Derniers Avis sur Raccrochez, c'est une erreur!

Très bon thriller, au montage très particulier, un peu à l'envers des événements qui fait croitre lentement mais surement la tension pour finir par une fin comme on en faisait à l'époque (pas de spoiler, il faut le découvrir par vous même).
Les acteurs sont excellents.
A voir par tous les amateurs de thriller.

Un excellent film noir tourner en noir et Blanc a l'époque qui ce base sur un récit radiophonique de l'époque tes bien ficeler et écrit qui dans sa réalisation et proche de Alfred Hitchcock , un peux de suspense même si la fin du film deviens vite prévisible malheureusement, des flash back m1is également plus rare des flash back dans les flash back c'est rare sa mais très bien fait . Une dame handicaper essaye de joindre sont mari qui n'est pas rentrer mais l'hôtesse se trompe dans le numéro et elle tombe sur 2 homme en train de discuter d'un meurtre. elle commence à avoir peur seul dans son appartement surtout que le téléphone ne s'arrête pas de sonner pour lui donner des révélations sur sont mari . On passe un bon moment 1h30 de film qui passe très vite .

Il y a ceux qui vont crier au génie, et il y a ceux qui vont crier à la fumisterie, toujours est-il que ce film peut se placer dans la catégorie des bons films noirs de l'époque. Certes, les flash back pour nous expliquer le pourquoi du comment peuvent paraitre assez faciles, mais sans eux, point d'histoire, certes, l'hystérie de Barbara Stanwyck peut paraitre disproportionné et fatiguant, mais la présence de Burt Lancaster, avec son regard implacable, et ses mâchoires serrées nous font oubliés tous les défauts et nous pousse à aller au bout de ce petit film, qui n'a d'autres prétentions que de nous divertir.

Thriller noir bien old school digne d’un Hitchock, ça démarre bien ça finit de façon sublime, une des meilleures fins qui existent par contre le cœur du film à vouloir être détailliste, se perd dans les méandres d’une mise en scène lourde qui empêche une montée progressive de la tension. Un film à voir.

un thriller qui reste efficace malgré les lourdeurs de la réalisation qui fourmille de flash-backs parfois gigognes. Le film résiste tant bien que mal à l'usure du temps, malgré les voix top hautes des actrices féminines, comme cela était de mode à la fin des années 40.
Une femme handicapée, clouée au lit, se retrouve seule un soir dans son appartement et suite à une erreur (peu vraisemblable) d'aiguillage téléphonique, découvre qu'un meurtre va se perpétrer à 23h15 contre une femme, puis que cette femme pourrait bien être elle, puis que son mari (qu'elle s'est "offert" car elle en a les moyens, mais qui étouffe sous les autorités conjuguées de son épouse et de son beau-père) trempe dans des affaires louches, puis....jusqu'au dénouement de 23h15.
L'angoisse, puis la terreur de la jeune femme se communiquent rapidement au spectateur, même si certaines ficelles de réalisation les sombres au chapeau( les mafiosi menaçants) apparaissent aujourd'hui un peu trop grosses

Thriller intéressant de par sa construction en mille-feuilles, qui empile et emboîte les flashbacks avec un certain talent pour révéler l'horrible vérité pas à pas. Le procédé suscite l'intérêt, même si par moments on aurait tendance à décrocher, du fait sans doute que les acteurs (casting impressionnant) sont dirigés de manière trop théâtrale et les dialogues un peu trop appuyés pour forcer la dramaturgie, laquelle fonctionne malgré tout.

Un film noir à huit-clos qui se déroule en temps réel tandis que des flash-back explicitent les situations. Si l'intrigue est prometteuse, le scénario se révèle finalement assez confus malgré l'interprétation géniale de Barbara Stanwyck avec son rôle d'hypocondriaque retorse.

Une femme invalide entend par erreur une conversation téléphonique entre deux malfrats à propos d'un meurtre et essaye de prévenir la police, qui ne le prend pas au sérieux. Puis, toujours au téléphone, elle essaye de savoir où se trouve son mari, via différents protagonistes.
Au fil de l'histoire, elle va découvrir que son mari n'est pas celui qu'elle imaginait...
Très bon film noir à l'ancienne, avec flash-backs imbriqués et superbes mouvements de caméra. Mieux vaut rester bien concentré car l'histoire est assez compliquée vu que rien n'est linéaire, mais c'est aussi ce qui fait le charme de ce film.

Franchement bon.
Un scénario un peu complexe à discerner mais très bon et avec une très bonne mise en scène...

Ça part bien mais les incessants retours en arrière sont assez fastidieux. On veut tout nous expliquer. Il faut que l'on comprenne chaque détail, mais cela nuit à l'action. L'intrigue était pourtant bonne, digne d'un Hitchcock. Madame Stevenson apprend tellement de choses sur son mari.......qu'elle ne savait pas..... Suspense..... Le film est pas mal quand même.

Noir c’est noir : tous les protagonistes sont pris dans la nasse de leurs désirs aveugles ou de leurs faiblesses. Ici, comme dans toutes les tragédies classiques, chacun se construit sa propre prison. Sans concession, le récit est d’un fatalisme absolu et la narration est redoutablement étouffante (un huis clos dans une chambre diffractée par de nombreux flashbacks comme une toile d’araignée qui piège l’héroïne). Tous les ingrédients d’un bon film noir sont réunis, même si on regrettera les ficelles parfois trop grosses du scénario (les confessions en cascades, les coïncidences qui tombent bien). Heureusement, la mise en scène alerte et le casting royal savent nous les faire oublier.

Un thriller finalement assez simple mais très bien fait, très bien écrit qui nous montre petit à petit les rouages du crime, qui nous dévoile légèrement le mystère, sans trop en dire mais en nous laissant sur notre faim, pris par notre impatience. La tension est là de bout en bout et on ne peut s'empêcher de rester captivé à l'histoire et au dénouement final. A côté de cela, il y a malgré tout des faiblesses et c'est parfois assez criard, donc un peu énervant !!

"Raccrochez c'est une erreur" est un classique du film noir.
Riche héritière, mal mariée, Leona Stevenson intercepte une conversation téléphonique annonçant la commission d'un crime. Elle réalise lentement qu'elle pourrait en être la victime.
Son intrigue n'est pas sans analogie avec "Fenêtre sur cour" : son héroïne est à la fois omnisciente (toutes les informations passent par elle) et impuissante (Barbara Stanwyck comme Grace Kelly est clouée chez elle).
Il est construit sur une accumulation de flash-back.
Il progresse vers un dénouement inéluctable dont la noirceur est révélatrice d'une époque du cinéma, révolue depuis longtemps.

La reprise de la semaine est une curiosité qui permet à la grande Barbara Stanwyck de faire un grand numéro de femme handicapée coincée dans son lit et menacée par un meurtrier. Le problème, c'est que ce genre de films, c'est plus du théâtre filmé que du cinéma.

Adapté d'une pièce radiophonique d'une vingtaine de minutes, Sorry Wrong Number est un film particulièrement angoissant dans lequel une riche femme invalide assez antipathique et seule chez elle surprend une conversation téléphonique à la suite d'une erreur de l'opérateur alors qu'elle tente de joindre en vain son mari. Elle comprend de cette conversation qu'une femme va se faire assassinée le soir même. S'ensuit une tension très vive lorsque cette femme tente de tout faire pour éviter ce meurtre alors que son seul moyen de contact avec le monde extérieur est son téléphone. Un suspense très efficace mettent les nerfs du spectateurs à rude épreuve en crescendo et un sentiment oppressant de claustrophobie pour un film se déroulant principalement en huis-clos, à l'exception des scènes de flashback.