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Connor-J
2 abonnés
64 critiques
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2,5
Publiée le 14 octobre 2009
Rigg, le flic le plus inutile de l’histoire de la police, il a un flingue et ne s’est pas s’en servir (pour couper des cheveux par exemple…) Et il n’a jamais du faire l’école de la police ni travailler sur le dossier du puzzle (ho ! Une porte qui bloque avec un gros point d’interrogation dessus. Pourquoi je forcerai pas pour l’ouvrir ? ) Il ne laisse même pas de message aux personnes qui entrerai chez lui après qu’il a tué la femme dans son appart (bon le puzzle a peu être pris tout les stylos, mais avec un doigt du sang et des murs, on peu en écrire des choses…) Et pour le final, il recommence avec une porte…
Matthiews un autre décérébré qui a déjà fait preuve de son incapacité à faire bouger ses neurones. Connaissant les méthodes du puzzle, il ne prévient même pas Hoffman de ne pas bouger lorsqu’il se réveil. Mais ensuite il trouve suffisamment de jugeote pour comprendre le mécanisme et tirer à travers la porte. Encore une fois dans un film, on prend le genre humain pour un gros mouton incapable de penser par lui-même, à moins que le puzzle n’ai pas le courage de s’en prendre à des personnes doué de raisons…
On en apprend d’avantage sur la personnalité tordue du premier puzzle et l’événement qui l’a fait basculer vers le crime. Et oui, il était déjà bien psychopathe, le meurtre de son gosse n’a été que le déclencheur. Malgré ça, les intrigues du puzzle et les mécanismes demeures originaux, ce qui sauve la mise, à voir quand même pour les amateurs de boucherie-charcuterie, y a de la viande, de l’os et du sang !
Sacré foutoir ce Saw 4, on sent qu'on a déjà fait le tour de la question et Darren Lynn Bousman semble à cours d'idée, du coup il piège le spectateur avec différentes temporalités et empile les personnages aux motivations assez floues. Plus on avance plus on a de pièges et plus ça pisse le sang, on a beau faire semblant de corser le scénario, c'est surtout extrêmement alambiqué et prétexte à de la tuerie. Pour les amateurs de gore, ça fait clairement le job, pour le reste, ça se complique inutilement et heureusement ça ne dure qu'une heure et demie. En revanche découvrir la genèse de la folie de Jigsaw était une bonne idée, tout n'est donc pas à jeter mais on tend dangereusement vers le côté obscur ...
Largement moins bon que les opus précédents. Ils auraient dû s'arrêter au 3, c'est dommage de s'enliser dans du mélo inutile et des scènes de surenchère de gore pas très crédibles... Pas incontournable donc, passez votre chemin !
Quatrième opus de la saga du tueur du puzzle. Comment faire un quatrième alors que John Jigsaw meurt à la fin du 3ème ...
Le réalisateur du 2 ème et du 3 ème essaie de répondre à cette question toujours produit par James WAN , réalisateur du premier .
Les premières images commencent de suite dans le dur avec l autopsie de John Kramer dit Saw. Corps et crâne découpé permettant de lancer un nouveau jeu.
Un nouveau tueur reprend les ingrédients de John kramer pour recommencer les meurtres sanguinaires . Et les amateurs d hémoglobine vont en avoir pour leur argent . Les exécutions sont horribles à regarder et l Horreur dépasse les trois premiers épisodes .
Son ex femme rentre aussi dans la danse et ce quatrième opus dévoile les raisons qui ont poussé le tueur au puzzle à devenir tueur en série . Son passé ingénieur lui a permis d imaginer des pièces machiavéliques .
La fin fait un lien avec le troisième épisode ... mais c est vraiment tiré par les cheveux les liaisons entre tous les épisodes ! Et surtout le rebondissement ultime qui ouvre la porte a de multiples incohérences
Dès "Saw 3", cette saga horrifique s'enfonçait dans les incohérences. Il faut dire qu'à force de tirer sur la corde... Du coup, cet épisode 4 ne propose que du gore sur un scénario bancal et peu convaincant. Les effets gores sont d'ailleurs franchement réussis mais lorsqu'il n'y a ni réalisation solide et ni une bonne intrigue derrière, on se lasse vite. Film inutile si ce n'est rapporter de l'argent aux producteurs.
En multipliant les personnages et les rebondissements sans pour autant se renouveler, la saga continue sa chute. Le manque de charisme des interprètes fait que l'on se désintéresse bien vite du sort de leur personnage et même les pièges sanglants ne suffisent pas à créer le suspense.
La mort de Jigsaw n'a pas tari la source de sang de la boucherie Saw. Il a fallu un scénario un peu tiré par les cheveux pour réhabiliter la série. Ce quatrième opus se laisse regarder même s'il n'est pas le plus abouti, même les scènes de torture ont baissé d'un ton dans le gore.
Un quatrième volet particulièrement mal réalisé, tout aussi improbable que le précédent et bourré d'incohérences narratives. Saw 4 s'ouvre sur l'autopsie du cadavre du tueur au puzzle, moment de cinéma plus risible qu'autre chose qui se terminera sur l'incontournable écoute du magnétophone sentencieux. S'en suivra la non moins incontournable succession de scènes de torture consistant aux affrontements de plusieurs victimes amenées à s'entretuer pour pouvoir survivre... Même si l'ensemble réserve un semblant de recherche scénaristique supérieur au troisième volet l'image est toujours aussi laide et putassière, les personnages toujours aussi caricaturaux, les rebondissements toujours aussi convenus. Rien d'original ni même d'intéressant dans cette suite pariant plus que jamais sur la perversité des choix imposés aux victimes, ces dernières représentant pour la plupart l'humanité la plus vile et la plus malsaine. Peut-être un peu meilleur que son prédécesseur Saw 4 rend pourtant compte de la désagrégation d'une saga vendue comme un festival de violences extrêmes, de laquelle on ressort avec le cerveau ramolli et de la merde plein les yeux. Abject et mal foutu.
Après avoir pris l'eau dans les deux précédents volumes, voilà que le navire se met à sombrer dans le néant. "Saw IV' devient l'épisode de trop ! Le concept original se transforme en saga excessive et douloureuse. "Saw IV" ou comment les producteurs privilégient des recettes faciles au profit de la moindre qualité cinématographique.
La surenchère dans le gore et l'horreur avec déversement d'hémoglobine à foison cache mal un scénario confondant de nullité et de complexité. Le film tient plus du bidouillage que de l'écriture, même s'il est vrai que les scènes de torture font preuve d'inventivité.
4 étoiles pour Saw 4. Difficile de mettre moins tant le film renoue avec les origines de la saga et oublie un peu le gore qui faisait office de légion dans le deuxième mais surtout le troisième opus. Ici le scénario a été pensé et repensé dans l'optique du premier film, il est d'ailleurs sur de nombreux point similaire à ce dernier. Saw IV ce laisse donc suivre avec délectation pour les fans de la saga il est d'ailleurs nécessaire d'avoir vu les 3 premier pour apprécier et pour comprenne ce magnifique 4éme opus à sa juste valeur. Parfaitement ancré dans la saga mais en même temps totalement différent des autres films ce Saw IV est une bonne surprise et s'inscrit dans une des meilleurs saga d'horreur qu'on a vu depuis longtemps. A voir absolument.
La série des "Saw" continue malheureusement de s'étioler au fil des épisodes. Le casting est un peu en-dessous des autres (seul Tobin Bell sort du lot) et le film met du temps à démarrer. Reste des meurtres toujours aussi sadiques (avec en prime, une séquence d'autopsie mémorable), une intrigue tordue qui nous dévoile un peu du passé de Jigsaw et une super idée de mise en scène (voir le final et sa chronologie). Mais, le principal reproche qu'on puisse faire au film, c'est de ne pas se suffire à lui même et de n'être qu'un lien entre le 3e et le 5e épisode à venir. En même temps, ça donne envie de se jeter sur la suite (ne serait-ce que pour comprendre!)
Quand y en a plus, y en a en-gore! Tel est le crédo de “Saw IV”, nouvel épisode d’une franchise qui avait pourtant atteint le point de non-retour lors de l’opus précédent, tant sur le plan qualitatif que narratif, avec la mort de Jigsaw. Mais celui-ci continue tout de même ses basses œuvres, toujours devant la caméra du décidément bien nommé Darren Lynn Bousman, d’abord réticent à rempiler au rayon boucherie, avant de s’avouer convaincu par le scénario. Une façon politiquement correcte de dire que les producteurs ont bien voulu aligner un zéro de plus sur son chèque, car le script est ici d’une faiblesse rare. Soi-disant en temps réel, il mixe situations et dialogues ridicules avec des flash-backs inutiles, avant de conclure le tout par un twist final du pauvre, qui tombe autant comme un cheveu sur la soupe que tous ces raccords foireux entre les scènes (ah, le miroir, un grand moment de montage). Vu la qualité déclinante de la saga au fil des épisodes, il n’y avait certes rien à attendre de celui-ci, hormis une (très) hypothétique originalité concernant les meurtres. Là aussi c’est mort : filmés à la va-comme-j’te-pousse-au-crime, lestés d’effets bidons, vaguement gores et pompés sur ceux des autres films, ils nous offrent de beaux élans de complaisance, comme lors de l’autopsie servant d’ouverture (sans mauvais jeu de mots) à cette suite piteuse. Pour le show et l’effroi, il faut donc chercher ailleurs que dans “Saw IV”, qui ne parvient qu’à susciter le rire, sauf quand on se rend compte qu’il y en a encore deux comme ça à suivre. Ça, pour le coup, c’est super flippant!