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oranous
131 abonnés
1 097 critiques
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5,0
Publiée le 28 août 2007
J'ai adoré! C'est un film très drôle. Certes il est très gore (boutons purulents, peau qui fond, membres arrachés) hémoglobine servie a volonté, mais on en rit tellement il y en a! Justement il y en a assez pour que cela devienne drôle! On retrouve bien l'esprit de Rodriguez qu'il avait dans Une nuit en enfer. En revanche, je trouve que l'histoire se rapproche un peu de 28 jours plus tard. (un virus qui infecte tout le monde...) Ce qui est bien dans ce film c'est qu'il n'y a pas de sauveur de l'humanité. Bref beaucoup d'humour, et le style Grindhouse est très bien représenté.( Pellicule abimé, montage pas toujours très bien fait..., le truc un peu crados!)
J'ai nettement préféré Planete Terreur a Boulevard de la mort qui est plus "classique" dans son genre! Un film qui ne me déplairait guère de revoir!
Ca se veut authentique , drôle & inédit dans le genre. Le résultat est un naufrage cinématographique totalement dénué de sens , horrible a regarder par moments & tout simplement plus que très con. Qu'est allé foutre Tarantino dans ce navet du réalisateur qui n'arrête pas de mettre en scène de la pure merde ,Robert Rodriguez ???
Ca, c'est du film ! Tout ce qu'on aime est dedans ! Merci à Robert Rodriguez, qui nous livre ici un réel film Grindhouse, avec du gore, de l'action, des personnages excellants et bien joués (Bruce Willis génail dans un rôle qu'il n'a pas l'habitude d'avoir). On le voit, on rit, et on en redemande !
Gore, décalé, ahurissant... Fallait oser ^_^ le début est (je trouve) un peu naze mais la suite rattrape le premier quard d'heure!! et comment... je suis restée scotchée sur mon siège wouw
Film Grindhouse comme l'était "Boulevard de la Mort" de Tarantino, "Planète Terreur" est un film d'horreur survitaminé. Robert Rodriguez ("Groom Service") met en scène son scénario avec violence et enchainement sanglant. Délire inventif et original, ce long-métrage qui rend aussi hommage aux séries B se révèle être un plaisir coupable diablement prenant.
Si l'histoire de base est sans grande inventivité, le résultat qu'offre Robert Rodriguez est saisissant. Très bien écrite et travaillée en terme de références et clins d'œil, l'histoire est captivante et promet des scènes d'anthologies. Le sang coule à flot avec un casting hors-normes, dépassant celui du premier volet du diptyque. Rose McGowan ("Death Proof") ;avec sa mitraillette en guise de prothèse, va supprimer les zombies sur son passage avec acharnement et plaisir ; Josh Brolin ("Everest"), Bruce Willis ("Sin City"), Freddy Rodriguez ("Fort Bliss"), Michael Biehn ("Puncture"), Tom Savini ("Le monde de Charlie") et Jeff Fahey ("Body Parts"). Si l'on peut retenir les convaincantes performances des comédiens, on peut aussi noter leurs rôles très intéressants et aux armes loufoques. Bourré d'humour noir et second degrés, "Planète Terreur" est un divertissement qui remplit parfaitement son travail.
La mise en scène est stylisée et captivante, l'histoire est fascinante et entrainante, et la réalisation superbe. De nombreuses scènes sont remarquables et forment les séquences les plus abouties dans la carrière du réalisateur. Avec des effusions de sangs et maquillages dégoutants très bien faits, le tout retranscrit à l'écran est un condensé trash de références au Cinéma d'exploitation. Rythmé et prenant, violent et burlesque, cette œuvre de zombies est l'une des meilleures du genres, accompagnée par une bande originale très bien orchestrée. Déclaration d'amour au Cinéma de genre que fait le décrié Robert Rodriguez, "Planète Terreur" est drôle et jouissif. C'est frais, c'est trash, c'est grandiloquent ; c'est génialement divertissant et décapent ! Le montage est superbe, les tournures et effets de styles très bien travaillées, les décors très bien mis en valeur, la photographie est magnifique ; "Planète Terreur" est une réussite, et qui surpasse même le film de Quentin Tarantino.
infantile et Vibrant hommage aux nanars de série B qui hante l'histoire du cinéma d'horreur. Heureusement, on a droit a de belles trouvailles car pour le reste entre l'image volontairement craquelée, la vulgarité, le jeu souvent exagéré des acteurs et les situations débiles on frôle le niveau des navets tant aimés par le réalisateur.
C'est du n'importe quoi, pourtant le film à les moyens apparemment, mais on est plus dans les années 70-80 ou l'on pardonnais que les films d'horreur soit mal foutu, là le scénar est navrant et vu et revu avec un gaz qui transforme les hommes en zombies, des scènes d'actions et des explosions pas terrible et des acteurs qui cabotinent à fond et une réalisation et un montage fait à l'arrache.A éviter à tout prix, matez plûtot Une Nuit En Enfer.
Imaginez le cocktail : Vous prenez les pires aspects des films de série Z qui, par définition, sont déjà mauvais et vous les réunissez dans un melting-pot scénaristique, vous obtenez Planète Terreur... Robert Rodriguez a essayé de faire comme son pote Tarantino qui fait ses films en adaptant sur un ton moderne les meilleurs aspects de ses films de références, mais là il nous prouve que ses références à lui sont d'un tel niveau que le film qu'il en tire ne peut être qu’un navet minable.
Après avoir visionné le navet de "Machete" c'est au tour de "Planete terreur", toujours la même chose dans un registre différent, c'est à dire de la violence, des jolies filles, des dialogues à deux balles et un sentiment de film tout droit venu des seventeen/eighteen. C'est donc mauvais et stupide je ne comprend donc toujours pas l'intérêt de ce genre de film. En rien jouissif comme j'ai pus le lire dans plusieurs critiques, c'est tout simplement mauvais et en plus c'est voulu.
J'ai eu beaucoup de mal à arriver jusqu'à la fin tellement ce film part dans tous les sens. Aucune construction, un scénario inexistant, des dialogues débiles, un film inutile..
Un film complètement décalé avec une ambiance glauque vraiment prenante, une mise en scène déjantée mais absolument géniale, sa flopée d'actrices hyper sexy et sa bande d'acteurs tous plus virils les uns que les autres. Un scénario qui peut paraître très basique au départ mais l'ensemble est abordé de façon tellement ingénieuse que le résultat en devient anthologique. Grosse sensation que cet hommage aux long-métrages de série B.
Comme nous autres non-américains ne sommes pas aptes à saisir le concept de double-programme (ça fera plaisir au nostalgiques du Brady et du Paris ciné, tiens), le diptyque d'exploitation des Tarantino-Rodriguez nous arrive en pièces détachées, perdant au passage par dessus le marché les 3 merveilleuses fausses bandes-annonces confiées à des réalisateurs invités. Heureusement, Machete est bien là pour ouvrir la séance avec brio et c'est parti pour une bonne heure et demie de série B revendiquée, électrique et jouissive au possible, car les promesses des divers supports promotionnels sont tenues, et de fort belle manière. Gore à foison, bonnes trognes, délires bisseux, humour cracra, rythme d'enfer, Planète terreur est un pastiche qui a le bon goût de ne pas prendre ses modèles de haut et crie haut et fort son amour d'un cinéma autrefois populaire et aujourd'hui condamné à prendre la poussière sur les rayons VHS des solderies spécialisées dans l'occasion. En ce sens, cet le segment de Rodriguez correspond beaucoup plus au cahier des charges du concept que celui Tarantino, ce dernier s'étant plus regardé filmer - très bien, au demeurant - que motivé pour retranscrire à l'écran la générosité (mais aussi le sans-gêne, voir les pans entiers du cinéma d'action américain pillé par les producteurs italiens !) des bandes de l'époque. Vu le plantage du programme au cinéma, on a peu de chances de voir débarquer une vague de film du même tonneau, encore que Rodriguez nous promette une version long-métrage de Machete pour l'année prochaine, alors savourons !
Je rigole toujours devant un film de Robert Rodriguez, c’est incroyable de constater que ce réalisateur utilise toujours les mêmes ingrédients. Des filles sexy, de l’action grotesque, une histoire d‘une nullité affligeante, des dialogues consternants, c’est toujours pareil. Planète Terreur est plombé de situations incohérentes. Je me demande si un jour je mettrai plus de 0,5 à un de ses films (ou il est l’unique réalisateur), ça m’étonnerait vraiment tellement le nom de Rodriguez m‘évoque le navet. Une dernière phrase pour le plaisir, parce que ce film mérite vraiment d’être descendu, Planète Terreur est d’une médiocrité monumentale.