Avis sur Descente en enfer

Téléfilm catastrophe nul, scénario impossible, on pleure même pas quand le mec meurt.

Ce téléfilm canadien surfe sur la vague des films dans lesquels les américains, qui ont fait une grosse bêtise, vont en fin de compte sauver le monde. Le scénario abracadabrant et les acteurs peu convaincants sont (un peu) oubliés par une mise en scène assez bien faite.

La mise en scène est assez correct, le film lui est basique, assez divertissant.

Descente en enfer est un film de science-fiction de Terry Cunningham relativement moyen. Le film ne révolutionne pas le genre et le scénario reste très plat. Néanmoins, la mise en scène du réalisateur est correcte et il réussit à rendre le long-métrage divertissant. De plus, les acteurs comme Luke Perry, Natalie Brown ou encore Michael Dorn sont convaincants dans leurs rôles. Bref, on ne s’ennui pas, mais le téléfilm n’a rien d’exceptionnel.

Cette petite série B canadienne est tout à fait correcte. Elle n'est pas non plus extraordinaire mais se laisse tout à fait regarder grâce à une réalisation très bonne et des effets spéciaux qui ne sont pas trop mauvais au vu de l'année et du budget qui ne devait pas être exceptionnel. Les décors sont également très corrects mais le mauvais points, ce sont d'abord les acteurs. Les deux intellos (comment les appeler autrement ?) Black (Michael Teigen) et Decker (Mike Realba) sont les 2 seuls à m'avoir convaincus alors qu'ils n'occupent que les seconds rôles.
Côté scénario, ce film est un copier-coller (moins bon hélas) de "Second Impact Scorcher", visionné grâce au même coffret d'ailleurs. Le problème, est le même, la solution est la même et la fin est la même.
Pas forcément un grand cru de la catastrophe, mais il se laisse visuellement bien regarder, il faut bien sûr ne pas être trop exigeant.

rien de nouveau, on renouvelle rien mais on passe du bon temps a regarder ce telefilm.
les effets speciaux ne sont pas genial mais un brin d'humour de temps en temps les ferai presque oublier. Presque ...

enfin j'ai pas perdu mon temps c'était pas si mauvais dans la globalité.