Derniers Avis : Vinyan - Page 10

La première partie du film est assez longue et manque d'inspiration.
Il y à des incohérences au niveau du montage (par exemple une personne se fait mordre au bras puis est en pleine forme au plan suivant) et la caméra tremble trop, évitez de vous mettre proche de l'écran.
La deuxième partie est assez proche d'Apocalypse Now, sans l'esprit. On aurait souhaité une deuxième partie plus longue, notamment un développement de la gynéphobie du mari.
Les génériques de début et de fin sont originaux et on aimerais voir plus souvent des comme ça.

Emmanuelle Béart est convaincante dans son rôle et la réalisation est pas mal mais la fin du film me déplaît et par moments l'histoire semble se perdre elle-même dans cette jungle.

Flou, sombre, casting : néant. Je n'ai pas adhéré à cet univers.

Pas de mots pour expliquer cette expérience.
La même sensation, le même choc, physique, que la première fois que j'ai vu "Stalker", "Irréversible", "2001" ou "Eraserhead".
Indescriptible, inoubliable.

Avis tres partagé .Petit à petit, sa mise en scène suit le cheminement de la psychologie de son héroïne et le film prend une tournure beaucoup plus fantasmatique et organique.On passe du drame au fantastique et ensuiste au gore .Il signe un grand film sur le deuil ou plutôt sur le refus du deuil, de la mort plus précisément .Film tres touchant qui exclut la possibilité de perdre un etre cher mais du weilz n avais pas forcement besoin de faire basculé son film dan le trash lors des 15 dernieres minutes.On y perd toute la melancolie et la noirseur du film . La briè­ve­té du film, sa réa­li­sa­tion sou­vent sèche, ne fa­vo­risent pas vrai­ment l'im­mer­sion com­plète que pré­dis­po­sait la na­ture du film. Vinyan doit avant tout être vu comme une odyssée romantique .Mais si le réalisateur développe un sens de l'atmosphère extraordinaire entre film d'horreur, mélodrame et aventure exotique on se lasse de démêler le cauchemar de la réalité aussi prétentieux qu'éprouvant. A la réa­li­té re­ve­nu, le film laisse échap­per au­tant de qua­li­tés que de dé­fauts.