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    Une journée en enfer
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    785 critiques spectateurs

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    Anthony Stark
    Anthony Stark

    53 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 avril 2015
    Excellent troisième volet qui est à mon sens le meilleur de la saga. Le film change un peu de sauce et abandonne la recette"au mauvais endroit au mauvais moment". Cette fois, le méchant( Jeremy Irons et qui dans le film n'est autre que le frère de Hans Gruber) va élaborer un plan bien construit. Il va d'ailleurs venger son frère en faisant tout un tas de choses dangereuses à McClane mais aussi à Zeus Carver( Samuel L. Jackson) car ce dernier a aidé McClane au début. Le scénario est plus complexe et plus surprenant grâce à des rebondissements inattendus. Le duo Willis et Jackson fonctionne à merveille car ils sont attachants et hilarants lorsqu'ils se disputent. Nous retrouvons pour notre plus grand bonheur John McTierman qui remplace le médiocre Renny Harlin qui s'était chargé du deuxième opus. Et autant dire que nous voyons tout de suite le changement de réalisateur lors des scènes d'action etc...
    Pour ma part, je préfère cet opus là comparé au 1 même si j'adore aussi ce dernier. Bref, cet excellent volet est pour moi l'Apothéose des Die Hard.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    Après un premier opus exceptionnel et une bonne suite, quoique nettement moins bien, je m'attendais à un troisième volet encore moins réussi. Et bien non ! Une journée en enfer s'inscrit vraiment dans la veine de Piège de cristal, par un retour aux sources : le retour du réalisateur, John McThiernan, un antagoniste très charismatique ( spoiler: d'autant plus qu'il est le frère d'Hans Gruber, le méchant de Piège de cristal
    ), une ambiance stressante, d'autant plus que cette fois ci c'est New York qui est menacé, et le danger est omniprésent. Bruce Willis apporte son charisme et son humour au personnage de McClane ( qui en plus est devenu un poivrot ), Samuel L Jackson est un allié sympa et Jeremy Irons est un excellent méchant. On peut malgré tout noter quelques défauts qui ternissent légèrement le film : McClane est toujours un super-héros, certaines scènes sont improbables et les énigmes sont un peu tirées par les cheveux.
    Je ne vais quand même pas râler, car Une journée en enfer est l'un des meilleurs films de la franchise ( même s'il est légèrement moins bon que Piège de cristal ), qui se regarde avec toujours autant de plaisir.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2020
    Après 58 minutes pour vivre qui reprenait le principe de Piège de cristal adapté à un aéroport, un troisième Die hard pouvait sembler risqué si le scénario reprenait une fois encore le même type de scénario. Heureusement, John McTiernan, de retour à la réalisation, a l’intelligence de renouveler totalement la série en partant dans une nouvelle direction qui justifie de façon efficace le retour d’un John McClane désormais en instance de divorce, suspendu de la Police et proche de l’alcoolisme. Cela est dû à un scénario intelligent qui possède une 1ère heure très originale adaptant le principe de "Jacques a dit" (ou, pour les anglophones, "Simon says", qui était d’ailleurs le titre de la première version de l’histoire qui, une fois encore, n’avait rien à voir avec John McClane au départ). Il faut d’ailleurs peu de temps pour comprendre que le film possédera un rythme frénétique spoiler: car, alors qu’on s’attend à une introduction classique (comme celles des deux premiers volets), une explosion au bout de quelques plans vient surprendre le spectateur
    . Ce début mémorable indique ainsi que l'exposition à laquelle nous pensions assister est en fait une plongée directe dans une action et une tension qui seront quasiment constantes.
    Ce script est ainsi servi par la réalisation tout à fait brillante de McTiernan. En effet, pour l’époque, celle-ci est assez neuve pour le cinéma d’action puisque sa caméra est portée sur quasiment tous les plans. Mais, à l’inverse de beaucoup de productions actuelles, Une journée en enfer bénéficie du sens de l’espace d’un John McTiernan qui sait rendre son action lisible tout en offrant des plans constamment mobiles. Le tout est mené avec un tel brio qu’il permet de faire oublier les rares détails pouvant échapper au spectateur à la première vision spoiler: comme la façon dont McClane réussit à se libérer avec Zeus quand ils sont attachés l’un à l’autre ou celle où il comprend où se trouve Simon lorsque ce dernier cherche à s’enfuir (séquences qui sont tout à fait compréhensibles quand on les regarde au ralenti)
    . Il est impossible ainsi de s’ennuyer une seule seconde tant le rythme et le suspense sont constants.
    Cette action incessante n’empêche pas pour autant de s’attacher aux personnages que sont un John McClane au bout du rouleau dès les premières minutes et son nouveau comparse, Zeus Carver spoiler: , un commerçant noir plutôt raciste qui se prend progressivement d’affection pour notre héros blanc qu’il rencontre pourtant dans des conditions très particulières (et qui prouvent que son racisme n’est pas viscéral mais due à l’exclusion par la société américaine des personnes de couleur)
    . Ces deux personnes permettent ainsi d’assister à de savoureux dialogues souvent teintés d’humour. spoiler: Certains possèdent d’ailleurs un retentissement différents vu de nos jours comme celui où une femme noire dit "C’est ça ! Et moi, j’vais épouser Donald Trump !", celui où un homme dit "Vous étiez sûrement au World Trade Center, ça nous rappelle de mauvais souvenirs !" ou encore celui où McClane prédit qu’Hillary Clinton sera Présidente des Etats-Unis.
    En ce qui concerne les dialogues, il faut noter que comme pour 58 minutes pour vivre, la version française traduit une fois encore étrangement l’iconique "Yippee ka yay, mo...er" qui devient ici "Bon voyage, espèce d’en...ré".
    On peut noter également une utilisation intelligente de la musique de Michael Kamen mais également de morceaux préexistants comme Summer in the city chanté par The Lovin’ Spoonful dans la première séquence.
    Enfin, à toutes ces qualités, il faut ajouter la qualité du casting puisque Bruce Willis est cette fois associé aux deux immenses acteurs que Samuel L. Jackson (dont la popularité venait d’exploser avec Pulp fiction) et Jeremy Irons dans le rôle de l’antagoniste.
    Ainsi, Une journée en enfer est, à raison, souvent considéré comme étant le meilleur volet de la saga Die hard en concurrence avec Piège de cristal (avec qui il possède un lien direct et qu’il vaut mieux avoir vu avant). On peut même estimer qu’il est tout simplement à classer parmi les plus grands films d’action de tous les temps.
    MC4815162342
    MC4815162342

    364 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mars 2013
    Une journée en enfer: surement le meilleur volet de la saga, McTiernan revient en grande forme pour nous présenter sont deuxième bébé die hard !
    Avec courses poursuites, temps imparties et devinettes !
    Avec un duo de dingue, L. Jackson / Willis, répliques toujours aussi bonnes et situations encore plus folles !

    "Oui j'ai écouté mais j'ai une putain d'gueule de bois ! J'ai mal jusque dans les cheveux tu comprend ??!!"
    FaRem
    FaRem

    7 367 abonnés 8 811 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Un 3e film à la hauteur des 2 précédents ce qui est rare dans les films à plusieurs volets. Un bon scénario toujours spectaculaire et très divertissant.
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    40 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le comble du ridicule! Un film que le défunt Mike Brant n'aura jamais eu la chance de visionner sinon, qui sait, peut-être aurait-il réflechi à deux fois avant de se jeter du haut d'un immeuble(faut dire que c'était pas son premier essai non plus). L'ami Bruce Willis, en compagnie de son alibi politiquement correct, l'"african-american" Samuel Jackson (en colère et caractériel mais démerdard et quand même sympa bien sûr) se tape une chûte de bien 40 mètres du haut d'un pont pour atterrir, un peu secoués, sur la plate-forme d'un cargo. Même pas mal! Ils avaient avant ça survécu à des hordes de tireurs est-allemands, (toujours aussi maladroits ces flingueurs professionnelles), à d'innombrables explosions, des accidents de voiture, etc.... Manquaient plus que les avalanches, les tremblements de terre, la peste noire et les cavaliers de Gengis Khan. Au milieu de tout ça, Jeremy Irons (avec un accent allemant diablement shakespearien) a fait le casse du siècle. Surprise mémorable, c'est aussi, en passant, le frangin du méchant du premier épisode. Vous suivez? Non? C 'est pas grave, vous connaissez pas votre bonheur.
    Incertitudes
    Incertitudes

    169 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2019
    Sorti pendant les attentats dans le métro parisien en 1995, Une journée en enfer est, pour moi, le meilleur des Die Hard. Même si je sais que chacun a son préféré. C'est comme si c'était une longue séquence d'action étirée de la première à la dernière minute sur un film de deux heures et dans les rues de New-York contrairement à l'immeuble de Piège de Cristal. Il n'y a pas la moindre pause si ce n'est pour les engueulades entre McClane et Zeus forcés de collaborer malgré eux. Si McTiernan cède à la facilité en nous ressortant le frère de Gruber venu venger son frangin, la grande nouveauté, c'est l'ajout de Samuel L. Jackson en vendeur râleur qui va se retrouver mêlé à l'histoire à l'insu de son plein gré. Un peu comme McClane finalement. Présent au mauvais endroit au mauvais moment. Si Jeremy Irons campe un méchant un peu maigrichon, le tonus vient de la réalisation pêchue de McTiernan caméra à l'épaule dans les scènes d'action. Suspens, humour, situations invraisemblables, du cinéma d'action dans le haut du panier qui me ferait presque regretter de ne plus être en 1995.
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    92 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2014
    Ce troisième volet des Die Hard est peut-être le plus spectaculaire ; John Mctiernan revient à la réalisation et impose des séquences extrêmement jouissives : celle du début dans Harlem avec la pancarte, celle du métro, ou celle du taxi fou en plein New York...on imagine mal comment une telle scène peut être tournée, avec les complications que ça comporte, c'est vraiment une performance. Bruce fait toujours son brillant numéro en entretenant son image de dur-rigolo, à l'inverse des autres acteurs de sa trempe dans le registre musclé ; ici, il en joue à merveille, mais il n'est plus seul, il forme un duo hilarant et tonique avec Samuel Jackson face à un bad guy intelligent et glacial joué avec brio par Jeremy Irons. Le reste du casting est tout aussi excellent. Les règles sont donc légèrement différentes ici, mais le principe reste le même, je place ce film au même niveau que 58 Minutes pour vivre. Du pur concentré de plaisir.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    91 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2018
    McTiernant encore à l'oeuvre pour une nouvelle journée bien chargée pour le malchanceux John McLane. Cette fois-ci il n'est pas le seul à subir une véritable journée en enfer, accompagné de Samuel Lee Jackson. Film toujours aussi explosif et divertissant, saupoudré de l'humour qui a fait le succès de la saga Die Hard.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 septembre 2013
    Une journée en enfer reste toujours un bon film mais n'a pas si bien vieillit que ca.
    Chucky.
    Chucky.

    14 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2013
    Ce troisième DIE HARD est pour moi le meilleur. Un trio d'acteurs explosif (Bruce Willis, Jérémy Irons et Samuel L. Jackson). Une histoire captivante et un très bon suspence et toujours une bonne dose d'humour.
    NeoLain
    NeoLain

    4 211 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2008
    Le troisième volet de la série Die Hard. De l'action et de l'adrenaline durant 2h, le tout soupoudré par des répliques vouées à devenir cultes.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    250 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 septembre 2012
    Après l’énorme succès des deux premiers volets, il n’y avait aucune raison de ne pas retrouver l’inénarrable inspecteur McClane encore empêtré dans un sacré pétrin. John McTiernan revenait à la réalisation pour ce troisième opus.

    Le film commence très fort, par une des très nombreuses explosions qui jalonneront cet opus. A partir de cet instant jusqu’à l’arrivée à la banque, c’est une heure absolument magistrale qui va se dérouler, suivant Bruce Willis, rejoint très vite Samuel L. Jackson se balader dans New York, devant résoudre des énigmes d’un terroriste taré qui menace de faire tout exploser, tout ceci avec un modèle d’exposition qui ne perd absolument pas son temps et qui envoie tout de suite McClane au casse-pipe, sans même de scène introductive. La mise en scène y est parfaite, le scénario très inventif et les acteurs prodigieux. Le duo principal est génial. En effet, on rencontrera rarement duo mieux assortis que ces deux vieux briscards prêts à tout pour avoir le bon mot, Samuel L. Jackson dominant Bruce Willis sur la première heure avant de laisser au héros le soin de délivrer des one-liners à tomber. Les seconds rôles comme Larry Bryggman, Kevin Chamberlin ou Graham Greene sont au diapason et le rythme y est réglé comme du papier à musique, avec en point d’orgue, une séquence de 12, 13 minutes où nos deux compères doivent arriver en plein Wall Street (pendant laquelle McClane n’hésitera pas à passer dans Central Park en taxi, avec une apparition fugace d’Aasif Mandvi, et utilisera une ambulance comme offensive tackle) pendant l’heure de pointe.

    Et puis l’intrigue se pose, dévoilant sa complexité, un peu décevant évidemment, on aurait adoré passer deux heures à se balader dans New York avec les deux héros, qui ont l’air de s’amuser comme des fous, tout en saignant abondamment comme il en était coutume dans les films de l’époque et en partageant LA scène du film, dans Central Park, une engueulade mémorable sur fond d’énigme logique. Il en reste que la machination écrite par Jonathan Hensleigh est plutôt inattendue et quand même passionnante, tant le rôle du bad guy colle à la peau de Jeremy Irons qui cabotine joyeusement. La notion d’équipe prend ici toute sa pleine mesure, avec notre duo d’excités d’un côté, les policiers de l’autre, qui auront chacun leur moment de gloire (une jolie acrobatie de l’excellent Graham Greene, accompagnée de la non-moins excellente Colleen Camp dans une école, avant que le très drôle Kevin Chamberlin se retrouve face à une bombe à désamorcer). Tout ceci finit par une dernière demi-heure digne des meilleurs films d’actions où la Tag Team Jackson – Willis, éclopée comme jamais, détruit un bateau, un hélicoptère et les plans du bad guy.

    Bien sur, jamais la deuxième heure n’atteint le niveau stratosphérique de la première, qui rentre dans le Panthéon des meilleures introductions du Cinéma, mais ce troisième épisode de Die Hard répond parfaitement aux attentes des spectateurs : de l’action frénétique et efficace, une réalisation aux petits oignons, un script qui fait la part belle aux dialogues fleuris et une interprétation sans faille. Supérieur au deuxième opus, déjà pas mal du tout, Die Hard With A Vengeance surpasse même l’ainé de la saga. Un très grand film qui aurait du signer la fin de la saga.
    JamesDomb
    JamesDomb

    82 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le film est sans aucun doute très efficace. Un des meilleurs films d'action de tous les temps. Mais un petit bémol tout de meme pour la fin que je trouve baclée. Je préfère nettement la fin alternative présente sur le dvd, plus psychologique et plus dans le ton du film. Bruce Willis accompagné de Samuel L. Jackson : rien que pour nos yeux.
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mars 2016
    7 ans après "Piège de cristal", et 5 ans après "58 minutes pour vivre", voici donc le 3ème volet de la saga "Die hard". S’il s’inscrit dans une suite logique, ce nouvel épisode des aventures du lieutenant John McClane se démarque par sa différence avec les deux films précédents : adieu le concept du "se trouver au mauvais endroit au mauvais moment", ce qui a le mérite de renouveler un peu la franchise et d’éviter ainsi une possible redondance. Quoique le concept du "se trouver au mauvais endroit au mauvais moment" pourrait s’appliquer d’une certaine manière à son acolyte improvisé, à savoir Zeus Carver, interprété par un Samuel L. Jackson des grands jours. Leur collaboration commence d’une façon peu commune et qui prête à sourire malgré la gravité de la situation, une situation instaurée par la mise en place d’un jeu qui va finalement occuper une bonne partie du film. L’association de deux hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer amène du fun, un côté plaisant et une certaine originalité, même si on peut noter un léger recul de l’humour par rapport aux deux épisodes précédents. Il n’empêche que John McTiernan parvient à créer du suspense, sur un rythme toujours aussi enlevé. Bruce Willis est encore une fois parfait dans le rôle qui lui convient le mieux, très à l’aise malgré la forte opposition offerte par Jeremy Irons, superbe de maîtrise. Quant aux effets spéciaux, ils sont excellents, et leur première utilisation ne manque pas de surprendre puisque le film nous plonge anonymement dans la foule qui anime le plus innocemment du monde la vie de New York, avant d’être bousculée par une très forte explosion. Pour le spectateur qui ne connaît pas le film, il suivra avec grand intérêt le jeu qui est imposé à la police, avec en première ligne John McClane affublé malgré lui d’un partenaire qui n’a rien demandé. Ce jeu constitue la vraie idée innovante de "Une journée en enfer" qui, en prime, offre des rebondissements assez inattendus, fort bien aménagés par un traitement qui évite toute sensation de déjà-vu.
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