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    La Nuit des morts-vivants
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    7eme critique
    7eme critique

    458 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 août 2012
    Mauvais, même en prenant en compte l’époque où le film est sorti, c’est brouillon, on dirait juste un bon travail d’étudiant. Je ne comprends mais alors pas du tout le succès de ce film (à part que ce soit le 1er long métrage traitant des zombies). Dans ces années là, les cinéastes savaient déjà nous pondre des bijoux avec des scénarios et des réalisations travaillés. Ce film est tout simplement vilain, on s’ennuie, aucune frayeur, de mauvais dialogues et beaucoup de scènes vraiment, mais alors vraiment stupides. Un film plutôt amateur, qui est uniquement à l’origine des «zombies-movies », heureusement on s’est rattrapé depuis. George A. Romero a bâti sa carrière sur une seule et unique idée, ça ne fait pas de lui un réalisateur talentueux, bien qu’il soit très célèbre pour son univers.
    oranous
    oranous

    131 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juin 2008
    Que ca a vieillit. Il faut bien avouer que pour faire un film d'épouvante, ce n'est pas le nombre de litre de faux sang que nous verrons a l'écran qui nous permettront au film de nous faire frissonner. Non ! C'est l'ambiance. Et c'est sur ce point là que Romero ne s'en sort pas trop mal. L'ambiance permet au spectateur d'être mal a l'aise. Cependant, les acteurs ne sont pas géniaux. De plus, le film souffre de longueurs trop nombreuses.
    C'est surtout le final que nous retiendrons.
    TheManWhoLovesCinema
    TheManWhoLovesCinema

    38 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 août 2012
    Ne tournons pas autour du pot, ce film à pris un sacré coup de vieux. On m'avais annoncé un chef-d’œuvre du cinéma d'horreur et bien je dois l'avouer; je me suis ennuyé ferme. Des acteurs pas terrible, une mise en scène lente... Romero avait du talent, mais il aurait pu faire mieux ( cela dit cette première réalisation surpasse largement ses derniers films ). Une relecture s'impose surement.
    Tedy
    Tedy

    211 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2008
    C'est vrai que "La Nuit des morts-vivants" a lancé la mode des films de zombie, mais le peu de moyen du réalisateur et le temps qui passe, font aujourd'hui de ce film un moment de rigolade.
    Kill-Jay
    Kill-Jay

    60 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 avril 2012
    Très déçu pour ce qui est considéré comme un classique du cinéma d'horreur. George A. Romero réalise avec cette "nuit des morts-vivants" ce qui sera l'un de ses plus grands succès. C'est la première fois dans ce film où le gore sera visible et inspirera donc bon nombres de réalisateurs par la suite. Romero maitrise par ailleurs très bien la musique ainsi que le jeu de lumière néanmoins le film reste assez lent, et presque ennuyeux, on en vient à décrocher petit à petit de l'action et de l'intrigue. Les morts-vivants sont assez réalistes pour l'époque (bien sûr ceux qui jugent les maquillages par rapport à ceux d'aujourd'hui les trouverons sans intérêt) mais les acteurs sont peu convaincant, en particulier Judith O'Dea qui est absolument insupportable !
    Acidus
    Acidus

    614 abonnés 3 646 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2023
    Si "La nuit des morts-vivants" n'est pas le premier film de zombies, il n'en reste pas moins une oeuvre pionnière dans le genre qui en posera les codes et marquera les débuts d'un phénomène toujours actuel.


    Aujourd'hui, ce long métrage accuse le poids des années. S'il est assurément un précurseur, "La nuit des morts-vivants" cumulent quelques défauts : naïveté du scénario (quelques facilités aussi), acteurs au jeu bancal, personnages aux comportements peu crédibles, une ambiance qui ne prend pas toujours (notamment pour ce qui est de la tension),...


    Et pourtant, le film garde un certain charme et pose les bases du genre pour les décennies à venir. Un bon moment de cinéma à visionner au moins une fois ne serait-ce que pour sa culture.
    moket
    moket

    432 abonnés 4 201 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2023
    Un classique... mais qui a tout de même pris un sacré coup de vieux. Les acteurs surjouent et la musique est omniprésente voire envahissante, ce qui empêche d'entrer totalement dans la tension. Reste que ce film a posé les bases du genre.
    Hotinhere
    Hotinhere

    413 abonnés 4 735 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2022
    Un classique du cinéma d'horreur, qui a un peu vieilli certes, mais avec toujours quelques scènes bien flippantes et une réal redoutable d'efficacité.
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2016
    Souvent considéré comme le film fondateur du genre "zombies" au cinéma (en oubliant, au passage, les aînés comme "White Zombie" avec Bela Lugosi ou "L’invasion des morts-vivants" de la Hammer), "La nuit des morts-vivants" est une véritable date dans l’histoire du cinéma d’horreur et marque la naissance d’un cinéaste devenu culte, George R. Romero, qui peut se vanter d’avoir révolutionné, à jamais, l’image des morts-vivants dans l’inconscient collectif. Car, si le film est resté dans les mémoires comme le "premier film de zombies" (à tort donc !), c’est parce que Romero a su réinventer une mythologie déjà existante dans la culture haïtienne (les morts étaient ramenés à la vie pour travailler dans les champs) en l’épurant de toute résonance esclavagiste au profit d’un renforcement du caractère violent et cannibale des cadavres ambulants. Certes, cette relecture fait perdre beaucoup d’exotisme (et, donc, de charme) à l’image du zombie mais s’avère être un coup de génie puisque, depuis Romero, le mort-vivant est universel et peut apparaître dans n’importe quelle société. Ce parti-pris renforce, également, le caractère horrifique du film puisque les zombies n’ont désormais qu’une idée en tête : se nourrir de chair humaine. Romero invente, donc, l’image iconoclaste du mort-vivant qui avance au ralenti avec des râles agonisants pour se jeter sur sa victime avant de la dévorer, toutes tripes dehors. J’ai, à ce titre, été agréablement surpris par la violence assumée du film, dans la mesure où la date de sortie du film (1968) me laissait craindre un traitement assez aseptisé, plus vraiment en phase avec les films qui l’ont suivi (à commencer par le "Zombie" de Romero de 1978). La horde de morts-vivants dépeçant leur victime ou le plan de la gamine, fraîchement "zombifiée", en train de bouffer son père sont autant de scènes chocs qu’on croyait impossibles pour un film de cette époque. Enfin, le réalisateur modifie, également, l’origine de l’apparition des morts-vivants en supprimant l’habituel maître vaudou au profit spoiler: d’une mystérieuse épidémie venue du ciel (plus précisément du retour d’une mission spatiale, rendant, ainsi, l'Homme responsable du Mal qui va le ronger)
    … ce qui permet à Romero de densifier son intrigue d’une facette assez inattendue pour un film d’horreur de l’époque, à savoir une critique sociétale. Car, sous ses faux airs de série B fauchée, "La nuit des morts-vivants" est une incroyable critique de la société américaine de l’époque spoiler: (lâche, raciste, repliée sur elle-même, intolérante...)
    . Ce n’est pas un hasard si le réalisateur a choisi, pour héros, un Noir à une époque où les premiers rôles du cinéma US étaient exclusivement blancs. Ce n’est pas non plus par hasard si Romero a fait de son film un huis-clos oppressant, en insistant, au final, davantage sur les réactions terriblement humaines des survivants cloîtrés que sur les monstres qui déambulent à l’extérieur. Point de héros vertueux ou de salaud définitif ici mais simplement des hommes et des femmes qui réagissent à des événements incompréhensibles et tentent de s’en sortir au mieux sans forcément être d’accord sur les moyens à employer. Certains se révéleront plus aptes à la survie que d’autres… Le panel de personnages proposés est, à ce titre, plutôt réussi et, même si les prestations des acteurs ne sont pas époustouflantes, on retient le jeu physique de Duane Jones, le traumatisme de la blonde Judith O’Dea et la lâcheté compulsive de Karl Hardman. Romero ne néglige pas, pour autant, ses zombies puisqu’il parvient, non seulement, à les rendre terrifiants en tant que tel (leur look, leur désincarnation, leurs mains menaçantes qui passent à travers les barrières...) mais, également, par le biais de flash infos réguliers décrivant les actes horribles qu’ils commettent. Ainsi, Romero n’a pas besoin d’en montrer trop à l’écran (et évite, ainsi, le risque de sombrer dans le grand-guignolesque) et se sert du pouvoir de suggestion de ces descriptions pour renforcer l’horreur suscités par ses monstres. Enfin, on oublie trop souvent d’insister sur la qualité de la mise en scène de "La Nuit des morts-vivants" et sur l’ingéniosité de son réalisateur qui, avec un budget ultra-serré, a su soigner ses plans et sa BO mais, également, magnifier son image avec un noir et blanc qui renforce les contrastes (et l’aspect cadavérique des zombies) tout en distillant une ambiance rétro qui n’est pas sans rappeler les productions des années 50 où les extra-terrestres envahissaient la Terre. Certes, le film manque, parfois, un peu de rythme mais c’est un souci mineur au vu des multiples trouvailles du réalisateur et de la révolution proposée. Enfin, ultime coup de maître, le film s’achève sur spoiler: une note effroyablement pessimiste sous forme de dénonciation à peine voilée des exactions dont les Noirs étaient encore victimes lors de sa sortie
    . Ce final fantastique, tant par son propos que par sa forme spoiler: (un générique qui dévoile le sort réservé aux zombies et, donc, au cadavre de ce pauvre Ben, tué après avoir été pris pour l'un d'entre eux)
    achève de faire de "La nuit des morts-vivants" un grand film effectivement fondateur qui a transformé, à jamais, les codes du genre... étant, tout de même, précisé qu'on reste devant un film de zombies qui, par essence, reste forcément limité dans son propos.
    gizmo129
    gizmo129

    71 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 octobre 2023
    La nuit des morts vivants fait partie de la légende du cinéma car il est le premier film de l'histoire à nous présenter des morts vivants à l'écran. Romero, le réalisateur, deviendra alors une légende et dédiera sa carrière au genre horrifique et en particulier aux zombies. Tourné avec un budget dérisoire, le film présente déjà les codes du genre, qui seront repris dans tous les films et séries du futur. La nuit des morts vivants est pour cela intemporel même si de nos jours il parait forcément ringard, désuet et mal interprété. Mais pour tout fan du genre, il reste un incontournable.
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2022
    Un film d'horreur efficace, auquel on doit tout un pan du cinéma post-70s et, surtout, un excellent document d'époque qui nous parle de l'angoisse nucléaire et du Vietnam, mais aussi des tensions raciales exacerbées aux États-Unis - si le héros est un homme noir, ce n'est certainement pas pour rien.
    Jean-François S
    Jean-François S

    41 abonnés 667 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 octobre 2022
    "La nuit des morts vivants" ! Un film phare du cinéma d'horreur. Un film référence à tout un genre qui se développera à partir de celui-ci... Certe je ne dirais pas le contraire.
    Mais bon, ça reste un film de série Z. Donc il vous faudra supporter les acteurs qui jouent terriblement mal, une mise en scène absolument ridicule où tous le monde est terrifié par de pauvres zombies qui se déplacent à 2 à l'heure (héritage du "Frankenstein" de Boris Karloff). Et je passe tous les clichés de la femme qui tombe en fuyant, qui est coincée (sans raison) juste au moment où il ne faut pas, ou ces zombie qui attendent gentiment dehors qu'on les dégomme. En fait, ce film a été tellement pillé et copié, que tout semble être clichés, tout est prévisible, rien ne surprend plus. A voir, pour ne pas mourir idiot, mais c'est quand même bien loin d'être le chef-d'œuvre qu'on lui prête d'être.
    konika0
    konika0

    22 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2022
    A table !

    Pas revu depuis une sacrée paie. C’est le premier long métrage de Romero qui est depuis devenu docteur ès zombies. Quelque part entre le bricolage homemade et le cinoche intello tendance nouvelle vague, ce film a marqué l’inconscient collectif et surtout le cinéma en offrant une nouvelle thématique qui semble inépuisable et suffisamment large pour permettre toutes les interprétations.

    Une nana et son frère traînent dans un cimetière. Ils se font agresser par un homme titubant. Déambulation pendant le Hellfest ? Du tout. Elle s’échappe et se retrouve enfermée dans une maison avec d’autres rescapés. Toute la nuit, ils vont subir l’assaut de morts-vivants alors que le pays entier semble être touché par le phénomène. Mais que fait la police ? Elle tue comme dirait l’autre.

    La première séquence est sûrement la meilleure. Ça sent le culte dès les premières secondes. Caméra à l’épaule, gros plans sur les visages tordus par la peur, alternance de plongées et de contre-plongées. On est au cœur de l’action. La suite se traînera davantage, à l’image du pas du zombie peut-être. Dans ce huis-clos, l’enfer, c’est les autres et le danger est autant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Car si le zombie est dangereux mais prévisible, l’humain est plus complexe. On pourra y voir une allégorie du climat de la guerre froide, une démonstration de la peur paranoïaque, une image des rapports sociaux et raciaux dans une Amérique sur la crête. Romero semble donner de multiples pistes de lecture, comme s’il voulait exposer l’intérêt que présente cette thématique de l’humain anthropophage et écervelé. Au final, on aura souvent une impression de déjà vu, et pour cause, ce film restera l’influence majeure de tous les films de zombies suivants. Du côté des regrets, on pourra évoquer une interprétation qui n’est clairement pas à la hauteur et surtout une prise de son un peu foireuse (peut-être que la VF fait mieux ?).

    En bref, un bon moment, tendu et légèrement punk, à la fin glaciale et surtout un film épris de liberté. Reste à voir ses suites.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    28 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    Purée que tout ça a vieilli. Surement horrifique lors de sa sortie en 1969, ce "chef d'oeuvre" de George A Romero m'a decu a un point difficilement imaginable. OK le noir et blanc est beau mais alors le reste... effets speciaux antédiluviens (j'ai vu des fims de la même époque bien mieux travaillés), coups donnés au ralenti avec bruitage décalé, dialogues ineptes, fin qu'on voit arriver sans jumelles à 500 mètres... Pour vous lancer dans le cinéma d'horreur italien vintage je vous conseille plutot Lucio Fulci. Ici l'ennui est....mortel 1 / 5
    mister
    mister

    15 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 avril 2019
    Le film est un chef d'oeuvre inconstesté du genre et un morceau de cinema incroyable pour l'époque, pour son audace, son propos et ses scènes de cannibalisme effrayantes. Il n'y a pas de héros : le black est représenté comme un gars autoritaire, intolerant (lorsque qu'il frappe la fille qui essaie d'exterioriser son trauma) et un assassin quand il abat froidement celui qui se met sur sa route. C'est un tyran dont l'obstination va conduire a la mort de tous les autres refugiés de la maison. L'interprétation de la fille qui perd la raison est excellentissisme en catatonique. Les scenes avec les scientifiques et les militaires à la TV est un must d'humour de second degrès.
    D'un point de vue sociologique, le sujet reprend la même thématique que "la planète des singes" sortie la même année. Avec la mécanisation intensive de l'agriculture dans les années 50, les noirs américains du sud n'ayant plus de travail, s'éxodent massivement vers les villes du nord et de la côte est, créant un choc culturel important du fait de leur faible éducation, de leur mode de vie et de leur apparence très frustre. Leur prolifération importante et très rapide dans les centres urbains va créer le thème prolifique au cinéma de l'invasion par des êtres monstrueux, bestials et cruels : ils seront représentés par des extra-terrestres, des singes puis des zombies, comme dans ce film. La scène finale est très explicite et ne laisse aucun doute sur la vraie nature des "zombies" pour Romero.
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