Orléans et des Caraïbes apportent beaucoup à l’ambiance générale du film (j’ai noté par exemple le rituel (pré-)enterrement à la Nouvelle Orléans, tout en musique ou les scènes de sorcellerie sur l’île). Outre les méchants qui sont assez charismatiques (notamment l’homme au crochet), les lieux parcourus permettent de se frotter à des créatures inquiétantes (les crocodiles à la Nouvelle Orléans, les serpents sur l’île), créant des scènes avec du suspens.
    Petits bémols : la course poursuite en bateau est impressionnante mais un peu trop longue à mon goût, les effets spéciaux à la fin ont vraiment très mal vieilli ( spoiler: quand Kananga explose
    ).
    Régis L.
    Régis L.

    8 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 septembre 2015
    Un chef d'oeuvre. Un très bon James Bond. Roger Moore interprète très bien l'agent secret séducteur.
    NeoLain
    NeoLain

    4 227 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Bonderie numéro 8. Ce qui étonne le plus dans la prestation de Roger Moore, c'est cette impression que l'acteur a toujours été James Bond. Un agent secret qui pour le coup y gagne pas mal en classe et en prestance grâce au flegme aristocratique inhérent à Roger Moore. Résultat, Bond perd en vulgarité ce qu'il gagne en charisme et se retrouve par ailleurs correspondre beaucoup mieux aux attentes du scénariste Tom Mankiewicz. Et cela se ressent énormément dans le film, seventies à souhait, qui fait la part belle aux acteurs et à leurs dialogues pour changer un peu de l'action et des gadgets. Bond ici devra se contenter d'une montre munie d'un aimant surpuissant, ce qui n'est déjà pas si mal. Par ailleurs, bien que moins nombreuses qu'à l'accoutumée, les scènes d'action en question sont de très bonne facture comme celle, mémorable car digne d'un Steven Spielberg sauce Indiana Jones, où l'agent secret échappe de justesse à la menace de crocodiles et autres alligators en utilisant ces derniers comme de vulgaires ponts suspendus aux mâchoires claquant sur son passage express. Autre point fort, une réjouissante galerie de personnages essentiellement afro-américains (Yaphet Kotto et Geoffrey Holder en tête), ambiance vaudou oblige, qui loins des accessoires habituels contribuent réellement à développer le récit. A noter également, une première dans la saga, puisque la James Bond Girl et quasi débutante Jane Seymour... est vierge ! Au final, un très bon cru « bondien ». Roger Moore s'approprie le personnage avec une aisance remarquable et profite au passage d'une intrigue pour une fois à la hauteur des ambitions affichées. Et cerise sur le gâteau, la chanson titre de Paul et Linda McCartney est elle aussi une des meilleures de la saga.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    313 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2016
    Ce qui fait mouche ici est la BO mythique de Paul Mc Cartney. Mais c’est à peu près tout ce que l’on retiendra de ce 7ème opus, avec l’arrivée dans les rangs du jeunot Roger Moore. Un nouveau point de vue, pour un tout autre rythme qui plait ou déçoit. Vivre et laisser mourir, sortit en 1973, est tout à fait fidèle à son époque, pas extraordinaire en soi, tout juste sympathique. Tout à fait à l’image de l’acteur : gentillet et agaçant, sous des faux airs de bellâtre irrésistible. Une entrée en force de l’humour british dans l’esprit de la saga. 007 n’aura jamais été aussi mondain et dragueur compulsif. Une immersion osée dans les quartiers « dangereux » de Harlem, suivit d’une ambiance plus jazzy à la Nouvelle-Orléans, jusqu’aux paysages cartographiques des Caraïbes. Bond s’attaque aux crocodiles avec autant de nonchalance que d’élégance. Ceci étant dit, la faiblesse du scénario ainsi qu’une mauvaise gestion de l’action tranchent à l’unanimité. Une époque marquée par une fâcheuse tendance aux fins grotesques. Un charme bien à part. 3/5
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2011
    Le 1er Bond de Roger Moore est aussi un des moins bons (le moins bon ?) de la série.
    Le film a le tort de s’éloigner de l’esprit de la franchise pour surfer sur la vague blaxploitation de l’époque (à travers une histoire de sorciers vadou pas franchement terrible). Un style pas assez « british » donc mais aussi une pelletée d’erreurs avec une mauvaise séquence pré-générique, un méchant peu mise en valeur, une Jane Seymour certes belle mais particulièrement cruche, une 1ere partie assez molle et surtout l’absence des gimmicks habituels (pas de smoking, pas de casino, pas de vodka-Martini, pas de Q...).
    De bonnes choses pourtant sont à retenir comme la chanson-titre signée Paul McCartney, la scène des crocodiles, des 2nds rôles originaux (le sergent Pepper, le tueur à la pince de fer Tee Hee, le Baron Samedi…) et un Roger Moore qui campe un James Bond à part entière et très différent. Plus dans l'humour (et la p'tite vanne), il réussit à s'affranchir du modèle imposé par Sean Connery (qui était quand même meilleur...) ce qu'il confirmera dans les films suivants. Dommage qu'il commence sa série par son moins bon film...
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    231 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2015
    Les films de la saga James Bond ont toujours pour grand intérêt de nous faire voyager à travers le monde. Ici le célèbre agent secret bourlingue entre les Caraïbes et la Nouvelle-Orléans, et fait même un saut à New York avec comme toile de fond les mythes vaudous. Ce huitième opus ne manque pas de kitsch, surtout dans la dernière partie du film, mais il est divertissant et rythmé, et c'est là l'essentiel. Roger Moore cabotine, car c'est ce qu'il sait faire de mieux, et se sort de situations à priori inextricables. À voir pour l'atmosphère générale de l'ensemble.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    81 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2013
    Cette huitième mission tourne définitivement la page du Spectre mais les agents secrets britanniques subissent une véritable hécatombe à travers le monde, le MI6 décide de faire appel à son meilleur agent pour mener une enquête qui débute dans le quartier de Harlem à New York. Très vite 007 va être confronté au redoutable Docteur Kananga qui semble cacher de multiples identités et dont la façon de faire des affaires est très particulière puisqu’il élimine ses adversaires à l’aide de pratiques vaudous. Sean Connery a désormais remisé son permis de tuer au placard, c’est donc le moment pour la saga de faire peau neuve. C’est Roger Moore, vu dans les séries cultes "Le Saint" et "Amicalement Vôtre", qui va hériter du rôle et ainsi se servir de son expérience comique afin de composer un James Bond plus dans le second degré. Avec cet acteur la saga capitalise un maximum sur l’humour et la désinvolture du personnage au lieu de proposer des histoires portée par un scénario solide. Mais le pire reste la mise en scène de Guy Hamilton qui s’apparente plus à un épisode de "L’Agence Tous Risques" qu’à un film à proprement parlé, sans oublier l’insupportable bande-originale de George Martin. "Vivre et laisser Mourir" est une aventure très peu digne d’intérêt, dommage car la classe de Roger Moore aurait pu donner quelque chose de très intéressant.
    Le D.
    Le D.

    178 abonnés 890 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    "Vivre et laisser mourir" est le huitième opus de la saga des "James Bond" et aussi la première apparition de Roger Moore dans le rôle de James Bond. Un film plutôt sympa avec de bonne scènes d'action, une histoire plutôt intéressant et les personnages sont bien jouent par les acteurs.
    Loïc G
    Loïc G

    40 abonnés 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2008
    Une nouvelle air commence: Roger Moore prend donc la relève dans le costume de James Bond!
    Présenté comme il se le doit au début du film par M en personne, cette nouvelle figure a du style, très british, et un humour prenant à la légère tout (trop?) ce qu'il lui arrive! Un nouveau cru qui est donc adopté au bout de 10 mn nous faisant rapidement oublier le Sir Connery!
    Mais justement, peut être trop vite oublié!
    Car de l'aspect espionnage de l'entreprise, ici, il ne reste plus grand chose!
    Dans un certain esprit, on repart un peu dans ce qu'avait déjà été GOLDFINGER: un film à l'américaine!
    Effectivement, l'action est non stop, on visite la Floride, on retrouve des personnages d'antan: Leiter, Quarelle...
    La nouveauté c'est l'histoire dans l'histoire: celle du sherif américain gaffeur à qui il arrive moult problèmes.
    Certaines scènes resteront dans les annales comme celle de la marche funèbre du début revue également plus tard, celle du pont de crocodiles, celle du tarot..
    Mais l'ensemble bien que jamais ennuyeux, ne décolle jamais vraiment à cause d'une intrigue (trafic de drogue!) des plus anémiques poussant le vis à remaker des scènes comme celle du train final, celle de l'antre du méchant (en a t il de besoin?), un homme à main d'acier qui comme l'homme au chapeau de GOLDFINGER est impressionnant mais inutilisé...
    Reste donc l'arrivée d'un nouveau héros très crédible qui rajeuni fortement l'entreprise et une Jane Seymour qui restera parmi les plus belles James Bond Girl de la série.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    39 abonnés 1 139 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 septembre 2009
    Huitième opus de la saga, Vivre et laisser mourir ouvre une toute nouvelle ère : celle de Roger Moore. Si le physique de l'acteur diffère énormément de Sean Connery, son style lui aussi est complètement différent. Concernant le scenario, on oublie le SPECTRE et on entre dans un univers vaudou sous fond de trafic de drogue. Un scénario d'ailleurs assez confus et qui tarde à se dessiner vraiment pour finalement s'avérer assez décevant. Le rythme du film est très mal géré. Très mou au début, il s'affole dans la dernière demi heure avec notamment une course poursuite en hors bord qui devait sans doute être spectaculaire à l'époque mais qui semble interminable aujourd'hui. Du côté des bonnes idées tout de même on notera un méchant avec une main en fer ou encore l'apparition de crocodiles...Au final, même si ce James Bond se laisse regarder (comme tout les épisodes de la saga...) il n'en demeure pas moins le moins intéressant de la série pour le moment. Espérons pour Moore que la suite sera de meilleure facture.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 167 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 septembre 2022
    Des agents secrets britanniques se font assassiner aux quatre coins du globe, l’agent 007 est missionné pour enquêter et trouver le coupable. Son enquête va le mener d’Harlem jusqu’en Louisiane…

    Après Sean Connery et George Lazenby, c’est au tour de Roger Moore de leur succéder et pour ce 8ème opus de la saga, on y retrouve aux manettes (pour la 3ème fois) Guy Hamilton (il en réalisera 4), après Goldfinger (1964) et Les diamants sont éternels (1971).

    Début des années 70 oblige, la blaxploitation bat son plein, est-ce une raison pour laquelle tous les méchants du film sont noirs ? Cela peut paraître anecdotique, mais c’est la première fois qu’ils sont en majorité dans l’univers bondien (ce qui n’est pas pour nous déplaire). Autre changement et de taille, vous l’aurez compris, c’est la présence de Roger Moore, avec son habituel flegme aristocratique british et un humour… que l’on aime (ou que l’on déteste). Ajouter à cela, la présence de M & Moneypenny, mais l’absence totale de Q, ainsi que de tous ses gadgets (hormis une montre électromagnétique), sans oublier l’absence du MI6 (puisque James Bond reçoit son ordre de mission à domicile), enfin, on pourra aussi signaler la superbe chanson du générique composée par Linda & Paul McCartney.

    Pour le reste, le film s’avère assez inégal, soit il ne se passe pas grand-chose soit les scènes y sont étirées plus que de raison (la scène des hors-bords dans le bayou en est l’exemple parfait, la séquence dure 12min et on finit carrément par oublier que l’on est en train de voir un James Bond et pour cause, on ne le voit quasiment jamais au détriment du Sheriff Pepper qui est de chaque instant). Le film est clairement divisé en deux parties, une première qui prend (trop) le temps de poser les bases quand la deuxième s’avère bien plus soutenue. Ajouter à cela, tout le folklore de la Nouvelle-Orléans dont on aurait pu se passer.

    Le film diverti mais se perd en longueur, cependant on appréciera grandement d’y retrouver le joli minois de Jane Seymour (22ans lors du tournage) en diseuse de bonne aventure.

    (critique rédigée en 2008, réactualisée en 2022)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    250 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2012
    Ce qui devait arriver arriva : fini l’époque Sean Connery. Après un premier départ avorté, l’Ecossais finit par vraiment jeter l’éponge. Le rôle fut donné à Roger Moore, un peu moins classe mais plus relax que l’interprète original.

    Vivre et Laisser Mourir, troisième réalisation pour la saga de Guy Hamilton, jusque là responsable de deux excellents épisodes, est un film assez différent du reste de la saga. En effet, son ton est bien plus relaxé et prend presque des allures de comédie, on effleure le surnaturel et Roger Moore est un réel changement, comparé à Sean Connery. La principale force du film est qu’on ne s’ennuie jamais malgré le fait qu’il ne se passe absolument rien pendant près de 90 minutes. Yaphet Kotto fait un bon méchant, avec des sbires aussi unidimensionnels qu’on l’attendait. Roger Moore assure ses scènes d’actions, Jane Seymour fait une adorable James Bond Girl. Ne manquerait que quelques gadgets et surtout Desmond Llewellyn, absent du film.

    Sans surprises, plus connu pour sa musique que pour lui-même, Vivre et Laisser Mourir est un bon cru, sans pour autant égaler les meilleurs opus. La saga se renouvelle sans pour autant redevenir inoubliable, ce qui pourrait poser problème à l’avenir.
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