Avis : Invisible - Page 2

La copie du film Suédois "DEN OSYNLIGE", qui est de 2002. La fin est beaucoup moins glorieuse et plus réaliste que ne l'a été Invisible. Invisible est émouvant, le scénar "ricain" nous colle au siège. Il fait naître envers le spectateur deux choses, la première l'amour qui va rapprocher et unir Annie (Margarita Levieva) & Nick Powell (Justin Chatwin). Une romance limite "gothique". Mais aussi "mièvre" que le récit se veut, il n'en demeure pas moins visionnable.

"The invisible" tente de proposer une issue admirable à la loi du talion : pardon et rédemption, au lieu du cercle infini de la violence. Pourquoi pas, mais le faire dans un film destiné à un public adolescent implique d'en connaître les aspirations, et donc, de diffuser un vrai message d'espoir aux résultats immédiatement visibles. L'issue de ce film, on peut le craindre, donnera des regrets à sa cible autant qu'elle la fera réfléchir. Ce sera peut-être une double leçon, mais ce sera aussi et surtout un risque à calculer. Les auteurs ont choisi de le prendre, ce qui au fond est tout à leur honneur. Choisissez de voir ce film si vous en avez l'occasion, mais conservez malgré lui votre optimisme!

The invisible avec un Justin Chatwin purement impeccable dans ce film. Et la fille qui prend conscience de sa faute et la fin. J'adhère ! ils sont d'une crédibilité exemplaire. Belle histoire, fluide et efficace.

Plutôt une bonne surprise. De la part de David Goyer je m'attendais pas à grand chose après le pas très bon Blade Trinity et finalement il signe avec ce Invisible un très beau film. A mis chemin entre le film fantastique et le drame Invisible est au final une très belle histoire d'amour à ce titre la fin est vraiment magnifique et l'ensemble prenant. Vraiment un film à voir, Goyer remonte dans mon estime.

Lycéen aisé et promis à un bel avenir (en tout cas, c’est ce que sa mère souhaite), Nick est, un soir, violemment passé à tabac par des camarades, qu’il va s’empresser de retrouver dès le lendemain. Problème : quelque part entre la vie et la mort, Nick est invisible aux yeux de tous, et va devoir trouver un moyen d’interagir avec son agresseur, histoire de revenir à la vie. Autre problème : David S. Goyer est décidément meilleur scénariste (on lui doit le script de “Batman Begins”) que cinéaste. Quoique ce n’est pas tant sa mise en scène qui est en cause, dans cette histoire au croisement de “Sixième sens” et “Ghost”. Avec un filmage précis et fluide, et des effets spéciaux très discrets, il s’oriente d’abord vers le premier, avant de lui préférer le second, dont il nous sert une version adolescente, tartinée d’une bonne dose de guimauve. Partant de l’invisibilité comme métaphore du mal être de certains jeunes, il plombe sa troisième réalisation en bifurquant vers la sempiternelle rédemption sirupeuse et convenue. Sans non plus l’être totalement, “Invisible” est juste à éviter.

nul un vrai navet serieux goyer arrete la realisation te trop nul fait juste des scenario sai mieux se film et un vrai somnifer

Bon film,la B.O est plutot bonne et les acteurs sont plutot bien.
Le duo Justin Chatwin et Margarita levieva est très bien et jouent formidablement bien.

Un tout petit peu long à démarrer mais u scénario très bien mené d'un bout à l'autre, un fin qui casse un peu les canons du genre. Un soupçon de surnaturel, beaucoup de sentiments et ce film passe tout seul et fait du bien au fond de la gorge, il adoucit. Une vraie surprise et une vraie réussite! A découvrir absolument pour qui veut sortir un peu des sentiers battus.

"Invisible" est le nouveau film du très bon scénariste mais piètre réalisateur David S. Goyer. Ses scénarios (Batman Begins) sont considérés pour la plupart comme excellents, en revanche, on ne peut pas dire de la même chose de ses films. Après une bande annonce très attirante, David S. Goyer semblait avoir résolu certains de ses problèmes et avoir réussi ce film. Cependant, il n'en est rien. "Invisible" est un film vite vu, vite oublié qui pêche par quelques longueurs, une fin ratée et quelques invraisemblances.
En ce qui concerne la réalisation, David S. Goyer ne semble pas être prédestiné à ce poste. Il n'arrive pas à capter l'attention des spectateurs et les perd car il n'arrive pas à bien centrer son intrigue. Après un début vraiment très prometteur, on se rend compte finalement que le film n'est qu'un simple rejeton d'Hollywood avec les mêmes recettes, sans aucune originalité. Les bons sentiments arrivent au galop quand on les suspectent le moins. Les clichés arrivent aussi très rapidement: les méchants ne sont pas si méchants que ça car ils ont des problèmes personnels, les défauts de certains proches sont justifiés et il faut savoir pardonner. Cependant, le spectateur lui ne peut pas pardonner ces défauts trop importants et trop présents.
En ce qui concerne le scénario, il y a tout de même quelques invraisemblances: les interactions avec le réel qui ne sont pas expliquées, le comportement bizarre du meilleur ami.
L'interprétation n'est pas trop mauvaise dans l'ensemble. Justin Chatwin relève avec brio le défi d'avoir le poids du film sur ses épaules. Son jeu est plutôt convaincant tout comme Marcia Gay Harden qu'on ne voit pas assez à l'écran.
Enfin, la bande originale est vraiment excellente.
Ainsi, "Invisible" se révèle être un divertissement agréable mais qui pêche par une mauvaise réalisation et un scénario qui tombe dans les clichés.

J'ai découvert deux acteurs de talent : Justin Chatwin, et Margarita Levieva qui sous ses airs de dure est très touchante. Leur excellent jeu, ainsi que le scénario et les bons dialogues, font de "The invisible" un film captivant. J'ai adoré la bande son et l'atmosphère du film. Je suis rentrée dedans de suite.

"Invisible", c'est un bonne surprise. Ce film me fait beaucoup penser à Ghost, car il y a beaucoup de similitudes, bien que cette adaptation soit plus moderne. Un scénario original, des dialogues émotionnellement forts, plus une B.O. très correcte, font de ce film un superbe divertissement à l'atmosphère étrange. La meilleure raison de voir ce film, c'est pour les prestations de Justin Chatwin et de Margarita Leviena car ils sont tous les deux vraiment bluffant et à l'aise dans leur rôles ! Je considère ce film comme une petite perle d'émotions.

En faisant abstraction de quelques détails liés à la cohérence des scènes, et qui passent presque inaperçus grâce à l'ambiance attirante. Ce film me semble un bon moyen de véhiculer quelques valeurs morales grâce à la notion du pardon qui y est bien traitée...

Un film qui passe effectivement inaperçu...
Il faut dire que le réalisateur, déjà piètre scénariste à la base (auteur des attaques scénaricides que sont la saga Blade et les nouveaux Batman sauce Nolan), n'est guère meilleur dans le domaine de la mise en scène.
Il accouche bien difficilement d'un remake à peine caché de Ghost à la sauce teenagers.
Le film se traîne, dénué de rythme, mou, long et profondément impersonnel. Les personnages ne sont pas développés.
On étire le film en faisant de long plan-séquences sur les paysages canadiens automnales comme un mauvais téléfilm anonyme.
Justin Chatwin n'arrive pas à soutenir le film sur ses épaules, mais bon, on sent qu'il n'est pas dirigé.
Margarita Levieva, la bien mignonne adolescente de la série Vanished, a un personnage qui n'est pas suffisamment développé.
Le tout tombant dans les affres du mélo-drame avec cette musique triste et ce rock aseptisé.
Même la fin du film est ratée.
Au final, du remplissage de pelloch' pour pas cher, dont le manque d'énergie, de vie, est symptomatique de l'évidente fainéantise du réalisateur, si peu impliqué dans son film...
Finissons sur une touche plus drôle avec un dialogue de l'invisible de Mystery Man :
- Tu as le don de devenir invisible ?
- Oui.
- Mais tu ne peux pas nous le montrer ?
- Non. Je ne peux devenir invisible que quand personne ne me regarde.
- Alors tu n'es invisible que pour toi-même ?
- Non. Si je me regarde, je redeviens visible.
- Alors tu ne peux devenir invisible que quand personne ne te regarde ?
- Oui.
- Pardonne mon incrédulité mais comment sais-tu que tu es transparent ?
- Quand on devient invisible... on le sent.
- Je m'en vais. Merci. Ravi de t'avoir connu.

Un film étrange car au début on ne sait pas trop où ça va nous mener, on trouve ça moyen et assez lent. On a envie de quitter et puis ça commence à bouger et ça ne finit plus. L'histoire s'améliore au fur et à mesure et se construit devant nous. Même si le happy end a été heureusement évité, la fin possède un côté mielleux qui reste en travers de la gorge. Néanmoins c'est bien écrit, vivant et on oublie vite les quelques défauts!!

Catastrophe. Le scénariste devait être sur une autre planète au moment où "Ghost" est sorti. Quant au metteur en scène, à part dormir à l'école du cinéma je ne sais pas trop ce qu'il a pu faire. Un étron, ce film.