Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Serge Toubiana
Pas un cinéaste américain, aujourd’hui, ne filme comme Eastwood, avec un telle intensité et une telle attention le moindre souffle, la moindre vibration chez les personnages. Cahiers du cinéma 494, septembre 95.
Le Figaro
par Claude Baignères
[Clint Eastwood] est à la fois solide et délicieux, autoritaire et fragile. Il a concocté là un petit chef d’œuvre sur deux notes sentimentales qui engendrent toute une symphonie pastorale et pathétique. Le Figaro, 7 septembre 95.
Positif
par Jean-Pierre Coursodon
La mise en scène (…) sait admirablement prendre son temps [et] entre Streep et Eastwood, le courant, incontestablement, passe, au point qu’on imagine mal qui d’autre aurait pu prendre leur place. Positif 415, septembre 95.
La Croix
par Philippe Royer
Habitué à s’emparer d’un genre (…), Clint Eastwood a épaissi la psychologie des deux personnages, injecté infiniment de tendresse et de sensualité dans toutes les scènes amoureuses. La Croix, 6 septembre 95.
Télérama
par Isabelle Danel
Cette « Route de Madison » est un passionnant jalon dans l’œuvre d’Eastwood. Télérama, 6 septembre 95.
Cahiers du Cinéma
Pas un cinéaste américain, aujourd’hui, ne filme comme Eastwood, avec un telle intensité et une telle attention le moindre souffle, la moindre vibration chez les personnages. Cahiers du cinéma 494, septembre 95.
Le Figaro
[Clint Eastwood] est à la fois solide et délicieux, autoritaire et fragile. Il a concocté là un petit chef d’œuvre sur deux notes sentimentales qui engendrent toute une symphonie pastorale et pathétique. Le Figaro, 7 septembre 95.
Positif
La mise en scène (…) sait admirablement prendre son temps [et] entre Streep et Eastwood, le courant, incontestablement, passe, au point qu’on imagine mal qui d’autre aurait pu prendre leur place. Positif 415, septembre 95.
La Croix
Habitué à s’emparer d’un genre (…), Clint Eastwood a épaissi la psychologie des deux personnages, injecté infiniment de tendresse et de sensualité dans toutes les scènes amoureuses. La Croix, 6 septembre 95.
Télérama
Cette « Route de Madison » est un passionnant jalon dans l’œuvre d’Eastwood. Télérama, 6 septembre 95.