Avis sur Phantasm 2

Surement le film de la saga le moins mauvais mais ça reste quand même un bel exemple de crétinerie et de peudo horreur.
Mike a passé 6 ans dans un hôpital psychiatrique, entouré de médecins qui ne cessaient de lui répéter que ce qu'il a vu à propos de l'Homme en Noir ou de cette autre dimension n'étaient que son imagination. Décidé à sortir, il a joué à leur jeu et part rejoindre Reggie pour lui demander son aide, car il semble connecté par l'esprit à Liz, une jeune femme qui semble être la prochaine cible du croque-mort démoniaque...
La réalisation est toujours aussi mauvaise: le cadrage est très limité, les prises de vues simples et sans rythme, la mise en scène ridicule, la profondeur de champ est mieux exploitée et les mouvements très plats.
Le scénario continue d'essayer (vainement) de nous faire peur avec des boules qui volent et des nains de jardin avec des robes de Jedi... Super. Le rythme est meilleur, mais c'est toujours ridicule, stupide et hilarant involontairement. Il y a un bon paquet d'incohérences et les clichés ne manquent pas. On essaye d'ajouter des scènes de nu et d'humour pour garder le spectateur mais mission ratée.
Les acteurs sont mauvais, on n'y croit pas une seule seconde.
Les personnages sont creux et complètement stupides.
Les dialogues sont dignes des pires blockbusters d'actions américains.
La photographie n'est pas belle, la lumière est bâclée et les couleurs vraiment moches.
Le montage est lent et sans imagination.
Les décors ressemblent aux mauvaises maisons hantées de foires, les costumes ridicules, le maquillage grotesque, les effets spéciaux horribles et la musique légèrement meilleure.
"Phantasm 2" est un bon gros nanar, il n'y a rien de plus à dire.

Certainement le film le moins réussi de la saga. A commencer par la présence de l'intérimaire "James LeGros" pour le rôle de Mike. Cet acteur a aucun charisme, c'est une catastrophe. Le petit frère de Mike est absent du film. Ce film est réservé aux inconditionnels de la série. Sinon, seul le premier volet mérite d'être visionner et encore. . .

Sans être extraordinaire j'ai tendance à préférer cette suite au précédent, Phantasm 2 diffère du premier par une approche plus décomplexé car il y a même le personnage de Reggie qui devient une sorte d'Ash bis (le personnage d'Evil Dead joué par Bruce Campbell) toutefois avec moins de panache et de charisme.
Phantasm 2 est un agréable film d'horreur assez bien soutenu dans son rythme surtout pendant le début et la fin (heureusement qu'il n'y a plus ce côté un peu saccadé du précédent) ; le milieu est un peu mou durant lequel Don Coscarelli semble vouloir recréer l'atmosphère du premier opus sinon j'ai apprécié ce côté un peu post-apocalyptique de certains moments (la ville abandonnée). Ce n'est pas un film d'horreur parfait mais tout de même entraînant avec quelques scènes gores bien faites, le scénario reste toujours flou sur les motivations du Tall Man et nous n'en saurons pas plus non plus cette planète spoiler: où sont envoyés les cadavres transformés en sorte de nain zombis.

Quoiqu'il en soit cette suite s'avère sympa à mater.

Bon, cette fois-ci la magie n'opère pas, c'est le moins que l'on puisse dire

Une suite minable. On a perdu l'ambiance mystique du premier film et les acteurs sont catastrophiques sans parler de la mise en scène soporifique et un scénario navrant. Une perte de temps, reste quelques scènes avec ses fameuses boules tueuses mais c'est tout.

Don Coscarelli,réalisateur de son premier long-métrage culte sorti fin des années 70,poursuit sa lancée avec une excellente suite dont la réalisation lui a coûté 3 millions de dollars et 7 millions au box office.L'histoire raconte après les événements passé,Mike se trouve dans un hôpital psychiatrique.Il est ensuite libéré pour combattre avec son ami Reggie le marchand de glace.le grand homme des pompes funèbres. Phantasm II comporte beaucoup plus d'effets spéciaux,de sphères et de nains mort-vivants qui sont les esclaves du grand homme.En effet on retrouve le mythique,le grand et le terrifiant Tall Man avec son armée de boules tueuses qui perforent des gens(attention ce n'est pas beaux à voir).
Phantasm II dépasse le premier d'une part un budget plus important mis à la réalisation et une violence plus furieuse,néanmoins il ne le dépasse pas dans son suspens et son univers macabre.
En parlant de Phantasm II qui est plus gore,pourquoi l'on t'il déconseillé au moins de 12 ans alors que le premier était moins de 16 ans alors que dans le 2 il y'a plus de nudité et plus de gore,je mettrais que le premier serait moins de 12 et que le 2 est moins de 16 ans.
Gros problème dans cette suite c'est que les acteurs sont encore plus mauvais,avec un JamesLeGros catastrophique et avec un Reggie moins bon.
De toute manières cette suite et un Fantasme.

Cette suite me fait penser à Evil Dead 2 (toute proportion gardée), le premier avait l'ambiance le second l'excès, et ici le film parait beaucoup plus brutasse, les maquilleurs sont à l'honneur et les scénaristes toujours à la buvette. Les personnages n'ont rien à dire mais ils se battent à coup de tronçonneuse donc au moins c'est divertissant bien qu'incroyablement con, enfin je dirais que les enjeux sont un poil plus lisibles même si on ne peut plus convenus avec un petit twist final tout sauf atypique. Je ne sais pas si je le préfère au précédent mais au moins il a l'audace de proposer quelque chose de différent avec sans doute les moyens désirés cette fois ci, mais l'univers est vraiment pas ouf, le croque-mort et ses traqueurs sont d'une fadeur...

La suite au moment même ou l'intriguant premier volet se termine. De mauvaise qualité, tout simplement. Aucun charisme du nouveau petit Mc Gyver et des doublage en Français qui nous gâchent le plaisir d'entrée de jeux. malgré cela les fameuse petites bouboules tueuses nous intrigues toujours autant... Déception. ----Février 2018----

2ème volet d'une saga comportant 5 film si j'ai bien souvenir, celui-ci fut encore moins bon et n'aura montrer que 2% d'horreur pur dont sa scène finale. Des acteurs pas convainquant, une accumulation de longueurs dut à la parole, un ennemi ridicule, une histoire qui patine. Tel la saga "Vendredi 13" ou seul 2 films s'en sont superbement bien tirer, celle-là ne décolle même pas des années après le premier, pourtant, les années 80 sont les premières meilleures pour les genres S.F. et Horreur. Lamentable.

De l’art de foirer les suites : par son mélange improbable de science-fiction et de fantastique aux tendances gores, le premier épisode de Phantasm pouvait laisser l’impression d’une production bancale, bordélique, truffée d’erreurs de débutant (ce que Don Coscarelli était sans contexte à l’époque)...mais dans le même temps, il possédait un univers à part, une atmosphère indéfinissable et un Bad Guy - le “Tall man� - extrêmement charismatique en la personne d’Angus Scrimm : avec un budget dont on fait d’ordinaire les navets, Coscarelli était parvenu à livrer un petit classique instantané, dont les qualités de fond compensaient aisément les faiblesses de forme. Le cinéaste ne parvint pas pour autant à se faire le genre de nom qui ouvre toutes les portes car pas loin de dix ans plus tard, Universal pictures ne voulait toujours pas financer ses projets personnels à moins qu’il ne s’agisse d’une suite à ‘Phantasm’. De guerre lasse, ce fut donc cette dernière orientation que Coscarelli finit par privilégier, ce qui lui valut un confortable budget, le plus élevé de toute la franchise. De fait, les différents effets spéciaux, qu’ils soient sanguinolents ou non, n’ont pas à rougir face à ceux des grosses productions de l’époque...mais loin d’aider Coscarelli à affiner sa vision, ces nouveaux moyens ruinent le fragile équilibre sur lequel reposait le premier ‘Phantasm’. Donner une suite à un film, dans les années 80, pouvait se traduire simplement par “mettre plus de flingues� : du coup, quand bien même les serviteurs-nains-zombifiés sont enfin exposés dans toute leur laideur et les sphères volantes sont plus crédibles, l’atmosphère si singulière de Phantasm passe à la trappe, au profit d’un simple western horrifique dans lequel Mike et Reggie sillonnent une Amérique délabrée, comme dans un ‘Supernatural’ avant l’heure, et font périodiquement le coup de feu contre les acolytes du Tall Man. Dans le même ordre d’idées, un certain recours à l’humour noir et une bonne dose de ridicule dans les combats signalent la tentative de ‘Phantasm 2’ de suivre les traces de ‘Evil dead 2’, sans jamais y parvenir. Si ce ‘Phantasm 2’ a sans doute été apprécié en son temps, les années ont éliminé l’avantage concurrentiel dont il disposait et l’ont ramené à ce qu’il est fondamentalement, une pâle copie de l’épisode original.

Ce deuxième opus est toujours aussi décousu sur le plan scénaristique mais bénéficie de "belles" séquences gores... On n'a toujours pas d'explications mais le film se regarde avec plaisir...

Une suite plus spectaculaire que le premier métrage, et qui reste toujours un agréable divertissement, bien que le scénario un peu trop rocambolesque, et peu d’explications supplémentaires par rapport au premier film ne lui permette pas de s’affirmer outre mesure.
Le casting est emmené par quelques-uns des anciens acteurs du premier film, à savoir Angus Scrimm, de retour dans la peau du méchant. Il est encore plus charismatique à mon sens, et encore plus méchant, ce qui ne gâte rien à cette suite où il sait faire preuve d’un sadisme réjouissant. Reggie Bannister s’y colle de nouveau lui aussi, campant son personnage homonyme avec plus d’entrain. Il gagne réellement en importance, tandis qu’à ses côtés il est vrai aussi, James LeGros est un peu fade, malgré des efforts louables pour s’affirmer. Un personnage féminin s’adjoint aux autres, Paula Irvine, qui semble être là parce qu’il faut bien une femme.
Le scénario mise donc davantage que le 1 sur l’action. Plus d’horreur aussi, particulièrement dans la dernière partie. Phantasm 2 reprend la mythologie crée dans le 1, la développe un peu mais sans plus, et surtout profite de moyens supplémentaires pour rendre l’ensemble plus dynamique et plus efficace. Plus méchant aussi, cette suite est plus sombre et mise un peu moins sur l’ambiance au profit des effets chocs. Pour ma part si l’on est dans un ton différent, on reste sur un bon niveau qualitatif.
Visuellement Coscarelli se révèle plus audacieux. Encore une fois cette suite ne renouvelle et n’innove guère sur le fond, et on retrouve par exemple des décors similaires, un monde de l’au-delà similaire, des créatures identiques… mais tout est plus marqué. La mise en scène est clairement au-dessus, avec des effets de style à la Evil Dead que Coscarelli maitrise fort bien (les sphères), les décors sont de qualités (les ruines), et la photographie conserve les atouts du premier film avec une ambiance moins travaillée peut-être, mais sans gravité. De même il y a des effets spéciaux plus percutants, avec quelques moments horrifiques fort réussis, et la bande son si marquante du premier métrage est de retour. C’est fort louable.
Phantasm 2 pourra donc déconcerter un peu, vu qu’il reprend les mêmes ingrédients que le 1, mais distillé d’une autre manière, sur un scénario différent et surtout avec un style plus explicite et graphique. Pour ma part cela ne m’a pas gêné, et ce Phantasm 2, plus sombre aussi, m’a paru être une suite de l’acabit du 1. 4.

Bien supérieur au premier de cette franchise . Des explications sur les événements qui terrorisent les personnages. Des scènes assez angoissantes et à la fois drôle.

Avec Phantasm II meurt la surprise. Bienvenue dans le cliché ! Notre jeune héros sort d’un hôpital psychiatrique, dispose de pouvoirs télépathiques avec une jeune demoiselle et capable de lire dans les pensées du Tall Man ; il est épaulé par l’idiot du village ex-vendeur de glaces aussi insupportable qu’inutile. Vous avez aimé les deux nains du premier opus ? Eh bien en voilà par dizaines ! Vous avez aimé les bouboules volantes perforeuses de tête ? Eh bien en voilà une flopée ! Preuve que plus de moyens et plus de spectaculaire ne font pas forcément meilleur film, ni aussi bon d’ailleurs. Car le chemin est des plus balisés : on sait constamment où l’on met les pieds, la faute à une œuvre fascinée par sa voiture – qui recouvre une bonne moitié du métrage – arpentant les routes d’un scénario linéaire. Un road trip ? Assurément pas : la psychologie des protagonistes (si tant est que l’on puisse parler de psychologie) n’évolue jamais, les enjeux non plus. Nos deux âmes torturées se serrent les coudes, érigent leurs pensées en voix-off franchement calamiteuse. La vengeance sert de toile de fond, les armes pleuvent. On retombe dans un énième film-commando où deux boulets vont imposer leur loi. Un western alors ? Des villes-fantômes, c’est tout. L’histoire n’a aucun sens, les personnages se meuvent sans justifications, retrouvent le Tall Man par la magie de l’intuition. Adopter le fantasme comme structure narrative ne doit pas servir de prétexte à une fainéantise d’écriture. Le seul intérêt de Phantasm II réside dans ses effets horrifiques très réussis qui imposent une véritable ambition esthétique loin du tout-venant des productions lambda. Mais quelle déception devant une œuvre au potentiel immense qui ne réfléchit plus et se contente d’expédier ses scènes sanglantes comme on découpe du jambon ! Pauvres fantasmes.

Suite sans charisme ne retrouvant aucune des qualités du premier opus, Phantasm 2 ressemble a n'importe qu'elle mauvaise série B et déçoit profondément. Phantasm premier du nom misait tout sur l'atmosphère et réussissait à créer un univers étonnant et original. Ici rien de tout cela, on ne retrouve pas une trace du climat étrange et angoissant qui régnait dans le premier opus. Don Coscarelli préfere tout miser sur l'action et le gore, on a donc le droit à des effets sanguinolents assez sympathiques, un duel à la tronçonneuse et aussi à l'incursion de deux filles dans l'histoire. Le scénario est basé sur l' intrigue infime et inintéréssante selon laquelle Mike, le héros, voit une blonde en danger dans ses rêves. Aidé de son ami Reggie ils partent à la poursuite du Tall man qui s'attaque maintenant au monde entier semant la mort et la destruction dans chaque ville où il passe. Drôle d'idée de faire se promener le Tall man alors que sa demeure du premier épisode était un élément important et un personnage à part entière. L'intrigue avec la jeune blonde donne également lieu à des dialogues creux entre les deux personnages principaux pour combler le vide d'un scénario aussi peu intéréssant. Ce qui choque et qui n'aide pas le film à sortir de sa médiocrité est l'acteur qui joue Mike, différent du premier opus, beau-gosse vide et ridicule sorti d'un épisode de Beverly Hills et dénommé James Legros.
L'ensemble relève du grotesque et dissuade de regarder les 2 autres suites.