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    Shine a Light
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    163 critiques spectateurs

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    Stanley-le-begue
    Stanley-le-begue

    42 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 mars 2009
    Une énorme déception. A moins que le film illustre le fait que les Stones ont perdu totalement leur esprit rock en devenant des produits marketings, mais ça n'a pas l'air d'être le cas tant Scorsese semble les admirer. La salle est froide, sans doute est-ce dû au fait que ce soit un concert privé aux places hors de prix organisé par la famille Clinton (nous sommes en pleine course à l'investiture démocrate).
    Du coup, pas d'âme, et l'énergie dépensée par ces pays du rock est trop calculée pour impressionner ou surprendre. Seul le duo avec Buddy Guy vaut vraiment le détour.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    29 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 avril 2008
    Superbe et filmé avec amour, ce concert n'émeut pas particulièrement ; faute d'insister sur les archives, l'oeuvre de M.Scorsese se brise sur les limites du genre.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    186 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 août 2008
    "Shine a Light" ressemble à un concert de rock, a le goût d'un concert de rock, mais n'est pas un concert de rock. Dans la salle : un public de beautiful people bien éduqués, autour de Bill et Hillary Clinton. Sur la scène, le meilleur groupe de rock du monde en 1970, soit il y a près de 40 ans, occupé depuis à jouer et rejouer des chansons impeccables, immortelles peut-être, tant de fois que tout cela ne ressemble plus à grand chose aujourd'hui (d'ailleurs, Keith, un peu pathétique, n'arrête pas d'en rire). Et puis derrière, autour, un ballet de caméras et un mur de spots qui déréalisent encore plus le set... et Scorsese, qui vient de rater son premier film depuis longtemps.
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 septembre 2009
    Ni plus ni moins qu'un concert de rock classique, sans grand intérêt cinématographique..
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2021
    Ce sont des gens vieux et riches qui jouent devant des gens vieux et riches filmés par quelqu'un de vieux et riche. Et ils ont fait le casting de quelques centaines de jeunes filles pour danser rêveusement au premier rang. Comment un groupe qui était si bon autrefois peut-il devenir si mauvais apparemment aujourd'hui Keith ne peut plus jouer et le chant de Mick et son comportement sur scène est devenu une parodie de ce qu'il était avant. La batterie de Charlie est toujours aussi bonne. Mais ils ont des choristes une section de cuivres et divers claviers qui essaient de compenser ce qu'ils ne peuvent plus fournir. Quant aux images Scorsese dispose de 15 caméras qui vont et viennent et c'est bien filmé et monté mais cela donne envie de revenir au film Gimme Shelter. À l'époque ils n'avaient que deux ou trois caméras 16 mm pour couvrir les concerts mais qu'importe le résultat était tellement plus Rock'n'roll et à l'époque les Stones étaient pertinents. Dans ce documentaire tout le monde essaie de s'amuser et tout le monde prétend que c'est la réalité alors que franchement tout le monde peut voir que c'est plutôt pathétique et totalement inutile...
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    38 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2013
    Le pur cinéphile, l'insensible à la musique des Stones, aura du mal à trouver quelque chose à se mettre sous la dent en visionnant Shine a Light, tant Scorsese s'est effacé derrière sa caméra, pour offrir un simple concert filmé, sans trop d'effets ni d'artifices. Le fan des Rolling Stones, lui, et ce malgré une setliste un brin curieuse, aura de la peine à réfréner son envie de taper du pied, de se lever pour se déhancher, applaudir entre les morceaux, s'allumer une cigarette, demander un rappel. Les RS déchirent encore sur scène et déployent une énergie brute incroyable. Quant à Buddy Guy, qui fait une apparition en guest, il est tout simplement monstrueux et casse définitivement la barraque.
    Cinephilegirl
    Cinephilegirl

    104 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2008
    Déjà pas vraiment fan des Stones, je suis allée voir ce docu dans l'intention de trouver un quelconque interêt à ce groupe, mais mis à part deux-trois chansons bien sympa (dont le superbe "Tears Go By") et quelques images d'archives interessantes, l'ensemble ne m'a laissé qu'un sentiment d'ennui. Dommage. Cependant, je comprends que l'on puisse trouver du charme à ce groupe déjanté.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    81 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2011
    "Shine a Light" ou quand le maître Martin Scorsese film ces légendes du rock’n’roll que sont les Rolling Stones lors de leur passage au Beacon Theater de New York pour la tournée A Bigger Bang Tour. Pour se faire il déploie un véritable arsenal avec pas moins de 16 caméras afin de capter l’essence de ce groupe mythique lorsqu’ils montent sur scène. Mais malgré de très bons moments à regarder ces sexagénaires donner tout ce qu’ils ont et prendre énormément de plaisir, l’intérêt retombe quand on comprend très vite que ce documentaire n’en ai pas vraiment un, car mis à part quelques images d’archives et des moments back stage "Shine a Light" ne propose rien d’autre qu’un live dont on savoure chaque instants. On aurait pu craindre un essoufflement de la part du groupe mais il n’en est rien, Mick Jagger tient toujours autant la distance, Keith Richards nous éblouit pas ses riffs de folie, Ronnie Wood et Charlie Watts toujours présents complètent ce quatuor mythique. Le concert est très conventionnel mais les Rolling Stones assurent le spectacle comme si rien n’avait changé et font venir sur scènes Jack White ou encore Christina Aguilera.
    Nelly M.
    Nelly M.

    81 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2008
    D'éternels jeunes hommes, dont le coeur bat à grands coups pour la musique. Les voici dans ce Beacon Theatre petit et chic, avec les Clinton et quelques poupées décoratives devant les caméras. Si on aime "le son" des Stones, celui de leurs origines, l'alchimie est de retour en cet automne 2006, fini le style trop barré, il y a eu comme un recentrage. Bravo au talent des multiples caméramen de Martin Scorcese capteurs de chacun sous son meilleur jour... Clair que les Stones adorent leur boulot, cela crève les yeux et les oreilles (le son un peu fort en numérique, apportez votre coton pour l'amortir) : salle de cinéma et salle de concert se rejoignent, j'ai failli applaudir plus d'une fois... Le sous-titrage des paroles de chansons aurait été judicieux, on peut aussi être soûlé par autant de numéros à la suite et avoir besoin du sens... D'autres guest stars que celles-là auraient pu être invitées dans cette atmosphère très soul et très blues des Noirs, car les Stones sont à leur apogée musicale, peuvent s'ouvrir à d'autres artistes... Décollage avec "Jumping Jack Flash", 14 morceaux vont défiler, dont "She was hot" et d'autres non moins entraînants... Le point culminant est sans nul doute "Champagne and Reefer", ce blues avec Buddy Guy dont le beau visage fixe la caméra quelques secondes, suivies d'une explosion de taquineries entre virtuoses, qui donne envie de se procurer le dvd dare-dare... A retenir aussi, les deux choristes métis sur le coin gauche de la scène, d'ordinaire cantonnés au chant, et ici carrément sortis de leurs gonds, un vrai bonheur que ces bras levés ou cette jupe qui tourne... Claviers, percussions et cuivres distillés de manière subtile, quelques envolées bienvenues du saxo et de l'harmonica de Mick... Les reines sont sans conteste les guitares, Ô combien jouissives dans leur variété de sons. Je n'ai pas souffert de la déperdition par rapport à l'enregistrement en studio. Admettons qu'on s'énerve du cabotinage ambiant : Wood qui se la pète, Jag
    Patjob
    Patjob

    19 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2022
    Le film consiste en un concert filmé, précédé de quelques images sur la préparation du film, puis ponctué de courts moments d’interviews ou images d’archives des protagonistes. Le concert en lui-même n’est peut-être pas le meilleur du groupe légendaire (il se déroule devant une salle plutôt BCGG en présence du président des Etas Unis), je n’en sais rien, mais il est prenant et surtout bien filmé. Avec des moyens techniques importants (18 caméras, dont des caméras mobiles et même montées sur grue) Scorsese livre des images fantastiques de la prestation du groupe et en particulier de Mick Jagger, fascinante bête de scène. La qualité des plans et, surtout, le montage, permettent d’épouser le rythme des chansons et de hisser le film au niveau d’énergie transmis par le groupe. Un exemple en la matière, bravo.
    Michael78420
    Michael78420

    42 abonnés 1 284 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2022
    On s'y croirait ! Pour avoir déjà vu les Stones 4 fois sur scéne, et avoir regardé plusieurs de leurs concerts en vidéo, je dois reconnaître que Martin Scorcese a réalisé là un must du genre. Les gros plans sont tous les bienvenus, montrant la complicité au sein du groupe. L'énergie dégagée par la musique des Stones est parfaitement rendue. À recommander pour les fans ! Même ma fille de 8 ans a adoré, ce qui me fait de beaux souvenirs puisque c'est l'âge que j'avais lorsque j'ai découvert ce groupe mythique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 mai 2008
    Scorsese a un long passé rock&roll. Il a bien sûr réalisé No direction home : Bob Dylan il y a trois ans, et également The last waltz en 76, il a en outre produit Grace of my heart, La route de Memphis et Lightning in a bottle, mais il est surtout responsable de l’admirable montage, nerveux à souhait et d’une virtuosité rare à l’époque, du Woodstck de Michael Wadleigh.

    Aussi, c’est avec une pointe d’amertume que l’on doit le constater : Marty vient de nous pondre un bon film. Seulement bon. Il touche pourtant parfois à l’excellence, notamment dans les premières minutes où l’on retrouve la structure de Woodstock : alternance entre reportage et concert, making of du film comme du concert en parallèle. Mais après cette introduction toute en vista, où l’on découvre un groupe toujours aussi joueur qui attend la toute dernière seconde pour faire passer au réalisateur l’ordre des morceaux (« Il faut que je sache par quoi vous commencez. Si c’est un riff de guitare, il faut que je sache qui le fait, d’habitude c’est Keith, mais je dois savoir et si c’est Mick qui chante il faut que j’aie trois ou quatre caméras sur lui… »), le film s’endort légèrement en se rapprochant un peu trop du simple concert filmé — certes avec brio, certes avec une photo impeccable, mais juste filmé.

    Bien sûr, on se régale du numéro des Stones, et en particulier des deux derniers guitar-heroes survivants : Keith et Ronnie, qui s’observent et s’écoutent pendant deux heures, donnant sérieusement l’impression de deux sales gosses qui font un concours et, en même temps, dont chacun laisse l’autre faire son numéro. Keith vole franchement la vedette à Mick de temps en temps et, à propos, ce dernier est un peu ailleurs : c’est vraiment le duo des guitaristes qui fait œuvre commune, tandis que Mick est toujours un peu à part, devant ou à côté, et que Charlie se planque sans arriver à se faire oublier — il faut dire qu’il est le seul du groupe à avoir l’air à peu près équilibré.

    [...]pourquoi 2000 c
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2014
    La musique a toujours irrigué le cinéma de Martin Scorsese qui tente ici de renouer avec la qualité de "The Last Waltz", magistrale captation du concert d'adieu du groupe The Band. Dans ce dernier film, il parvenait à trouver une certaine proximité avec les musiciens, les filmant comme les personnages fictifs de ses autres longs-métrages. Ce faisant, une histoire sous-jacente émanait de l’œuvre, celle d'un groupe et du chemin qu'il avait parcouru pour s'achever à San Francisco. Le réalisateur utilisait quelques archives, mais c'étaient surtout les regards et les sourires échangés pendant le concert qui exprimaient de l'émotion.
    Dans "Shine A Light", Scorsese utilise quelques-uns des artifices utilisés auparavant (archives, images de coulisse...) mais on est plutôt cette fois dans une sorte de glorification d'un groupe mythique, des années après son zénith. qui essayerait ici de prouver son actualité en jouant avec de jeunes musiciens. Dans "The Last Waltz", l'accumulation d'artistes invités permettait de dresser le portrait d'une scène musicale soudée mais sur le point de disparaître ou d'évoluer ; dans "Shine A Light", ce même procédé sert surtout à montrer l'influence des Rolling Stones sur les nouvelles générations. Il y a donc moins d'émotion suscitée, mais la jubilation est tout aussi présente. Le groupe se déchaîne ainsi, faisant éclater son talent sur scène et montrant surtout sa proximité avec le public. Durant le concert, les musiciens sont filmés comme des divinités (et Keith Richards en démon vaudou !), mais Scorsese a bien pris le temps de mettre en place une longue introduction les montrant sous un jour plus humain, avec leurs qualités mais aussi leurs défauts. "Shine A Light" aurait pu être un mausolée funeste dressé en l'honneur du groupe, mais il est finalement un très bel hommage a l'entité vivante à défaut d'être actuelle qu'évoquent les mots « The Rolling Stones ».
    Niko0982
    Niko0982

    63 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2008
    Très réussi. Scorsese est filme les Stones avec grandeur et avec talent. Le groupe est monumental. Bref, c'est un bon film, très sincère. C'est d'ailleurs une honte que si peu de cinémas l'aient diffusé.
    girondins59
    girondins59

    37 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2008
    Les Stones filmés par Scorsese. L'affiche fait rêver et pour cause : le plus mythique des groupes de rock filmé par leur fan numéro 1 et accessoirement l'un des meilleurs réalisateurs de l'histoire. Mis à part dans le premier quart d'heure concernant les préparatifs du concert, le film est beaucoup plus Stones que Scorsese. Et pour cause! Même en nous offrant les meilleures images possibles d'un concert survolté, Martin Scorsese ne peut rien devant l'énergie hallucinante déployée par Jagger et consorts. Quelques stars viennent prêter main forte aux papys du rock (on retiendra surtout la performance de "cet enfoiré de Buddy Guy" dixit Mick Jagger) et on a même le droit à une petite de visite de la famille Clinton, une occasion que ne manquera pas Keith Richards pour faire un peu d'humour. Les morceaux joués ne sont pas forcément ceux que l'on attendait mais même les chansons "mineures" des Stones sont de véritables tubes et puis, rien que pour les deux dernières ("Brown Sugar" et "Satisfaction"), le concert vaut largement le coup d'oeil. Difficile de ne pas se lever de sons siège et de s'éclater littéralement devant une telle débauche d'énergie de la part de ce groupe mythique. On comprendra que Scorsese ait préféré regarder plutôt que de participer.
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