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    Lettre d'amour
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    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    131 abonnés 676 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2022
    Premier essai très concluant pour Kinuyo Tanaka. Elle réalise un film d'excellente facture, avec un thème osé pour l'époque : traiter de cette "génération perdue" japonaise, entre ces ex-soldats jamais vraiment remis de la guerre et ces femmes obligées de vendre leur corps pour survivre, dans un Japon où tout est à reconstruire...

    La distribution est de qualité, avec notamment 3 rôles masculins et un rôle féminin principaux, tous très bien interprétés. Mais si "Lettre d'amour" semble davantage se concentrer sur un regard masculin, à travers le héros incarné par Masayuki Mori, il s'agit bien avant tout d'un film féminin. En effet, le sujet central est la condition de la femme japonaise dans l'après guerre, forcée par la société et la gent masculine de jouer le mauvais rôle, alors que les hommes sont loin de ne rien avoir à se reprocher...

    Kinuyo Tanaka signe un film élégant et audacieux, avec une certaine modernité de ton et de forme. Le tournage en extérieur dans le quartier bouillonnant de Shibuya était une très bonne idée, il magnifie la ville de Tokyo et dynamise la mise en scène, tout sauf académique et convenue. Un démarrage réussi pour Tanaka, qui confirmera avec ses 5 autres longs métrages qu'elle fut une grande réalisatrice en plus d'être une immense actrice.
    traversay1
    traversay1

    3 144 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2022
    Première réalisatrice japonaise d'importance, dès 1950, Kinuyo Tanaka commence à avoir une petite notoriété en Occident. Ce qui frappe dans Lettre d'amour, le premier de ses six longs-métrages, est la qualité de sa mise en scène, subtile et élégante. Le sujet du film, adapté par le grand Keisuke Kinoshita d'un roman populaire, évoque la situation de certaines femmes dans l'après-guerre, "fiancées" et délaissées par leurs amants américains. Malgré une nette tendance au mélodrame dans ses dernières minutes, Lettre d'amour est un film qui fait montre d'une pudeur de bon aloi. Certainement en-dessous du cinéma de Naruse mais d'une belle facture et qui donne envie de découvrir l'ensemble de la filmographie de réalisatrice de Tanaka.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    936 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2022
    Ce qui est triste dans cette histoire, c’est la résignation de cet homme qui cache son secret.
    Cette double réconciliation est assez belle et le jeu profond des acteurs donne à aimer cette histoire d’amour contrariée.
    Hotinhere
    Hotinhere

    431 abonnés 4 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2023
    Un mélodrame émouvant et délicat qui évoque le souvenir d'un amour contrarié par les vicissitudes de la vie dans le Japon d’après-guerre. 3,25
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2023
    Lettre d'amour (恋文, Koibumi ), sortit en 1953 parviens à nous, tel ses mélodrames, ou l'amour impossible semble si frustrant car barré par rien d'autres que de circonstances, de morales, de fierté - mal placées -, ainsi qu'une d'une cour d'une superbe qui titille encore ce même sentiment désappointant.

    Kinuyo Tanaka prend le temps de raconté cette histoire, elle le fait d'ailleurs dans une magnifique splendeur, dans un recours à une mise en scène classieuse, ravissante et intense. A l'instar de cette introduction, de la notre, à l'intérieur de ce récit qui s'échevèle dans des oppositions multiples, ses deux frères que rien ne rassemble tant ils sont si différents de prime abords sillonne cette perspective, ou l'après-guerre ronge encore certains de ses protagonistes. J'adore la scène qui suit cette première découverte, ou après un bref échange sur deux styles de vies radicalement opposés, Reikichi ose sortir de son confinement, afin d'entretenir sa ritournelle, car on ne le sait pas à cet instant, qui compte à rebrousser à contre courant le fil du temps, à courir après ce dernier, dans le sens inverse de la foule qui avance ...

    Interviens la rencontre du vieux camarade, du soldat, comme on le découvre, une fois encore, qui lui refile le filon des lettres à écrire, auprès de celle qui ont su elles aussi vivre la crise dans une relative adaptation. L'attente à la gare de cet homme qui tisse des liens pour les autres n'a qu'encore que plus d'impact. Le moment ou il écrit pour sa " cliente ", ou il fait preuve de douceur, d'une tendresse à l'égards des mots qu'il emprunte sont d'un romantisme qui tire les larmes de cette dernière, lui fait oubliée sa démarche, le temps de la narration de celle-ci ... L'opposition avec le pragmatisme du petit frère fait en cela écho avec le mal de vivre de son ainé, bloqué dans un passé qu'il ne peu oublié, tandis que ce dernier profite du présent pour prospéré.

    La course dans la rue, après cet amour perdu, va de suite bousculé irrémédiablement le quotidien de tous ! Une des scènes les plus somptueuses que comporte au passage ce long-métrage. Le train qui s'en va, cette fenêtre qui nous cache l'angle dans ce premier temps file vers un flashback qui nous dicte les conditions de ce manquement l'un à l'autre, de ses heurts qui sépare, jusqu'à ses retrouvailles, ou tout fout le camp !

    Que le moment est difficile pour l'un et l'autre. L'épreuve s'affiche tiens là d'une comptine triste, ou la lettre entend faire le lien entre les démons présent et passé, dans une violence de mot, une danse qui transfigure les visages si doux du début. La marche, l'un derrière l'autre, tête vers le sol, initie une confrontation ou les griefs de celui-ci à cette dernière deviennent un mal qui ronge, mine et tourne l'esprit de ce type qui s'imagine le pire, le revendique, s'en exprime et s'en offusque dans le même et unique mouvement ... Sa rancune qui lui inflige sert son silence à elle, grandisse ses larmes, la rend encore plus superbe et franchement belle ! La voir partir, hésité pour et avec lui, n'a qu'une accentuation supplémentaire à nous offrir.

    Transformé par le chagrin, il et elle lutte, chute, virevolte dans des directions contraires. Les anges gardiens de cette relation contrarié zigzag dans ce cahot, par touts les moyens. Les explications, disputent, multiples, là aussi, vont acté définitivement la folle course du parc, moment de grande émotion, à fleur de peau comme on le dit.

    Un très beau long-métrage, d'une certaine perfection !
    VOSTTL
    VOSTTL

    70 abonnés 1 802 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    Premier film de Kinuyo Tanaka, mon second dans ma distraite chronologie.

    J’ai apprécié ces « Lettre d’amour ».
    Un pan de l’histoire du Japon assez surprenant. Des femmes se font écrire des lettres par des écrivains publics, mais ces lettres sont destinées à des G.I américains ! C’est ça qui est surprenant.
    Il y a peu, ils étaient les ennemis du Japon ; les U.S.A ont été les premiers à larguer deux bombes atomiques sur le Japon !
    Ces femmes sont tombées amoureuses ou ont trouvé du réconfort auprès de l’occupant américain.
    Les effets de la défaite effroyable de la guerre semblent cicatrisés dans ce Tokyo en ébullition où la population se redresse petit à petit.
    Une cicatrice bien vivante pour Reikichi (Masayuki Mori), un homme démobilisé, enfermé dans son studio (?) ou sa chambre ; il est sans emploi ce qui ne facilite pas sa démobilisation.
    Il finit par trouver un emploi, grâce à un ami, comme écrivain public.

    Il porte une autre cicatrice, celle d’un amour contrarié. Elle s’appelle Michio (Yoshiko Kuga).
    « Lettre d’amour » est au singulier, ce ne sont pas celles destinées aux G.I ou celles qu'il rédige.
    Elle est écrite par Michio, une belle lettre d’amour que Reikichi conserve avec soin près de lui. Une relique sur sa cicatrice.

    Et quand il a le bonheur enfin de la retrouver, c’est pour lui reprocher son passé celui notamment vécu avec un G.I ! Son bourreau comme il dit, car pour lui tous les G.I sont coupables d’avoir largué la bombe ; aimer un G.I c’est aimer l’ennemi, coupable de la mort de millions de personnes dont des proches de Michio, certainement. C’est ce qu’il lui fait comprendre.

    Les retrouvailles ne sont que reproches voire accusations implicites.
    Il ajoute à la peine de Michio, un jugement moral. J’ai trouvé ses propos très rudes. A aucun moment, il ne cherche à comprendre le parcours chaotique de Michio durant la guerre.

    Son ami qui l’a embauché comme écrivain public va lui faire entendre raison non sans l’avoir secoué physiquement. Et son frère participe aussi à recoller les morceaux.
    Le doux noir et blanc contraste avec la rudesse de Reikichi, avec les remords de Michio.
    Kinuyo Tanaka nous montre d’autres femmes de caractère qui assument leurs fréquentations et leur passé ; Kinuyo Tanaka ne porte aucun jugement sur ces femmes désoeuvrées, c’est l’homme qui s’en charge. Et certaines femmes n’hésitent pas à insulter. Il y a un passage amusant à ce propos.

    La question est de savoir si Reikichi a des remords ?
    Doit-il pardonner à Michio ?
    Qu’a-t-il à pardonner ?
    Pourquoi pardonner ?
    Pourquoi Michio devrait-elle être pardonnée ?
    Quelles sont ses fautes ?
    Je vous invite à découvrir « Lettre d’amour ».
    Philippe C
    Philippe C

    81 abonnés 1 014 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2022
    ce film japonais réalisé par une femme Kinuyo Tanaka au début des années 50 souffre de quelques défauts, notamment le mode de jeu emprunté des acteurs qui n'est pas sans rappeler certains films français de la même époque, mais il ne manque pas d'intérêt. Il pose d'abord le problème de ces femmes japonaises ayant été séduites par des Gi pendant la période d'occupation qui a suivi la guerre, certaines s'étant prêtées au jeu par intérêt, d'autres peut-être par amour, comme ce fut le cas dans tout pays ayant été occupé, Femmes qui ont du mal à se réintégrer dans cette société japonaise en pleine mutation, mais aux codes sociaux et familiaux encore très présents. Le film traite aussi de l'orientation occidentale de la société japonaise d'après guerre ; tenues vestimentaires, magazines, automobiles et préfigure le Japon d 'aujourd'hui où modernité et tradition ont trouvé un point d'équilibre. Il y a bien sûr, servant de support narratif, cet amour contrarié et sans doute impossible entre les 2 amis d'enfance, lui ancien soldat-marin déprimé et qui devient écrivain publique et elle, mariée contre son gré à un homme par son père, veuve, puis ayant eu une aventure avec un américain (avec un doute sur le fait qu'elle ait ou non été prostituée). En arrière plan, Tokyo, tel qu'on le retrouve encore aujourd'hui, ses gares, ses ruelles, ses petits commerces, ses échoppes, ses parcs et jardins, la foule dans les rues et ses habitants qui veulent manifestement se tourner vers l'avenir.
    La réalisation est assez lente, beaucoup de pans en contre-plongée et quelques jolies scènes de rue, ou le long des canaux, sous la pluie.
    J'ai quand même préféré de la même réalisatrice, Mademoiselle Ogin, un film moyenâgeux en costumes d'époque.
    soulman
    soulman

    70 abonnés 1 155 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juillet 2023
    Un premier film dans la veine du cinéma de Naruse, où un amour impossible lie deux êtres écrasés par l'après-guerre au Japon, entre misère et fatalisme. Plusieurs thèmes sont ici abordés avec la finesse d'un œil féminin non-complaisant, la place donnée aux prostituées spécialisées dans les relations avec les occupants américains témoignant d'une attention à contre-courant de la société nippone de cette époque.
    Brol le chat
    Brol le chat

    9 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2022
    Premier long de l'actrice égérie de Mizoguchi et Naruse, ce film est un déjà plaidoyer en faveur de la reconversion des prostituées (thème qu'elle reprendra et développera quelques années plus tard dans La nuit des femmes) en même temps qu'une analyse de la société japonaise de l'immédiat après-guerre. La mise en scène de Tanaka est fluide tout en s'arrêtant sur les gros plans des protagonistes de l'intrigue, qui ne s'interdit pas le mélo.
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 417 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2022
    La sortie en salles des six réalisations de la vedette du cinéma japonais Kinuyo Tanaka permet au grand public de découvrir une filmographie inédite sous nos latitudes. " lettre d'amour" est chronologiquement son premier opus qui date de 1953. Quelques mots sur la réalisatrice : après une carrière d'actrice qui débuta lorsqu'elle avait 14 ans, elle devint une star à 19. Elle tourna avec tous les grands réalisateurs japonais ( 15 films notamment avec Mizoguchi ). Voulant devenir metteur en scène elle sollicita Mikio Naruse, dont elle fût l'assistante pour parfaire sa connaissance de la fabrication d'un film. Elle passa un an plus tard à la réalisation à 42 ans, avant d'être adoubée par la direction de compagnie de production, notamment grâce à une lettre de recommandation de nombreux réalisateurs. Mizoguchi ne la signa pas. Il semblerait que de ne pas avoir accepté de succomber aux avances du génie du cinéma japonais n'est pas étranger à cette absence d'appui de sa part. " lettre d'amour" décrit par petites touches, le climat qui règne au Japon pendant l'occupation américaine de l'après-guerre et sa domination qui durera jusqu'en 1956. On comprend le chômage, la condition des soldats revenus du front, le recours à la prostitution auprès des soldats américains pour survivre. Pour ce drame sur les quatre ou cinq ans d'amours perdus et de frustration , Tanaka propose une mise en scène fluide et simple qui s'appuie sur l'exceptionnel acteur Masayuki Mori et sur le scénario du réalisateur keisuke Kinoshita. Le film parle indirectement des femmes à travers les lettres qu'elles demandent à l'écrivain et traducteur public de rédiger pour elles à l'intention de leur amant américain qui est retourné dans son pays. Le film nous raconte l'histoire d'un militaire démobilisé qui revient à la vie civile. Il recherche son ancien amour qui s'était mariée avec un autre à l'occasion d'un mariage arrangé. Le thème du mariage arrangé est d'ailleurs présent dans plusieurs des six films réalisés par Tanaka. C'est un film exceptionnel, très voisin de l'univers de ceux de Naruse et du niveau des meilleurs films de ce réalisateur. Le film est absolument remarquable, même si la photo n'a rien d'exceptionnel. C'est un des meilleurs des six films de la réalisatrice. Celui-là ne le manquez pas, si vous êtes amateur de cinéma d'auteur et de l'âge d'or du cinéma Japonais. C'est une pépite !
    tenshi
    tenshi

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2023
    Un film qui nous emporte dans l'univers du Japon de l'après-guerre entre romances tumultueuses, amours interdits et américanisation du pays. Tanaka Kinuyo nous montre ses talents de réalisatrices avec des scènes simples.
    Julien L.1976
    Julien L.1976

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2022
    Immersion dans le cinéma japonais des années 1950 (l'âge d'or de ce dernier), avec "Lettre d'amour", produit par la réalisatrice Kinuyo Tanaka (ancienne actrice avec plus de 250 films à son actif) ; cette dernière fut la deuxième femme japonaise (après Tazuko Sakane) à accéder à la réalisation dans les studios nippons, mais bel et bien la première à mettre sur pied un long-métrage après la Seconde Guerre mondiale (et également la première à passer derrière la caméra durant la période de l'après-guerre), probablement grâce à ses expériences antérieures (cette interprétation n'engage que moi, même si de grands réalisateurs furent, après tout, d'anciens acteurs). Il faut préciser que "Lettre d'amour" sera le premier de ses six films en tant que réalisatrice, dont le dernier fut "Mademoiselle Ogin" sorti en 1962. Le synopsis de "Lettre d'amour" est dominé par l'histoire de Reikichi Mayumi (incarné par le brillant Masayuki Mori), un marin japonais démobilisé, particulièrement marqué par la guerre, et obnubilé par Michiko (Yoshiko Kuga), son amour d'enfance, ainsi que par ses propres principes qui le poursuivent en permanence (c'est d'autant plus flagrant lors de ses conversations avec Michiko). Comme son titre l'indique, ce film est un drame sentimental, où se succèdent l'amour impossible, l'amour platonique, et d'une certaine manière, une sorte de fatalité (qui poursuit inlassablement Reikichi et Michiko). Tout est réglé comme du papier à musique, on est impressionné par la maîtrise de Kinuyo Tanaka, concernant la chronologie des séquences ; de plus, la mise en scène est absolument remarquable, les acteurs principaux sont sobres et efficaces, pour ne pas dire méticuleux et parfaits. Les lieux de tournage ont manifestement été triés sur le volet, on apprécie les arrière-plans, les costumes de l'époque, les parcs, ainsi que les zones urbaines sélectionnées pour l'occasion. "Lettre d'amour" est un superbe film tourné en noir et blanc (ce qui le rend probablement encore plus beau), caractérisé par l'esthétisme et des dialogues soignés, et faisant partie, assurément, des incontournables du patrimoine cinématographique.
    chrisgai
    chrisgai

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 septembre 2022
    Sur fond d'une histoire d'amour poignante, "Lettre d'amour" témoigne d'un pan de la société japonaise d'après guerre.
    C'est le premier long métrage assez réussi de Kinuyo Tanaka, qui fait preuve d'un talent certain pour la mise en scène de mélodrames sociaux. Par la même occasion, elle nous immerge avec bonheur dans les petites ruelles pauvres mais joyeuses du Tokyo de cette époque. A découvrir.
    Zebrakelo
    Zebrakelo

    3 abonnés 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2022
    Un beau film classique japonais, bien cadré avec quelques mouvements de caméra stylés.
    Le film illustre bien des personnages touchés par la guerre et le climat qui s'ensuit, avec une éthique nuageuse de ce qui pourrait être bon ou mauvais (USA, prostitution).
    Malheureusement, la romance prend trop le dessus sur la fin, avec ses musiques au violon.
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