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Un visiteur
5,0
Publiée le 25 août 2011
Le film de mon enfance, mon film de monstre, mon précieux, ma bobine magique. Le requin de 1975 fait plus vrai que la plupart des bouses 3D actuelles. Qu'en sera-t-il d'Avatar en 2045 ? Ne pensez vous jamais à ce film lorsque vous vous baignez ? Maitrisé, devenu un cas d'école, du grand Spielberg, le premier Blockbuster.
Pas trop mal pour l'époque, le requin est même super d'autant plus qu'on ne le voit pas beaucoup. Certains moments de sursauts sont parfaits. Mais on reste cependant dans un film qui a bien vieilli..
Film insipide sans intérêt qui a fait du requin le plus dangereux meurtrier de la planète à tel point qu'il est en voie de disparition. Film mal conçu (montage grossier, acteurs ridicules, aucun suspens et requin en plastoc). Film pour idiots à la recherche de sensation forte. Spielberg a fait illusion, avec sa daube. Pour le suspense et l'intelligence préférez Moby Dick Orca ou tentacules, barracuda,... Pour les amateurs de requins, je conseil Shark attack, une bonne série Z qui rappelle que le prédateur, c'est l'homme et que le requin c'est la proie. Il est bon de rappeler que seule une dizaine d'espèces de requins peuvent s'attaquer à l'homme sur plusieurs centaines d'espèces de requins. Les attaquent de requins sur l'homme sont très rares (moins de 30 par ans sur toute la planète). Sachant la pêche intensive, les guerres sans fin, les accidents de voiture, les suicides et j'en passe, combien d'êtres vivants l'homme détruit-il par ans? Appeler chef d'oeuvre une bousasse qui a entraîner le massacre de millions de requins (et d'espèces apparentés pour les abroutis bigleux) et met encore en péril notre ecosystème. NON SPIELBERG EST UN MAUVAIS REALISATEUR OPPORTUNISTE QUI A DU SANG DE REQUINS SUR LA CONSCIENCE. Les dents de la mer c'est une bousasse nauséabonde !!!!!!!!!!!!
Le film Les Dents de la Mer a été réalisé par Steven Spielberg, il est sorti en 1975. Il a reçu différentes récompenses donc 3 oscars. Le scénario est inspiré du livre de Peter Benchley. Grâce à ce film, Steven Spielberg récoltera un énorme succès de part la presse et les résultats au box office et acquiert une notoriété internationale. Ce long métrage raconte l’histoire d’une petite ville côtière(Amity) qui va être soumise à l’attaque d’un requin blanc mangeur d’hommes. Pour moi, ce film est un chef d’œuvre de par plusieurs scènes, celle notamment ou le chasseur de requins (incarné par Robert Shaw) nous raconte le naufrage de l’Indianapolis, on ne peut s’empêcher de frémir devant ce récit (véridique) ainsi que la scène de panique après la mort d’un petit garçon et le moment de désespoir de la maman. C’est vrai que les effets spéciaux ont un peu mal vieilli (le requin) mais il compense par un suspense haletant, avec une musique anxiogène et exceptionnelle de John Williams. Steven Spielberg a frappé très fort avec les Dents de la Mer qui restera pour moi l’un ou le meilleur film de monstre jamais vu.
Influencé par Hitchcock, Spielberg réalise le thriller ultime, celui où le tueur est rarement vu mais lorsqu'il apparait c'est dans un excès de terreur. Et c'est là que sa mise en scène prend toute son ampleur. Très travaillée, ne ménageant pas le spectateur pour créer des moments d'épouvante sans répits. Le spectateur est terrassé par l'angoisse de l'inconnu, de l'océan devenu danger, du monstre marin sans émotion qui ne répond qu'à l'instinct. Mais ce n'est pas tout, Spielberg commençait à l'époque à développer ses thématiques fétiches: l'enfance face au père, ici présent mais monopolisé par son métier; des héros durs en apparence mais tous humains... Un très grand film qui s'inspire de grands réalisateurs, mais matriciel à plus d'un niveau.
Une économie de moyens qui rend le film incroyablement intemporel et surtout créatif! Jamais un temps mort et des trouvailles autant visuelles que scénaristique sont légion! Interprétés par des comédiens avec une conviction rare pour ce genre de film! Définitivement un des grands moments du cinéma américain des années 70! INCONTOURNABLE!
Objectivement, le film est super bien réalisé, surtout pour le second vrai film d'un réalisateur. On a certains plans et mouvements de caméras, vraiment magnifiques.
La musique n'est pas devenue un classique pour rien, le scénario bon, pas superficiel pour ce genre de film.
Mais les acteurs sont assez moyens et surtout je n'ai pas eu peur ou n'ait été stressé une seule seconde, ce qui est un problème pour un "film d'horreur/thriller".
Beaucoup disent qu'il n'a pas vieilli, mais pour un "jeune" qui l'a découvert aujourd'hui, je trouve que si.
Etonnement pas d'un point de vu technique, mais d'un point de vu de la peur.
Cela est sûrement du au fait que l'on a trop parlé du film, et que beaucoup de films sortis depuis s'en sont inspirés, mais pour le spectateur de 2013 qui découvre le film, j'ai trouvé que tout était cousu de fil blanc, rien n'est surprenant ou ne fait sursauter.
Jaws nous amène dans son ambiance flippante et angoissante un film culte,les acteurs sont géniaux ils jouent trop bien.Un film d'horreur et de suspense de qualité.La musique est juste cool mais flippante.
Le premier blockbuster de l'histoire a pris, avec les années un petit coup de vieux. Mais il reste tout de même très efficace grâce notamment à sa musique inoubliable, sa scène d'ouverture, et son terrifiant requin.
Un modèle de suspense (sans un budget astronomique) qui donnera lieu à 3 suites catastrophiques, et à une multitude de dérivés : l'attaque des requins tueurs, Peur Bleue, mais aussi : Crocodile, Anaconda, Bats, Piranhas, Arachnophobie, les abeilles tueuses, les fourmis tueuses, le chat tueur, Congo (gorilles génétiquement modifiés), Frelons etc.. tout le bestiaire y est passé mais aucun ne fera aussi peur que les machoires de Spielberg. Dur de ne pas jeter un oeil dans le rétro, quand on nage en mer après la projection.
On peut distinguer deux parties majeures dans "Jaws". Dans la première, la petite communauté d'Amity s'affole de la recrudescence d'attaques de requins sur ses côtes : c'est peut-être ma fatigue personnelle qui s'exprime, mais on s'ennuie mortellement. On y retrouve toute cette naïveté "block-busterisante" qui caractérise souvent les oeuvres de divertissement de Spielberg, et qui m'agace profondément. On y trouve aussi quelques bonnes idées, comme celle du maire envoyant littéralement ses administrés au casse-pipe pour faire marcher l'économie : la métaphore avec la politique américaine est un peu grossière mais efficace. C'est cependant une fois que les trois personnages principaux sont en mer que le film commence vraiment. Le film devient un véritable huis-clos en pleine mer, les personnages deviennent enfin consistants, le suspense est croissant et le dernier quart d'heure, qui réserve son petit quota de gore, est remarquable. Je suppose que c'est pour remercier le spectateur de son infinie patience lors de la médiocre première partie...