Avis : Ma vie en rose - Page 2

Un peu (un peu beaucoup…) déçue par ce film, dans lequel j'ai eu beaucoup de mal à entrer (si toutefois je l'ai jamais fait…) et auquel j'ai eu bien du mal à adhérer (itou). C'est caricatural, surjoué, et donc mal joué. Tout est très prévisible et il n'y a rien de novateur. Seule la fin est jolie, et pleine d'espoir, cela nous laisse sur une note positive, incitant à bien noter l'ensemble.
Dans le même style, je préfère nettement Tomboy, plus naturel, parfaitement interprété, bien plus crédible. Seules des critiques dithyrambiques m'avaient convaincue de regarder cette Vie en rose, on ne devrait décidément jamais se laisser influencer…

C'est un film que j'avais vu au cinéma à sa sortie, il y a donc quelques années. Alain Berliner y décrit avec une grande justesse et d'habileté les émotions liées à la transidentité et l'incompréhension des autres face à cette différence… encore très méconnue et amalgamée dans notre société. C'est un film bouleversant, très bien interprété et, encore une fois, extrêmement pertinent. Les sentiments exprimés par le petit Ludovic, excellent, sont authentiques et assez déroutants. Je pense néanmoins que seuls les personnes pourvus d'une certaine "sensibilité"… voire d'intelligence naturelle et de curiosité pour les autres, peuvent accrocher au sujet, trop subtil, à mon avis, pour les ignorants à l'ouverture d'esprit… comment dire… limitée. C'est une oeuvre pédagogique très fidèle à la réalité.

le peu que je me souviennes du film etait exellent,drole, et merveilleux

Un très beau film sur l'histoire d'une petite fille née dans le corps d'un petit garçon, dans les années 90. On retrouve sans doute un peu l'histoire de Bambi dans ses jeunes années mais transposée presque 60 ans plus tard et dans un autre pays une autre culture.

Hélène Vincent est toujours une excellente comédienne, tout comme Michèle Laroque, elles sont très justes.

Sachant que Ma vie en rose est sorti en 1997, on peut dire que la réalisateur était quand même précurseuse dans la société française. Aujourd'hui, on voit bien que les mentalités n'ont guerre évolué et l'on se retrouve avec une manif pour tous nauséabonde dans les rues de notre si beau pays... Même si les choses stagnent, on voit que la compréhension de l'autre, elle, a permis une meilleure considération des revendications... Je m'explique... On voit dans ce film, que l'on dit un garçon ne peut pas épouser un autre garçon, ou tu ne peux pas devenir une fille... Sauf qu'il s'agit de deux (ou trois) situations totalement différentes et personne ne peut dire dans laquelle se situe l'enfant : peut-être sera-t-il bi/gay, peut-être est-il une fille naît dans un corps de garçon ou peut-être est-il tout simplement un enfant qui se cherche et finira avec une fille ? Oui, toutes les possibilités sont permisses et personne n'a le droit de juger ou d'interdire à un enfant de se découvrir, de savoir qui il est ! Je suis passé par tellement d'émotions devant Ma vie en rose, que je suis conquis par le projet : La morale finale est juste "Ce sera toujours leur enfant", certains ont oublié que dernière leur stupidité ce cache le coeur d'un enfant. Je regrette juste une fin un peu baclée, car l'arrivée de christine aurait du ouvrir une porte à développer et les parents acceptent d'un coup la différence de leur enfant.. trop rapidement ! Voila bien une oeuvre indispensable pour la compréhension de l'autre ! A voir

Ludovic a 7 ans et il est persuadé d'être une fille. Simple trouble identitaire passager? ou véritable tendance annonciatrice d'homosexualité? Alain Berliner ne le dit pas et désire d'autant moins entrer dans le domaine psychologique que le sens du sujet est ailleurs. Les manifestations de féminité de Ludovic, à travers ses attitudes et ses déguisements, introduisent, par ce qu'elles déclenchent autour de lui de honte, d'incompréhension et d'hostilité, un véritable satire de moeurs.
"Ma vie en rose" est une fable sur l'intolérance - et à cet égard, au moment où les parents de Ludovic, exaspérés, coupent les cheveux de leur enfant, on pense au garçon aux cheveux verts de Joseph Losey. Tout au long du film, Alain Berliner oppose l'inivers enfantin, innocent et poétique de Ludovic aux réactions scandalisées et mesquines du voisinage. Michèle Laroque et Jean-Philippe Ecoffey composent avec justesse les parents de Ludovic, tour à tour aimants puis décontenancés et, parce que victimes de l'ostracisme général, vulnérables.
Le message de Berliner est d'autant plus habile que- dans l'hypothèse où le film est une simple parabole sur l'homosexualité- il s'exprime par l'entremise d'un enfant trop gracieux, trop touchant, pour que le spectateur le plus borné voit à travers lui la manifestation d'un vice.

Je mets une étoile uniquement parce que je pense ne pas être assez cinéphile pour apprécier ce genre de spectacle mais si ça ne tenait qu'à moi, je lui en aurai mis 0... Ce film est malsain dans le sens où il proclame une vérité unique sans aucune remise en question sur la question épineuse du genre humain. Certes l'histoire peut apparaître touchante à certains moments et risque de parler à beaucoup de gens mais il n'en reste pas moins que la morale du film qui est très facilement contestable apparaît là comme une vérité universelle immuable.
De plus, toutes les scènes où le petit garçon se comporte comme une fille sont à mon sens surjouées par les acteurs qui jouent son entourage et sont exagérées par le biais de la mise en scène et de la façon dont c'est filmé.
Malgré cela, il faut bien reconnaître que ce film à l'avantage de nous encourager à nous remettre en question et à nous mettre à la place de l'entourage du garçon.

Un film qui montre bien le conformiste obligé de notre société . Notre petit Ludovic préfère jouer à la poupée qu'aux petites voitures . A sept ans il s'habille comme une fille , essaye le maquillage de sa mère . Une passade vous allez me dire ? Non pas du tout Ludovic se sent fille et il n'y peut rien ! Ce que ces parents peinent à comprendre et ne lui pardonne pas . Alors bien évidement Ludovic va essayer de s'adapter /être comme tout le monde ça va marcher un moment mais après comme on dit le naturel revient toujours au galop ! N'est pas ?
Un bon film sur la tolérance qui aborde des sujets comme l'identité sexuelle spoiler: (le meilleur ami de Ludovic qui est secrètement amoureux de Ludo )
, la famille , le couple ,... Avec au final une jolie leçon de moral celle d'accepter la différence . Une oeuvre qui se révèle tendre comme la guimauve et le personnage de Ludovic ne peut que nous toucher .

Enfin un film qui traite d'un sujet très difficile et qui reste d'une grande justesse minute après minute, pour nous livrer un film-documentaire sur la vie d'un petit garçon différent des autres. Ce qui est le plus émouvant c'est de voir comment on peut se construire quand on se rend compte soi-même de la différence que l'on peut avoir, et Ludovic (le petit garçon) nous montre justement qu'il se crée un monde pour aller au-delà de ça... en tout cas, à voir absolument...

Le film parle des difficultés a accepter les différences chez les hommes.Cela peut sembler interéssant mais c'est assez ennuyant.

Un film qui montre bien le conformiste obligé de notre société . Notre petit Ludovic préfère jouer à la poupée qu'aux petites voitures . A sept ans il s'habille comme une fille , essaye le maquillage de sa mère . Une passade vous allez me dire ? Non pas du tout Ludovic se sent fille et il n'y peut rien ! Ce que ces parents peinent à comprendre et ne lui pardonne pas . Alors bien évidement Ludovic va essayer de s'adapter /être comme tout le monde ça va marcher un moment mais après comme on dit le naturel revient toujours au galop ! N'est pas ? Un bon film sur la tolérance qui aborde des sujets comme l'identité sexuelleSpoiler :
, la famille , le couple ,... Avec au final une jolie leçon de moral celle d'accepter la différence . Une oeuvre qui se révèle tendre comme la guimauve et le personnage de Ludovic ne peut que nous toucher.

Un très beau film très peu connu en France malheureusement... Ce petit graçon, Ludovic, se pose un tas de questions sur lui-même, sur la vie ,sur son apartenance à un genre: Pourquoi ne suis-je pas une fille?
Ce film ne traite pas de l'homoséxualité car Ludovic est beaucoup trop jeune pour savoir de quoi il s'agit. C'est un film très beau et émouvant. Peut-être ai-je été touché car je me suis reconnu en Ludovic.
Ma vie en rose a connu un bon petit succès aux USA où il a été encensé à juste titre par les critiques.
C'est un film que je vous conseille absolument.

Une production rafraîchissante et audacieuse dans le marécage qu’était déjà il y a dix ans le cinéma français, frileux, répétitif et tellement conventionnel. Normal, le réalisateur est belge, donc forcément un peu déjanté… Le réalisateur parvient à aborder le thème de la bisexualité dans l’enfance à la fois avec subtilité, poésie et drôlerie, sans éluder son aspect douloureux mais sans s’appesantir non plus dans le pathos, bref tout en sensibilité et en finesse… C’est bien joué ( mention spéciale à Hélène « Madame Lequesnoy » Vincent en grand-mère olé-olé) et la mise en scène est impeccable.

Magnifique film .
Je rejoins les autres critiques quand elles annoncent un film trop méconnu. Mais finalement comment peut-il en être autrement d'un film qui met tellement clairement - mais sans stéréotypes, ni pathos, ni voyeurisme - chaque membre de la société face à ses responsabilités ?
Le réalisateur fait preuve d'une grande finesse, et démontre magnifiquement les constructions sociales de l'identité sexuelle dans notre société.
A voir. Et un film qui devrait figurer parmi les films à voir durant la scolarité.
Bravo au réalisateur et aux acteurs.

Un très beau film, plein d'émotion. Les acteurs sont vraiment très bon, surtout le petit Georges du Fresne.
A voir absolument !