Avis : Flash Gordon - Page 3

Autant jai adoré Superman avec Christopher reeves a couper le souffle et viril ,autant ce film Flash est un navet a tout point de vue et décevant.;c'est inspiré d'un comics ou bande dessinée mais malgré des bonnes intentions,le film a raté son but : recréer l'ambiance de la BD et en faire un film divertissant.je viens de revoir la Bande annonce et avait vu ce film il ya des années mais mise a part l'avalanche d'effets spéciaux,la très belle Ornella mutti le scénario est creux,dénué d'interêt et Flash gordon est sans relief ni personnalité;Heureusement que Queen a été la pour sauver la vacuité du scénario avec son succès "flash gordon"du tonnerre et la voix de Freddie incroyable.pour moi la bande annonce a sauvé le film.Je pense que c'es't kitsch et a réserver aux enfants amateurs d'effets spéciaux..bref pas inoubliable du tout comme Superman.vite oublié.

Une œuvre d’art vulgarisée qu’est ce film kitch, une plongée d’expédition vers l’infini et dans la masse du décor galactique aux effets spéciaux honorables, le style 80 est très cool avec ce héros à la coupe de cheveux impeccable, un hommage à la bande dessinée inspiré, je lui donne une très bonne note. Face aux ambitions de l’empereur Ming, le gardien de la galaxie en scooter volant ose le défié, un soutien de la bande à Robin des bois, ce qui donne un film bien drôle. Je suis contente de savoir que le groupe musical Queen participa à la bande originale avec leurs tubes pop rock monstrueux, la musique rappelle des souvenirs télévisuels, ça met de l’ambiance en plein action, le son monte en intensité. L’intrigue de guitare électrisant et batterie palpitante à l’assaut pour mettre fin aux desseins du tyran universel.

Après une flopée de feuilletons télévisés dans les années 30 et une série inédite en France dans les années 50, revoici le fringant Flash Gordon dans sa première aventure pour le cinéma. Produit par l'Italien Dino De Laurentiis et réalisé par le Britannique Mike Hodges (auteur des excellents La loi du milieu et L'Homme terminal), le long-métrage bénéficie d'un gros traitement de faveur : budget confortable, acteurs de renom (ou presque) avec Max von Sydow, Timothy Dalton et Melody Anderson (inoubliable Brooke dans la série "Manimal") et musique signée Queen... Le film se voulait être un space-opera épique et fidèle au comic strip original. Le résultat final fit hélas grincer des dents... Costumes kitchs, musique ringarde, décors en carton pâte et acteurs ridicules font la part belle à un scénario gnan-gnan et prévisible ainsi que des effets spéciaux hélas instantanément désuets. Car là où Flash Gordon aurait pu devenir culte, il ne demeure aujourd'hui connu que pour son côté nanar à peine assumé. Il faut dire qu'entre le talent discutable de l'inconnu Sam J. Jones (choisi on ne sait pourquoi dans le rôle-titre), un Max von Sydow cabotin à en mourir, des hommes-oiseaux tout droit sortis d'un mauvais film d'horreur des années 60 et des scènes d'action plates comme une flaque d'eau, on se demande comment un tel projet a-t-il pu être pris au sérieux. Toutefois, avec le temps, de la compassion et du courage, Flash Gordon demeure au final un bon nanar des années 80, certes pas très reluisant et bien deçà du comics (déjà très sobre dans son concept) mais néanmoins sympathique, voire rigolo. Le film est d'ailleurs assez fidèle à l'univers créé par Alex Raymond - un peu trop même, du look des personnages jusqu'à leur personnalité. Restent heureusement du film quelques bonnes petites séquences ainsi que la présence de la sculpturale Ornella Muti, alors âgée de 24 ans et de celle, plus fendarde, de Max von Sydow déguisé en mémorable Empereur Ming, rigolant à chaque minute de son rire diaboliquement kitch.

Métrage "Culte" pour toute une génération de cinéphiles, "Flash Gordon" n'est autre que l'adaptation du "Comics" de Science-Fiction éponyme créé par "Alex Raymond" en 1934. La journaliste "Dale Arden" et "Flash Gordon", jeune star de football Américain des "Jets" de New York, sont propulsés accidentellement dans un monde extra-terrestre avec le "Dr. Hans Zarkov". Ils y rencontrent un tyran intergalactique, l'empereur "Ming de Mongo", qui souhaite faire de "Dale" sa nouvelle concubine et détruire la Terre. Décors enchanteurs en carton-pâte, costumes "Flashy", Action à l'ancienne, incohérences flagrantes et "B.O." bien rock signé "Queen" reste les atouts principaux du film de "Mike Hodges". Certes le métrage a prit un méchant coup de vieux, mais son aspect totalement désuet donne un certain charme à l'ensemble dans un véritable "Nanar" de Science-Fiction avec en tête d'affiche des acteurs connus comme "Max Von Sydow" (Vu dans "Dune", "Minority Report" et "Judge Dredd") interprétant l'inquiétant empereur "Ming" ou encore "Timothy Dalton" ("Tuer N'est Pas Jouer", "Permis de Tuer" et "Les Aventures de Rocketeer") dans le rôle du prince "Barin". Vous aimez le "Kitsch" et l'absurde ? Ça tombe bien, avec "Flash Gordon" vous allez en avoir pour votre argent !

Ce film est tout simplement ridicule...
Il y avait quelques bonnes idées, mais dans l'ensemble vraiment rien d'inoubliable. Le vieillissement des effets spéciaux n'arrange rien à l'affaire...
A voir si vous voulez rire un bon coup!

Loin du top des héros revisités au ciné c est néanmoins le top du kitch en science-fiction, couleurs flashs, effets spéciaux assez light le résultat reste tellement décalé qu il passe, la bande son aide également à se plonger dans cet univers. Il reste de mon point de vue néanmoins le film culte du genre a ce jour !

Bon d'accord , les effets spéciaux, les costumes et les décors sont kitsch comme on en a rarement vu , mais finalement en le regardant au second degré on finit par trouver ça plaisant comme pour Barbarella! et la musique de Queen est excellente!

Le summum du kitch est allègrement explosé par Dino de Lauentis dans ce truc. Copie d'un Star Wars croisé de repompage d'univers "Conan" le barbare... imaginez ensuite que la musique soit de Queen, que le scénario dépasse vite ce que l'on pouvait attendre de pire, avec une scène hallucinnante de combat de football contre la garde impériale, suivi d'une jouissive scène où des Wisigoths casqués volants attaquent... De Laurentis devait être sous héroïne quand il a écrit le scénario. A ne pas manquer pour les amateurs de non sens et d'humour involontaire... les autres passeront leurs chemins...

Un héros tout sauf charismatique, des effets spéciaux, décors et costumes d’un autre temps, histoire pourrie, acteurs mauvais, rien n’est à récupérer dans cette immonde chose.

Un acteur principal inconsistant + une metteur en scène à la rue + la superbe BO de Queen + des costumes et des décors conçus par un italien fou + Ornella Muti + Timothy Dalton + Max Von Sidow déjanté + des hommes-oiseaux en slip + des dialogues rigolos + des scénes invraisemblables (une princesse de l'espace fouettée, Flash jouant au foot contre la garde impériale, une bataille de polochons entre filles etc...) et un Dino de Laurentis persuadé qu'il a produit un film de S-F sérieux...
= un film de dingues,un space-opéra érotique pour cinéphiles, à voir sans se prendre la tête !!!!(en faire un remake est une honte, au passage.)

Si vous ne supportez plus les StarWars et autres SDA trop sérieux, Flash Gordon est pour vous !
La scène de l'attaque des hommes oiseaux contre la navette, sur du Queen, possède plus de candeur et d'énergie que toutes les trilogies réunies !!!!
FLASH ! A-AAAAAHH!!!!!!

La superproduction de la S.F des annèes 80 se nomme "Flash Gordon" et elle est digne d'un opèra de spectacle à Paris! Costumes d'opèrette et kitsch boursouflè sont les constantes de ce soap-opèra! Plusieurs scènes d'anthologies sont à relever telle la partie de football amèricain à la cour de Ming ou l'assaut final sur fond musical de Queen! Possible de trouver le temps long, impossible de s'y marrer avec son côtè flamboyant! Sam Jones trouvait en Flash Gordon le rôle de sa vie mais sa mèsentente avec Dino Laurentiis conduit à sa perte une trilogie annoncèe! On salive devant Melody Anderson et Ornela Muti tandis que le grand Max Von Sydow est un mèconnaissable et impitoyable Ming! Un grand succès en Angleterre, mais ce qui arriva aux Etats-Unis ètait plus malheureux! En dèpit de bonnes avant-premières et critiques, le film de Mike Hodges n'a pas eu la carrière espèrèe! Ce sont les cinèphiles qui vouèrent au culte ce classique du genre...

Gros problème que ce film, véritablement culte pour ceux qui l'ont découvert jeune, ce qui n'est donc pas mon cas. Une fois adulte, difficile d'être émerveillé par des trucages aussi foireux, une narration bancale et une mise en scène aussi impersonnelle, avec des héros fades et une intrigue étirée pour pas grand chose, avec des ficelles épaisses et pourtant peu solides. Foutraque donc au mieux, mais parfois jouissif, même s'il faut attendre longtemps avant de vraiment décoller. Les acteurs sont ridicules, la production design a pété un câble, les moyens sont démesurés et le rythme un peu faiblard. Du mauvais cinéma donc, culte pour certains certes, mais pour ceux qui ont découvert Flash Gordon à travers la série animée des 90's sur Canal , c'est bien inférieur à ce produit mal pensé et mal exécuté.

Le fait qu'on soit ici en 81 n'excuse pas tout. Clairement le film ne fait aucun effort et on voit bien que personne n'avait l'intention de faire un bon film ou même un film correct. C'est tellement nanardesque sur tous les plans que c'est en à se demander si c'est pas un sketch ou un sabordage volontaire du projet.
Que ce soit au niveau du jeu des acteurs, des costumes, de l'écriture des dialogues, on a vu des spectacle de fin d'année d'école primaire moins ridicule.
99% des acteurs ne savent incontestablement pas jouer, enchainent les grimaces et les têtes d'ahuri et les rares acteurs corrects semblent faire en sorte de jouer encore plus mal que les autres.
Et pour ce qui est des effets spéciaux, entre les décors en carton, les maquettes qui semblent avoir été faites avec des jouets pour enfant, les accessoires bricolés par une classe de maternelle (rien qu'au tout début du film, le type avec son masque de plongée mal transformé en casque futuriste avec de la colle qui coule de partout et des bouts de plastiques transparents dessinés en guise d'écrans LCD on nage vraiment en plein ridicule.
Même les effets des épisodes de San Ku Kaï (un genre de Bioman sorti 3 ans avant ce film pour les plus jeunes) sont moins mauvais.
Bref il n'y a vraiment rien de bon à garder de ce film, surtout à côté d'autres films de SF sortis bien plus tôt comme le 1er Alien ou Star Wars.
A part peut être une chose: pour l'anecdote, George Lucas a décidé de créer son propre univers de SF, Star wars, après s'être vu refuser la réalisation de l'adaptation de Flash Gordon, donc merci d'avoir recalé George Lucas pour faire ce nanar

Le plus kitch des films du début des années 80, ce qui lui vaut cette unique étoile méritée juste pour la rigolade procurée par la précarité des effets spéciaux et des décors qui risquent de s'effondrer à tout moment. C'est ringard et dépassé, et ce depuis sa sortie en salle, tout de même.

Aujourd’hui, revoir Flash Gordon ne peut avoir comme seul raison que de pouvoir apprécier l’ampleur de l’aspect kitsch de cette série B désuète avant même sa sortie. Qu’a pu chercher à prouver Dino De Laurentiis en acquérant les droits du comics et en confiant la réalisation à Mike Hodges qui, certes avait signé quelques bons polars, mais n’avait pas l’envergure d’un tel projet ? La véritable déception cinéphilique est que le producteur avait initialement pensé à remettre la mise en scène à Federico Fellini, ce qui aurait pu donner un résultat particulièrement surprenant. Mais là, ce space-opéra au scénario dérisoire, jouissant d’un budget pourtant à peine inférieur de L’empire contre-attaque produit la même année, n’est composé que de costumes bariolés, de décors en carton-pâte, d'effets spéciaux de vingt ans de retard et d’acteurs au cabotinage risible. Alors que Max Von Sydow est ouvertement en roue libre pour surjouer le méchant, le rôle du super-héros a été remis à un sombre inconnu, Sam J. Jones, qui n’avait jusque-là brillé qu’en tant que mannequin et qui est pour beaucoup dans le caractère grossièrement eighties de Flash Gordon.