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Grouchy
108 abonnés
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4,0
Publiée le 20 décembre 2009
Je m'attendais à beaucoup mieux, mais j'en suis vraiment satisfait, car un troisième opus de la saga vampirique semblait un lourd défi. Dommage que la durée soit assez courte, mais elles sont bourrés d'action, ce qui le rend plus que bon.
Découvrir les origines d'une saga est bien souvent intéressant et ce n'est pas "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" qui nous dira le contraire. Reprenant les fondements d'un problème qui donnera lieu à de nombreuses suites, cette préquelle lève le voile sur une histoire déjà expliquée en partie qui nous permet tout de même de redécouvrir le personnage de Lucian qui avait animé la rage des Lycans lors du premier opus. Scénario ultra conventionnel qui divertit sans surprendre, le long-métrage de Patrick Tatopoulos est sombre dans l'image mais très peu dans la profondeur où les clichés ne cessent de se mélanger pour nous donner un film à la limite de la série B qui se voit sauver par la renommé de la saga. On y retrouve un casting tout aussi mauvais que dans ses prédécesseurs mené par une Rhona Mitra pitoyable et d'un Michael Sheen qui a du mal à rattraper la performance de sa voisine. Interactions basique dignes de n'importe quelle suite à rallonge, "Underworld 3 : le soulèvement des Lycans" parvient à rehausser le niveau d'une saga à la dérive surtout en comparaison du catastrophique "Underworld 2 - Evolution" grâce à l'usage de décors plus attractifs et de thèmes plus puissants.
Le premier épisode de la trilogie est particulièrement bon, le deuxième est bourré d’incohérences scénaristiques et le troisième essaye de ramasser les morceaux, vu que l’on plonge dans une période troublée par l’amour, la révolte, les trahisons et les sacrifices. Pour dire un mot sur les acteurs, ils sont tous bon, du moins ils sont crédibles par rapport à leurs rôles. La direction artistique, les décors et les effets spéciaux sont honorables, à part peut être pour ces morphings horribles qu’ils s’obstinent à utiliser pour la métamorphose des Lycans. L’énorme faiblesse du métrage, s’avère être pour moi, le scénario. Incohérences, longueurs, banalités… Le film cumule toutes ces fautes qui font de cet essai de Dark Fantasy, une série B légère et sans impact émotionnel sur le spectateur. Mais bon, c’est très beau visuellement et j’adores le look des vampires et des Lycans (première et deuxième génération) ce qui aides à faire passer la pilule.
Troisième épisode de Underworld, celui-ci est un pré-quel au numéro 1. Le scénario est plutôt prévisible et très moyen (surtout si on a vu les premiers, on peut facilement deviner se qu'il va se passer...). Seuls les scènes d'actions et les acteurs "correctes" sauvent (largement) le film de la catastrophe. Si vous avez vu (et aimé) les deux premiers ça serait dommage de s’arrêter là, sinon passez votre chemin (ou regardez le premier ;D )
Loin d’arriver à la cheville des deux précédents numéros, UNDERWORLD LE SOULEVEMENT DES LYCANS revient aux origines et nous permet de découvrir les fondations d’une guerre sanglante. Sombre, juteux d’hémoglobine, combats, le dernier de cette trilogie fonctionne à plein tube. Mais le nouveau réalisateur, Tapopoulos (qui ?) n’a pas le talent de Len Wiseman et l’héroïne principale Rhona Mitra n’a pas la carrure ni le talent d’une Kate Beckinsale. UNDERWORLD 1 et 2 instauraient un nouveau style dans le genre vampires et loups-garous, UNDERWORLD 3 n’est qu’une simple série B efficace certes, mais qui fait pâle figure à côté des deux autres.
Le plus mauvais des 3. Histoire assez nunuche entre le lycan et la vampire, scènes d'actions pas terribles...même l'ambiance (la photo surtout) des anciens opus n'est pas présente. Déçu, l'autre actrice était bcp mieux. Le film frise le ridicule, mais s'en sort part une crédibilité dans le jeu des acteurs plutot rare dans ce genre ce film
L'univers d'Underworld semble avoir trouvé un équilibre en installant son histoire à l'époque médiévale à l'occasion de ce Soulèvement des Lycans, prélude aux premiers films qui se déroulaient à l'époque contemporaine, noyés dans un mauvais goût kitch maladroitement assumé et aux enjeux scénaristiques aussi multiples que confus. La plupart des endives qui servaient d'acteurs ont été remplacés par des comédiens avec un peu plus de charisme, et l'ensemble donne l'impression d'avoir été emballé avec plus de sérieux et de passion, malgré des effets visuels déjà difficilement acceptables l'année de sa sortie. Sans pour autant avoir de réelles surprises à se mettre sous la dent, le film reste sympathique, un peu plus violent et moins bling-bling que ses prédécesseurs, et dont la principale qualité réside dans une l'intrigue épurée qui lui permet d'aller droit au but. Pour une saga qui érigeait la mièvrerie en étendard de coolittude beauf, avoir un film qui se contente de faire le job, c'est déjà pas si mal.
moi j'ai vue le film hier sur paris (alors que j'habite en bourgogne a une heure de la) est j'ai beaucoup aimer le film, sombre, bien écrit, un amour impossible. je le recommande !!!
Souvenez-vous : "Underworld" mélangeait les films de vampires et de loups-garous, et réinventait ainsi le genre. Le succès fut au rendez-vous, ce qui a donné lieu à une suite, aussi réussie que son grand frère. Voici donc le troisième épisode, qui n’est pas une suite, mais un préquel puisque l’histoire se déroule avant les deux premiers épisodes, afin de permettre au public de mieux comprendre le pourquoi de la guerre opposant les vampires aux lycans, alors que les origines ont été par ailleurs évoquées lors de l’entame de la saga. Len Wiseman a laissé la réalisation à son ami Patrick Tatopoulos, qui signe ici son premier long métrage. Un pari risqué ! Risqué ? Noooon, car le nouveau cinéaste n’est en fait pas un nouveau venu dans la franchise, puisque c’est lui qui a créé les créatures du premier film et qui a été le directeur artistique du second volet. Il avait donc toutes les recettes en main, et le fait est que… le résultat est à la hauteur des deux premiers opus. Nous sommes remontés loin dans le temps, à une époque médiévale (entrevue lors des premières images de "Underworld 2 - Evolution"), au temps où on ne circulait encore qu’à cheval et où arbalètes et épées régnaient en maître parmi les armes. Ceci offre un nouvel environnement à ces créatures qui ne peuvent évoluer que la nuit, et quel environnement ! Il est particulièrement bien choisi, avec des passages souterrains, des geôles, des coins et des recoins qu’aucun réverbère ne vient éclairer (et pour cause, puisque les réverbères n’existaient pas en ce temps-là), seulement timidement éclairés par quelques torches ici et là. Les nouveaux décors sont donc bien en phase avec l'atmosphère sombre, glauque et cachée que la saga s'était efforcée de mettre en place. Exit donc Kate Beckinsale et sa tenue gothiquement sexy, et bienvenue à Rhona Mitra pour interpréter Sonya, la fameuse fille de Viktor, elle aussi évoquée dans les épisodes précédents. Il est vrai qu’on peut s’interroger sur l’utilité de revenir au commencement de cette guerre, mais comme le précise justement l’internaute Guillaume M., ça a le mérite de donner du sens aux deux premiers épisodes (ainsi qu’aux numéros suivants éventuels) et de les crédibiliser. Et puis surtout, revenir aux origines permet de prendre un virage à 180°, pour montrer les vampires sous leur plus mauvais jour et, du même coup, de légitimer le combat des lycans. Tout le contraire des épisodes précédents, en fait. L’histoire n’en est rendue que plus intéressante, et permet à la saga de rebondir efficacement grâce aussi, il faut le dire, à la bonne interprétation de l’ensemble des acteurs : Bill Nighy toujours aussi froid, implacable, et dénué d’état d’âme ; Michael Sheen, visiblement plus inspiré que jamais dans son rôle, Lucian, pris dans les tourments de l’amour et de la révolte. On peut cependant déplorer qu’une grande partie du suspense soit tué dans l’œuf puisqu’on sait dès le début qui va s’en tirer ou pas.
3ème volet ou plutôt prequel des 2 premiers, ce "Rise off the Lycans" est surtout le premier film de Patrick Tatopoulos comme réalisateur. Si ce dernier n'a plus à faire ses preuves quand il s'agit de concevoir des monstres on ne peut pas dire la même chose sur ses talents de réalisateur car il faut bien le dire c'est très mal filmé et même la production design semble parfois sortir de Beowulf ( celui de Christophe Lambert). Et pourtant le tout est terriblement divertissant, d'un côté un film avec des vampires et des loups-garous qui se mettent sur la gueule c'est forcément sympa à regarder même si c'est mal filmé et puis Martin Sheen ( pas le père de Charlie l'autre celui qui est Anglais) et Bill Nighty sont excellents et retrouve leurs rôles du premier avec un grand plaisir.
Préquel plutôt inutile, puisque l'histoire de Sonia et Lucian est racontée dans le premier volet, le scénario ne présente donc aucune surprise. Mais bizarrement l'histoire est quand même plus intéressante que dans les deux premiers, car la romance est touchante sans être guimauve et le charisme de Michael Sheen nous fait vite oublier qu'une dénommée Sélène existe. Par contre, Rhona Mitra déçoit, il est clair qu'elle a été choisie pour sa plastique et non pour son charisme et ses talents d'actrice. L'ambiance est toujours aussi morose, est-ce trop demandé d'avoir un peu de couleurs ??