Avis : Harry Potter et le Prince de sang mêlé - Page 3

Celui là ma complètement déçu ! Je m'attendais qu'il soit le meilleur des 6 épisodes de la saga mais en faite non; Bref ce film est vraiment NUL NUL NUL !!! Bon quand c'est le plus somre de la saga avec les 2 derniers épisodes.

Plus sombre que jamais, ce sixième opus marquera la révélation sur les horcruxes, l'enfance de voldemort et la mort d'un personnage emblématique.

Après avoir regarder les chefs d'oeuvres des cinq opus précédents de la saga culte, ce sixième opus est réussit, mais c'est le moins bon de la saga. La musique est toujours aussi géniale et culte, Daniel Radcliffe est toujours au top dans son rôle d'Harry Potter, Rupert Grint, Emma Watson, Micheal Gambon, Alan Rickman, Robbie Coltrane, Jim Broadbent, Bonnie Wight, Tom Felton, Helena Boham Carter sont parfaits eux aussi dans leurs rôles. On rencontre des nouveaux personnages Horace Slughorn et Narcissa Malefoy. spoiler: Suite à la mort de Sirius, Harry hérite de ses biens. C'est Dumbledore qui l'emmène au nouveau quartier général de l'Ordre du Phénix. En chemin, Harry est la pièce maîtresse qui décidera un vieil homme à devenir professeur de potion à Poudlard cette année. Suite à d'étranges comportements de la part de Drago, Harry se persuade que celui-ci est devenu un mangemort comme ses parents. Harry trouve dans son livre de potion d'étranges annotations. Celles-ci enseignent des sortilèges inconnus à ce jour. Tous ces griffonnages sont signés du prince de sang mêlé. Harry, à qui ses visions le connectent à Voldemort est contraint de suivre des cours avec Rogue pour fermer son esprit au seigneur des ténèbres. De plus, Dumbledore lui fait découvrir des renseignements dans son bureau sur Voldemort et ses partisans. Ainsi, il apprend l'existence d'Hostruxes, des fragments d'âme qui tiendrait Voldemort en vie. Enfin, Harry poursuit son enquête au sujet de Drago, qu'il manque d'ailleurs de tuer au cours d'une soirée, dans les toilettes des filles. Au cours de l'année, des couples se forment. Ron trouve pour la première fois l'amour auprès de Lavande. Hermione s'en montre très jalouse. Harry se rapproche de très près avec Ginny, la petite soeur de Ron. Alors que Dumbledore le convie à participer à une mission secrète de haute importance, Harry a un très mauvais pressentiment. Il confie alors une fiole d'une potion de chance aux anciens membres de l'AD en les encourageant d'en boire. La mission visant à trouver un Hostruxe, Dumbledore pâtit dangereusement des sortilèges de défense mis en place par Voldemort. De plus, à leur retour au château, celui-ci est assailli par les mangemorts. C'est là que Harry découvre que Drago en est le responsable. Sous les yeux du garçon, Rogue, qui est aussi le prince de sang mêlé, jette le sortilège de mort sur Dumbledore. Celui-ci s'éteint sur le champ. Les mangemorts fuyent.
Il y a de l'action, un peu longueurs, de l'humours, des effets spéciaux réussit, des sortilèges.. Un sixième volet parfait. Un Chef d'Oeuvre, même si je trouve que ce n'est pas le meilleur de la saga, 5/5.

Ce sixième chapitre plein de suspense nous dévoile de sombres secrets. Un film sombre mais génial, un des meilleurs de la saga.

est-il possible de s'endormir devant Harry Potter ? la réponse est oui. Terriblement soporifique, malgré un début très prometteur, le film s'enfonce dans les poncifs d'ados attardés et ne s'en relève jamais jusqu'à en devenir un scénario-navet. Certes on ne peut dire que la réalisation, la mise en scène et les effets ne sont pas bons, car c'est plutôt le contraire. Alors disons simplement, au risque d'être grossier, qu'on s'emmerde ; ferme.

Il est dorénavant entendu que Steve Kloves accomplit un travail impossible en adaptant la saga littéraire de J.K. Rowling. «Harry Potter and the Half-Blood Prince» (Grande-Bretagne, 2009) de David Yates ne déroge pas à la règle et témoigne encore une fois de l’absurdité des adaptations. C’est le lot de chacun des films. Pour ce sixième épisode, passons outre. David Yates, pour la deuxième fois aux commandes de la franchise, prend l’initiative bienvenue de mêler l’épopée belliqueuse qui oppose les forces des Ténèbres aux défenses du Bien avec l’émulation des premières histoires d’amour. Selon un schéma éculé, la grande Histoire rencontre les petites. Souvent concentrés sur la seule intrigue extraite du roman, les précédents épisodes exploraient avec parcimonie l’intimité des personnages. Dans «The Half-Blood Prince», la part laissée aux premiers émois importe autant que l’intrigue générale. Ce qui fera reprocher à d’aucuns la niaiserie générale. En octroyant une telle part aux sentiments, plus que ce n’était le cas dans le roman, Kloves et Yates roulent à plein gaz. On perçoit comme une définition du film lorsque Bellatrix Lestrange rétorque à Dumbledore : «Je ferais bien les présentations mais nous sommes tous pressés.». Yates se chargerait bien de fouiller l’ambigüité des sentiments qui se croisent dans le personnage d’Harry Potter mais il a un cahier des charges serré à respecter et tout doit rentrer dans les cases. Même 2h40 ne savent pas contenir l’ampleur de l’univers créé par Rowling. Au lieu de satisfaire l’écrivain, à l’origine de l’histoire, Yates satisfait Spielberg, à l’origine du projet d’adaptation cinématographique. Le réalisateur d’«Indiana Jones» voulait initialement réalisé le film Harry Potter en animation 3D. A voir le caractère lisse des matières, la pléthore étouffante d’effets spéciaux, le numérique a définitivement grignoté la vraisemblance réaliste. On penserait presque avec nostalgie aux maladresses de «The Sorcerer’s Stone».

Que dire sur Harry Potter et le Prince du sang mêlé ? Le réalisateur a-t-il lu au moins une page du livre ? A-t-il compris l’univers d’Harry Potter ? La magie ? Je ne pense pas, le réalisateur à utilisé le nom d’Harry Potter pour vendre son film, mais ce n’est aucunement un Harry Potter !
Ce film est plat, loin d’être noir comme le livre, on n’apprend rien sur l’histoire de Voldemort, sur le prince du sang mêlé…dont ce dernier se pointe simplement à la fin comme une fleure en disant « je suis le prince du sang mêlé » C’était histoire de justifié le titre du film.
En fait, c’est plus un documentaire sur les premiers amours de la puberté qu’autre chose ! Et cela pendant plus de deux heures ! C’est long, très long ! C’est un Hélène et les garçons raccourcis.
Je ne peux comprendre comment ils ont pu faire un film aussi nul, d’ailleurs comment les gens qui aiment Harry Potter, et je ne parle pas des ceux qui ont lu les livres, peuvent trouver ce film bien ???!!! Ce n’est pas du Harry Potter… Car comme d’habitude, on ne retrouve presque rien du livre, mais surtout on ne ressent même pas l’ambiance, la fantaisie, le rêve de l’univers d’Harry Potter !
A mon sens, ce fut la plus mauvaise adaptation de livre que j’ai pu voir.
Pitié, ne laisser pas ce réalisateur, qui ne cherche qu’à faire de l’argent, réaliser les derniers films , car se serait finir une épopée magique en catastrophe dramatique !

On se laisse facilement porter par une ambiance plus sombre que jamais et on se rend vite compte que ce sixième volet d'Harry Potter est l'un des meilleurs opus de la saga! En effet on sort du conformisme et on a ici un vrai film! Alors qu'Harry, Hermione et Ron dècouvrent les tourments amoureux de l'adolescence, le monde qu'ils connaissent est sur le point de plonger dans le chaos! David Yates, dèjà aux commandes du poussif "Harry Potter and the Order of the Phoenix", nous plonge durant 2h30 dans un climat de tension où tout le monde doit faire son choix: le Bien ou le Mal ? Quelques scènes deviennent rapidement cultes (Harry plongeant sa tête dans la Pensine pour en apprendre plus sur le passè de Voldemort) et les seconds couteaux comme Severus Rogue (le grand Alan Rickman) sont parfaits! Avec ses intrigues innombrables et sa noirceur, ce sixième volet est une rèussite qui plonge le spectateur dans une atmosphère crèpusculaire et respecte la ligne de conduite du livre en y imprègnant son ambiance si particulière...

Une peinture pertinente de l'adolescence qui sait jongler entre l'humour et le suspense. Comme dans l'épisode précédent, David Yates s'attache plus à ses personnages qu'à l'action et signe un film sobre mais passionnant.

1er Harry Potter que je regarde en ayant lu le livre avant. Autant les précédents je les trouvais enfantins, les derniers plutôt sympa mais avec la même trame (un grand évènement et l'action de Potter tout autour, Voldemort qui rôde mais ne fait rien de remarquable...), autant celui-là change tout, et tant mieux.
Alors je dois avouer que, comme de nombreux fans, le film est surtout un condensé du livre, déjà qu'il fait 2h30 alors si on veut en mettre + c'est en 2 opus (comme le dernier tome). Mais bon, un condensé c'est bien, sauf qu'on retrouve peu de choses du bouquin, pauvre réalisateur. Faut avouer que celui-là s'en tire bien, vu les moyens c'est difficile de faire mieux. Il a pour lui d'avoir bien retranscrit l'aspect sombre et glauque inhérent à cet épisode ainsi que la dramaturgie de la fin. Par contre le responsable casting... Slughorn est censé être gros, on insiste bien dessus si on sait lire, et là le mec est presque rachitique, on aurait dit qu'on lui a mit un petit coussin pour faire le bide. Baladez-vous dans les rues anglaises et un bon gros ça se trouve partout.
Pour le reste rien d'original, les acteurs principaux sont toujours trop vieux pour leur rôle, Dumbledore et Rogue jouent bien mais on les voit trop peu, les parties zappées du livre auraient pu être présentes en enlevant quelques longueurs du film, la musique reste la même à peu de choses près et n'a donc rien d'exceptionnelle... Je ferais remarquer par contre que l'évolution des sentiments est partagée : entre Ron et Hermionne ok, ça avance, on voit où ça va, pour Harry par contre... Vous l'avez vu avec Ginny ? Non plus ? Ouep, spoiler: pourtant ils vont finir ensemble et Potter est déchiré de s'en séparer à la fin, là un becquot et plus rien, si vous vous mariez avec un début pareil vous êtes fort
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En tout cas bon courage au réalisateur du 7è car pour tout expliquer, vu les manques dans les 6 opus précédents il sera bien obligé, il aura pas trop de 2 films, surtout qu'on attend l'apothéose... Au final je suis déçu car le livre était génial, et le film n'en retrace qu'à peine la moitié. Certes on passe un bon moment, on a toujours plaisir à revoir ces persos, mais la déception de tout ce qui est zappé prédomine pour ma part, c'est pourquoi je suis moins magnanime sur cet opus.

Le drame prend forme. Le film est beau tragique et émouvant. Mais également d'une maturité impressionnante. Visuellement, le noir et blanc, présent dans plusieurs scènes donne au film un cachet tout particulier.

De loin le plus médiocre des "Harry Potter". Les défauts sont les mêmes que dans le précédent film, déjà dirigé par David Yates, mais de manière encore plus marquée. "Le Prince de Sang-mêlé" manque de dynamisme et Yates semble éviter consciencieusement tous les sujets importants pour se concentrer sur le secondaire. Quasiment deux heures sont consacrées à des sous-intrigues sans qu'ont entre réellement dans le vif du sujet, à savoir le passé de Voldemort et le secret que celui-ci garde jalousement. On peut penser que c'est un mal pour un bien puisque ça permet de développer les personnages mais même pas car leur traitement est fait de manière beaucoup trop superficielle. Proche de la comédie romantique, ce sixième film semble essentiellement centré sur les histoires d'amour du trio principal, avec Harry/Ginny (personnage très mal écrit et insipide dans le film) et le triangle amoureux Ron/Lavande/Hermione. Alors certes, après six ans, le spectateur s'est attaché aux personnages et aime les voir évoluer à l'écran, et les passages avec Ron sont souvent amusants. Mais es-ce que ça suffit à faire un film ? Non. Et l'énigme qui donne sont titre au film, à savoir qui est se mystérieux Prince de Sang-mêlé, est inutile. On a finalement peu parlé de lui et de son livre de potion durant tout le film, où du moins pas de manière significative et le spectateur s'y intéresse peu puisqu'il ne fait pas avancer l'intrigue et n'est jamais vraiment mis en avant comme quelque chose d'important. Et le fait est que ça ne l'est pas et que la révélation de son identité tombe comme un cheveu sur la soupe sans rien apporter à l'intrigue. Et c'est bien là tout le problème du film. Il est assez inutile dans le sens où toute l'action est concentrée dans les trente dernières minutes et que même ce dénouement, la découverte du secret de Voldermort, ne fait que préparer les rebondissements du film suivant. Alors bien sûr, le film fait mouche par moments, en particulier à la fin. Nous ne sommes pas sans ressentir un petit pincement au cœur devant spoiler: la mort de Dumbledore où encore Bellatrix dévastant la Grande Salle et incendiant la maison de Hagrid
mais cela tient moins au talent de David Yates (cinéaste médiocre) qu'à notre empathie envers des personnages que nous suivons depuis six ans. Mais "Harry Potter et le Prince de Sang-mêlé" est plus un film de transition qu'autre chose, qui nous laisse espérer un épilogue pour la saga plus convaincant.

beaucoup moins bien que le 5 , mai reste bon quand même le scénario est cool , les acteurs toujours aussi bon , les éfets speciaux aussi par contre je suis d accord pour la révélation sur rogue elle n aporte rien a la saga , dans le 7 cet révélation est totallement ignorer et ne sers a rien , ce qui est dommage en sois , ça aurais pus être exploiter , et pour dumbledore je dis rien sinon spoil mais .... c est choquant , et on aprends beaucoup sur les orcruks , en gros ce sixième est plus une mise en place pour le 7 , tout comme avengers 3 infinity war sera une mise en place pour avengers 4 infinite , mais sinon il été bien ce sixième , 3,5/5

Ce volet a son lot d'effets spéciaux et de romances adolescentes.
Pour résumer, rien de bien nouveau, ni de bien intéressant.

HP6 et HP7 même combat. Tous aussi nul les uns que les autres.