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TTNOUGAT
506 abonnés
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3,0
Publiée le 16 juillet 2012
Le mythe fondateur,42 ans déjà. A le revoir les souvenirs des actions sont intacts mais les dialogues paraissent bien creux et bien vains quand les années et les expériences se sont accumulées. Que pense un jeune cinéphile bachelier S avec mention très bien qui le découvre pour la première fois en 2012 ? Car ce film se veut existentiel: ''Dieu a fit l'homme à son image'' dit un des singes savants et il réduit aussi en poussière toutes les religions. En fait, il pose de multiples questions et n'en résout aucune. Coté art cinématographique, il alterne la belle mise en scène comme celle du début et de la fin avec la pire, ne s'interdisant aucun zoom excessif ni aucune gesticulation inutile. Il est fort bien joué avec l'humour en plus et un Charlton Heston n'hésitant pas à y revoir plus de coups qu'il n'en a jamais donné dans ses autres films. Mais pour son coté ''aventures'', les temps morts sont trop nombreux, ils nous permettent de penser ce qui est gênant avec de telles réponses visuelles. Une impression bizarre en sortant bien moins enthousiaste que celle ressentie en 1968.
Film de SF culte! Je l'ai vu étant gamin et donc je n'ai pas été spoilé par les différentes jaquettes (une HONTE!). Ce film soulève énormement de question sur l'homme et sa place dans le monde, beaucoup de thème sont évoqués et nous font poser pas mal de questions.
Planet of the Apes révèle, par l’inversion des statuts qu’il propose entre hommes et singes, une bestialité congénitale de l’espèce humaine enfouie sous des couches de coutumes et de culture. La partition que signe Jerry Goldsmith, formidable au demeurant, parvient à rendre la sauvagerie à l’œuvre telle une harmonie imitative : en recourant à des sonorités insolites (corne de bélier, cuíca, synthétiseurs etc.), la musique nous place dans une tension permanente, nous percevons la menace avant même qu’elle n’advienne à l’écran, et cela dès le générique de début – qui anticipe celui d’Alien (Ridley Scott, 1979).
Pourtant, une fois ce jeu d’échange entre espèces établi, rien n’advient, sinon le récit prévisible et lourdement explicité par les dialogues d’une immersion fort sage dans le monde des primates ; un ventre mou s’installe, musclé à terme par la révélation d’un secret qui rehausse aussitôt l’intérêt d’un film qui vaut moins pour sa narration que pour sa mise en scène, nerveuse comme aime les signer Franklin J. Schaffner, et pour ses costumes et ses décors, révolutionnaires pour l’époque. Une réflexion pertinente, quoique primaire et traitée non sans lourdeurs, sur l’idée de civilisation.
Quel claque l'on reçoit avec cet ancien film culte basé sur un récit inoubliable et qui a marqué des générations et enfanté d'inoubrable simulation cinématographique.
Dommage que l'énormité de certaines incohérences rendent l'histoire très peu vraisemblable. Cependant, repositionnée dans son époque, La Planète des Singes apporte tout de même quelques éléments de réflexion sur la condition de l'homme (religion, évolution, tolérance, etc.), éléments que l'on peut certes trouvés naïfs aujourd'hui.
Classique parmi les classiques, La Planètes des Singes, et un film profond et très bien réalisé, si bien qu'il a aujourd'hui encore, conservé toute sa puissance.
Une bonne adaptation du livre de Boulle, qui a pour principale idée de montrer le résultat de l'inversion de la place des singes et des hommes dans le monde pour faire réfléchir...
Ce classique de la Science-fiction, innovant et très intelligent dans le fond, remet en question l'évolution, sans mégalomanie. Il n'y a qu'à voir ce dernier plan...Grandiose!
Je suis légèrement resté sur ma fin, après la vision de ce classique de la SF... bien sûr j'y ai retrouvé toutes les références que je vois dans certains films ou séries, sans jamais vraiment les comprendre ( Jay And Silent Bob, les Simpsons, ... ), et quelques passages que l'on peut retrouver dans La Planète des Singes de Burton, mais rien de comparable ! Les duex films sont totallement différent, et je ne comprend pas ceux qui en font des comparaisons ! Enfin, l'acteur qui rythme tous le film: Charleton Heston ! Vraiment énervant au début, il se calme au fur et à mesure du film, on sent quand même son gout pour les armes à feu, et son discours est déjà bien préparé à ce sujet ( "jamais sans mon arme", "mon fusils c'est ma vie" ... enfin par là quoi! )