Avis : L'auberge rouge - Page 3

Tout le monde dit que ce film est un navet complet. Tout le monde il a raison.

Fernandel et autant lara font des saltos dans leurs tombes depuis la sortie de cette sous merde . Jugnot semble décider à jouer dans toutes les plus belles saloperies possible , accompagné en cela par ces copains ou copines du splendid , véritablement jaloux de son initiative. Pitoyable.

Un remake sympa,qui ne doit principalement qu'aux talents des acteurs.

Délirant. Ce film mele scénario tiré par les cheveux, scènes hilarantes et moment de peur tout en étant joué au second degré.
Un résultat assez .... particulier!

Bon film !
Balasko , jugnot, clavier son excellent !

Ma foi, le film n'a rien de transcendant.

Ce film est une comédie assez sympathique mais bien inférieur à l'original. Les personnages sont tous des caricatures, le pompon revenant à Demaison, qui fait du Demaison (il fait les mêmes mimiques que dans son spectacle), ce qui est difficilement supportable.

Il parait évident que les spectateurs qui ont mis 4 étoiles à cette croûte n'ont pas vu l'original. Le plus insupportable est l'interprétation: Balasko et Clavier font les bouffons là où Rosay et Carette jouaient avec sincérité la méchanceté de leurs personnages. Maunier est aussi insipide que dans le Grand Meaulnes. Quant à Jugnot... n'est pas Fernandel qui veut! Pourquoi avoir voulu massacrer un chef-d'oeuvre?

Parti pour être le récit comique et enjoué d'une série d'évènements ruraux, anciens et dramatiques, le film à force d'excès de vulgarité et d'amateurisme tombe malgré lui dans une parodie de son propre genre. Ce n'était pas le but, mais il en redevient presque drôle lorsqu'on finit par s'en rendre compte. Il n'en demeure pas moins que son visionnage fait vigoureusement osciller le spectateur de l'affliction à la perplexité, et passera certainement à ses yeux hébétés pour une parfaite perte de temps. Même très fatigué, ne vous faites pas le tort de vous arrêter à l'Auberge Rouge.

A vrai dire, j'ai failli mettre une deuxième étoile à cet "Auberge rouge" qui m'a paru nettement moins catastrophique que ce que sa bande-annonce annonçait, et surtout (presque) dénuée de vulgarité. Cela dit, force est de reconnaître qu'au final, l'échec est là. Ni drôle ni vraiment provoquant, le film s'avère finalement aussi poussif que caricatural à bien des égards (il suffit de voir le personnage de François-Xavier Demaison pour se faire une idée), les acteurs s'avérant tous plus ou moins en roue libre (Christian Clavier est ici sinistre). Les situations sont ainsi souvent poussives et les dialogues peu convaincants, surtout d'ailleurs lorsque le film s'éloigne de son modèle original (ai-je besoin de préciser que la comparaison n'est pas franchement en faveur du film de Krawczyk?), les quelques nouveautés s'avérant il est vrai assez grossières. On se croirait d'ailleurs à plusieurs reprises dans du théâtre de boulevard tant tout ce petit monde gesticule et crie à l'unisson... Reste que miraculeusement l'ensemble n'est en définitive pas si insoutenable que cela, le rythme plutôt soutenu permettant quelque peu de limiter les dégâts. Il faudra de toute façon s'en contenter, car nul doute qu'en définitive c'est de loin ce que cette "Auberge rouge" a de mieux à nous proposer. Dispensable.

Voilà un film qui à une chance d'obtenir le titre de nanar du mois et même d'être un des favoris pour le nanar de l'année. Car comme on pouvait le craindre voilà encore un remake totalement inutile.
La mise en scène est mollassone et sans rythme. Le scénario est indigeste, on ne rit pas une seule fois, quelques sourires arrachés de ci de là grâce à Sylvie Joly, et encore ! Les décors font carton pâte, les costumes et les maquillages sont vulgaires, la photo n'est pas belle. Ne parlons pas de l'interprétation. Gérard Jugnot se démène dans tous les sens pour essayer de sauver ce manque de tout, mais en vain. Le reste des acteurs est vraiment au raz des pâquerrettes. Désolant. Gérard Krawczyk n'est pas réputé pour faire dans la dentelle malgré un bon début de filmographie (Je hais les acteurs, L'été en pente douce), la rencontre avec Luc Besson lui a été fatale (les Taxi, Wasabi...). A la séance de 14h en plein Paris il n'y avait que 5 personnes dans la salle, moi compris. Sans commentaire.

j'ai beaucoup hesité a aller voir le remake de l'auberge rouge,mais j'ai pas était déçu un bon film et balasko toujours à la hauteur .Je vous le conseille,vous passerez un bon moment.

Les 90 minutes que dure le film constituent un moment sympathique à passer dans cette auberge de l'horreur, en compagnie du couple Clavier/Balasko dans un jeu hilarant, et assurément, débridé. Et même si Jugnot nous a paru plus en forme, on savoure chaque scène à laquelle il prend part. La bonne humeur communicative des acteurs, ainsi que leur complicité, donne donc lieu à une comédie sanglante et joyeusement amorale. Mais un scénario un peu longuet vient perturber les réjouissances, tout comme la nostalgie du Splendid des 80's, qui aujourd'hui, paraîtra kitsch à certains. Un petit conte de Noël baroque, original et sans prétention, à savourer... en famille !

C'est poussif, drôle à de rares moments, le couple Balasko/Clavier est peu concluant, le curé Jugnot à peine plus. Le seul bon point va aux paysages et à l'ambiance bien rendus. A regarder uniquement si on a rien d'autre à faire.

Un film moyen. Malgré un très bon casting, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Anne Girouard, Josiane Balasko, le film manque un peu d’originalité. Bonne intrigue, c’est un bon moment à passé mais c’est un film qui n’est pas exceptionnel.