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    Cléo De 5 À 7
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    92 critiques spectateurs

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    pierrre s.
    pierrre s.

    349 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2016
    Une bonne idée de départ, et quelques très belles scènes. Voilà ce que l'on retient de ce film poétique et réussi, malgré quelques trous d'air.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    22 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2012
    Construit sur une idée simple mais assez inédite, Cléo de 5 à 7 offre une histoire en temps réel, pendant une heure et demie. Un après-midi riche en rencontre où Cléo, belle superstitieuse qui s'attend à mourir, va découvrir une nouvelle approche de la vie. Des simples chauffeurs de taxi jusqu'à un soldat assez bavard, plein de personnages qui composent au fil des chapitres ce petit bijou de la nouvelle-vague. Bien que certaines longueurs se fassent percevoir à certains moments, Cléo de 5 à 7 reste un long métrage très intéressant. Une bande originale excellente.
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2013
    Agnès Varda a signé là une oeuvre extrêmement intéressante. 40 ans avant 24 heures chrono, elle fait le choix de filmer les événements en temps réel. 40 à 50 ans avant Terrence Malick, elle traite à merveille le thème de l'éveil spirituel. Bref, à voir !
    Antoine D.
    Antoine D.

    34 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Agnès Varda passe au premier plan de la Nouvelle Vague et vient côtoyer les plus grands comme Truffaut et Godard, elle est aussi propulsée sur les marches du festival de Cannes dès son 2ème long métrage.

    Cléo est une jeune chanteuse qui attend ses résultats d’analyse. Elle passe alors chez une voyante pour connaître son futur avant de découvrir Paris dans la peur.

    Avec Varda, on passe du sujet le plus grave au plus léger avec délicatesse grâce aux différents styles.
    Cléo découvre la vie en 1 heure 30 dans sa déambulation parisienne qui devient une quête spirituelle. Pour vivre et vaincre l’angoisse des résultats d’analyse, elle rencontre des personnes et puise la sagesse dans chacune des histoires de ceux-ci. Toujours dans la délicatesse, symbole de la femme, on suit l’envol d’une femme.
    kinophil
    kinophil

    19 abonnés 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2012
    Une histoire simple, une écriture légère pour un film sur le thème de l’angoisse de la maladie. L'action se déroule en temps réel dans le Paris des années 60, dans un style inventif très "nouvelle vague" marqué dans le fond par la référence à des problématiques de l’époque (allusions à la guerre d’Algérie et à la libération de la femme), et dans la forme par de longues scènes de rues, de très beaux mouvements de caméra et la rupture de séquences décalées (scène de répétition de chansons avec Michel Legrand au piano, petit film intermède avec Jean-Luc Godard and Co. Un film touchant bien dans le style Varda.
    ferdinand
    ferdinand

    12 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2014
    Cinquante ans après, l'extraordinaire film qui fit connaître Agnès Varda s'est bonifié si c'est possible! Film fascinant de bout en bout, Corinne Marchand, si belle, Antoine Bourseillier, si simple, Paris.. Quelle merveille!
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 072 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2014
    Un très beau portrait de femme très original dans la forme puisqu'il suit son héroïne pendant un laps de temps réel de 2 heures minute par minute. En pleine nouvelle vague, Agnès Varda, dans peut-être son plus beau film, offre un portrait sensible et pourtant sans concession d'une jeune femme insouciante que l'épreuve de l'attente et de la maladie va finalement épanouir. Dans le rôle de Cléo, Corine Marchand a trouvé le rôle de sa vie.
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mai 2009
    Voici donc le chef d'oeuvre d'Agnès Varda, l'un des films essentiels de la Nouvelle Vague, la pièce maîtresse du cinéma au féminin... Pour ma part, Cléo de 5 à 7 m'a laissé de marbre. Si le long métrage part d'un dispositif amusant ( celui d'avoir une durée similaire à l'intrigue : mais rien de très nouveau cependant ), l'histoire n'a pas grand-chose d'intéressant et se perd dans les futilités les plus insignifiantes. Sur le plan de l'interprétation, tout est surfait : l'actrice principale peine à nous procurer l'émotion, son jeu sonne proprement faux et creux. Par ailleurs, la photographie est d'une beauté tout à fait relative ( c'est à dire assez laide ): en effet, les décors naturels et les acteurs baignent dans un Noir et Blanc pisseux, aussi terne qu'un chewing-gum usagé. La musique de Michel Legrand, répétitive jusqu'à la saturation, est insupportable au final... Reste une mise en scène surprenante par moments ( la présentation de l'accident par exemple ), qui témoigne d'un certain talent de la part d'Agnès Varda. Il serait grand temps de redécouvrir d'autres classiques de la Nouvelle Vague : Le Mépris, Pierrot le Fou, Le Genou de Claire...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 juin 2014
    Cléo vit presque deux heures devant nous. Elle porte deux robes, deux chevelures et deux coiffures. Elle a deux visages. Presque futile, riant, pleurnichant avant d'onduler des hanches deux minutes après, Cléo quitte ses masques et ses mines au cours du film pour révéler une beauté sobre et sincère. Il s'agit ici d'un voyage, d'une femme filmée qui se dévoile lorsqu'elle cherche à se montrer le moins. Tandis que l'intérêt narratif du film est principalement la dualité du personnage, son intérêt visuel est dans le mouvement, celui de la caméra, et celui des passants qu'elle filme. Je vous encourage à voir ce film, pour tenter d'en percer les secrets, ce qui fait sa force est qu'il laisse pour moi beaucoup de questions sans réponses. Des scènes très belles aussi, comme spoiler: celle du piano ou des déambulations de Cléo dans le café du dôme.
    ferdinand75
    ferdinand75

    450 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Une vraie pépite du cinéma français qui n’a pas pris une ride, et qui au contraire s’est bonifiée, comme un grand vin. L’esprit « nouvelle vague», dans ce qu’il a produit de meilleur, de précurseur et de flamboyant . Avec le recul, revu en 2023, c’est peut-être après « A bout de souffle » le meilleur film de cette vague. Tout y est : une image magnifique, soignée, noir et blanc « classieux », chic, superbe chef Opé, des cadrages au millimètre, on est souvent proche de la peinture, de l’hyperréalisme américain ou E. Hopper ,(plans de l’appartement de Cléo , style Vasarely, formes géométriques en noir et blanc ), ou aussi Velasquez pour les profondeurs de champ. Quand la caméra devient mobile, en extérieur s’est aussi superbe, les plans à l’épaule, de l’intérieur d’un taxi se baladant dans le Paris des 60’s sont un régal, plein de nostalgie. La partie dans le parc Montsouris, vide, ensoleillé, illuminé, extra, d’une féerie intense, et la dernière partie à la Salpêtrière filmé comme une cathédrale, ses coursives secrètes, des cadrages à couper le souffle. Et puis il y a la partie humaine, cette femme qui apprend qu’elle a une maladie très grave, qu’elle peut mourir, son angoisse, son approche de la fin annoncée. Elle essaye d’apprivoiser l’idée de la mort, sans succès. Mais la rencontre au parc Montsouris avec un jeune appelé du contingent, va lui apporter une sérénité, un nouveau départ. Et la visite au cancérologue à l’hôpital, en sa compagnie va tout changer. Le final est magnifique, la mort est bien toujours présente, car comme le disait le grand L.F. Céline , « la seule vérité , c’est la mort », mais Cléo comprend qu’il y a des moyens de relativiser et d’apprécier le moment présent ; et de petits instants de bonheur . Corinne Marchand est excellente et l’on s’étonne qu’elle n’ait pas fait une plus grande carrière, dans de grands films. Une belle bande son de Michel Legrand et surtout le « caramel » pépite/insert du court métrage burlesque avec JL. Godard et A. Karina en guest- star .Oui vraiment Agnès Varda était bien une pièce maitresse de la nouvelle vague, une très grande réalisatrice .
    Arthus27
    Arthus27

    73 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2023
    Si les enjeux du film et les caprice de son personnages éponymes peuvent lasser, Cléo de 5 à 7 n'en demeure pas moins un excellent film. La mise en scène fait toujours preuve d'inventivité, notamment pour filmer le Paris des années 60
    Grand film réalisé par Agnès Varda et qui conserve toujours aujourd'hui toute sa force. Suivant le personnage de Cléo durant 2 heures de sa vie, on assiste à ses joies, ses doutes, ses peine... Le film nous offre des moments poétiques et tendres, servis par une mise en scène audacieuse et des dialogues subtilement écrits.
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2015
    Parfaitement dans l’esprit de la Nouvelle Vague, qui réussissait à donner à ses films un réalisme rafraichissant grâce à leurs tournages en pleine rue, Cléo de 5 à 7 s’impose comme une œuvre particulièrement remarquable de cette mouvance novatrice puisqu’il est le seul à avoir été réalisé par une femme. C’est dans la façon qu’a eu Agnès Varda d’alterner les styles que son second long-métrage, et sa première fiction, est véritablement audacieux. En commençant par un générique en couleurs qui, dès que la mort est évoquée, passe à un très beau noir et blanc, puis en intercalant des scènes qui rendent directement hommage aux comédies musicales ou aux films muet, la réalisatrice fait preuve d’une maitrise du support cinématographique épatante. Il est certain que son défi de construire une narration en temps réel (qui aurait d’ailleurs dû s’appeler Cléo de 5 à 6h30), est une inévitable source de longueurs (après tout, Cléo c’est pas Jack Bauer !), la poésie avec laquelle sont filmées chaque séquence, et en particulier dans le romantisme de la fin, permet à l’ensemble d’être véritablement agréable à suivre, sans que la question du rythme ne devienne jamais un problème. Que l’on adhère ou non à sa façon un peu naïve de représenter la peur de la mort, le film est une pièce maitresse du cinéma français.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2019
    Ce deuxième long-métrage d’Agnès Varda est à la fois un poème urbain sur le Paris du début des années 60, une ode à la vie et à la liberté portée par une Corinne Marchand époustouflante de beauté et une œuvre majeure de la Nouvelle vague française, tourné en décors naturels et en temps réel – Cléo de 5 à 7 est divisé en treize chapitres qui correspondent à autant de minutes d’une même séquence, sur une heure et demi. Reflétant le bouillonnement culturel d’une période révolue, la cinéaste multiplie ici les références et les hommages à ses contemporains : on retiendra notamment une magnifique scène chantée en compagnie de Michel Legrand au piano qui aurait toute sa place dans une comédie musicale de Jacques Demy, ou encore un film dans le film, intitulé Les fiancés du pont Mac Donald, clin d’œil burlesque interprété notamment par Jean-Luc Godard, Anna Karina et Jean-Claude Brialy. Un chef-d’œuvre intemporel.
    Mélany T
    Mélany T

    26 abonnés 477 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    Une mise en scène belle et inventive, un récit captivant et novateur et un personnage développé et passionnant font de cette oeuvre un petit bijou cinématographique.
    BURIDAN
    BURIDAN

    19 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juillet 2013
    « Cléo de 5 à 7 », le film majeur d’Agnes Varda…
    Avec « Sans toi ni loi » …
    « Cléo de 5 à 7 », film sur la mort, la vie, la maladie… Film que j’ai visionné il y a déjà bien (trop) longtemps et qui me laisse, paradoxalement, une impression de bonheur...

    Quelle maîtrise : scénario, mise en scène, montage…
    Et ce beau noir et blanc pour servir l’animation de la ville « lumière »…
    Et ces seules couleurs du générique qui accompagnent les cartes expression du destin (de la « vraie » vie ?) au son grinçant de la Pythie…
    Et ces images répétées pour accompagner la belle musique de Michel Legrand (quel acteur !)…
    Et ce petit film burlesque inscrit dans le film d’où jaillissent les figures de proue de la nouvelle manière d’écrire le cinéma (Godard-Karina, vedettes de la Nouvelle Vague…

    On va ainsi de minute en minutes (le temps, l...e temps !) et de surprise en surprise.
    D’autant plus que cette aventure de vie se déroule en temps réel… Ou presque : deux heures du basculement d’une vie résumée en quatre vingt minutes…
    Un drame ?

    Oui mais…
    Paris était si beau et le parc Montsouris aussi !!!
    Paris qui bouge, qui braille, qui vit dans l’action récurrente, l’indifférence collective à la terrasse d'un café, au son d’un radio annonçant des massacres lointains.
    Varda si près, si loin d’un Godard par exemple. Regardez « Vivre sa vie » tournée en même temps que « Cléo… », au thème si proche de Varda, si opposé aussi !

    Voici, ce qui fait la richesse de « Cléo de 5 à 7 » c’est qu’il s’agit de l’œuvre d'une FEMME…
    La SEULE femme actrice en idées et en réalisation de cette NOUVELLE VAGUE…
    Voyez…
    Les peurs, les pleurs, les rires et les confidences sont ceux d’une femme… Cette manière d’entendre les chiens japper sans se retourner… D’acheter un chapeau…
    Cette façon d’assurer un style vif et scintillant servi par une écriture si légère … Une hésitation, une envie qui s’assume comme telle…
    La maladie. La vie.
    L’épreuve comme une ouverture aux autres.
    Une ébauche de baiser amoureux…

    UN FILM !
    Un film sans zéfé spécios et qui n’a pas coûté 100 millions de dollars…
    Un film sans bagnole vrombissante, sans flingue, sans hémoglobine et sans débilité…
    Un film sans pub subliminale.
    Un film d’auteur, sans promo, qui passe en cachette (TV 5 monde)
    CONTOURNER, EVITER, EMPÊCHER L'INTELLIGENCE!
    L'INDÉCENCE ET L'IMBÉCILITÉ CIMENTENT LES ESPRITS AINSI !

    Regardez "Cléo de 5 à 7" !
    UN FILM QUI GUEULE L’AMOUR !
    Ce que devrait être d’abord le cinéma…
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