Avis : Mr. Nobody - Page 5

Attention voilà pour moi la première arnaque de l'année ! Et ça commence fort. Sans doute le film le plus creux que j'ai vu depuis longtemps. Un calvaire ! Prenez une bande-annonce alléchante, un beau casting international (Jared Leto, Diane Kruger, Sarah Polley, Linh-dan Pham...), de belles images, une bande-son hétéroclite et la bonne réputation d'un metteur en scène belge, mélangez bien le tout et vous obtenez : rien ! Long, pompeux, prétentieux, vide. Des scènes qui se suivent sans aucune logique, une beauté visuelle qui ne suffit pas à cacher le néant, pas de poésie, pas d'émotion, des acteurs qui rament un max, un ennui ennuyeux ! On dirait du sous Richard Kelly en encore plus mauvais. Bref j'ai regardé ma montre toutes les dix minutes et failli partir toute les quinze en pensant que cela allait venir. Mais rien n'est venu...Et dire que l'affiche nous vend ça comme un chef d'oeuvre ! Au secours !!! Vive la carte UGC Illimitée !!!

Sous ses airs de comédie fantastique un peu absurde, ce film amène une réflexion profonde, voire carrément métaphysique! Très bon casting, bon choix musical. Réalisation sans faute pour un film complétement fou qui nous fait tourner en bourrique du début à la fin, et c'est là tout l'intérêt.

Mr Nobody est un très beau film à voir , surtout si vous êtes bien connectés à vous-mêmes et que le film vous submerge de sensations volubiles, éparses.... car nous avons tous le choix. Est-ce juste? Faux? Passable? Inéluctable? Et si nous avions choisi l'inverse radical? Le genre de film où il faut se laisser porter, simplement et humblement. 4/5

Bon ben je viens de stopper à 30min après le début du film. Franchement chapeau à ceux qui ont tenu plus longtemps !! Malheur quel ennui...

Un scénario complexe, intéressant et entrainant. La réalisation et la mise en scène sont maitrisées mais il m'a fallut resté très concentré pour ne pas m'y perdre. Je m'attendais à une fin plus inattendue et impressionnante, dommage. 11/20

Du grand n'importe quoi ! Autant ''Toto le héros'' m'avait enthousiasmé, autant celui-ci est insupportable par cette masse d'images qui déferlent sans ordre logique. Usant. Au passage, j'ai noté de nettes références à Kubrick, à Brazil de Gillian et un comble (!!!) à Toto le héros tout simplement... Bref, 2 heures de réchauffé bien indigeste.

Ma critique ne va pas etre forcément pertinente vu que les émotions sont subjectives mais du coup perso j'ai ressenti tellement d'émotions fortes dans ce film.. Il m'a transporté... Un grand kiff.

Une aventure désolente , avec de très bons acteurs .

Film à la forme trop léchée, au montage épileptique agaçant, digne de clips publicitaires, à plusieurs reprises kitch et pompeux. Y a des idées, mais l'exercice de style de Van Doarmel gâche complètement le film et témoigne de son incapacité à maitriser l'oeuvre au profit d'une débauche d'images entre lyrisme métaphysique, philosophie optimiste et pathos à tout va... Les rares bonnes idées restent dans la confrontation des diffèrentes vies du personnage, qui brouillent les pistes afin de ne plus savoir exactement quelle est sa vie vraiment vécue... Jusqu'à l'explication finale, qui frise malheureusement le ridicule... Van Doarmel, trop ambitieux réalise un film long, beaucoup trop long, par moments ennuyant, les histoires d'amour de jeunes c'est du déjà vu, quelques clichés gentillets et un pseudo cadre anticipatif, où les hommes sont immortels... Mais tout ça n'est pas réel, rien n'existe, encore moins le talent...

Film d'un ennui absolu!! ne perdez pas votre temps à moins que vous cherchiez à attraper une migraine

Une histoire très psychologique: sur la mort, les amours, le premier baiser, l'existence de la vie et ses mystères, le monde... Une oeuvre de toute beauté: une mise en scène extraordinaire nourrie d'images magnifiques, un casting et une BO impeccables.

Un film complètement débile qui essaye tant bien que mal de faire passer les pires platitudes pour des sommets de la philosophie ; à grands renforts de "chaque choix que nous faisons change notre destin" (propos illustré avec goût et légèreté par des images récurrentes d'aiguillages de rails ferroviaires) Nemo Nobody, à 118 ans, tente de reconstituer le fil de sa vie. S'ensuit un empilement de situations d'une incohérence exceptionnelle - mais bon, c'est le but, donc pourquoi pas : si la fin rattrapait le tout au lieu de s'en sortir par une pirouette après un rebondissement donniedarkien ça pourrait presque passer, rétrospectivement. Au milieu de cette grosse ratatouille, quelques scènes oniriques/surréalistes avec une esthétique de pub 50's pour la petite dose d'images poétiques et joliment photographiées, et l'affaire est dans le sac. Côté acteurs, Sarah Polley et Diane Kruger donnent vraiment envie de pleurer, Jared Leto s'en sort bien mais les acteurs qui le jouent jeune sont absolument pitoyables. Et sa version centenaire c'est un peu Benjamin Button qui se serait mangé une porte (bravo les maquilleurs et les FX). Seule Natasha Little, la mère de Nobody, est vraiment bien.
En gros, à ranger à côté de The Fountain au rang des désastres qui tentent de masquer le néant absolu de leur scénario par des poses pseudo-intellectuelles et une photo soignée (encore que l'image de Mr Nobody soit loin d'être aussi vilaine que celle de The Fountain, bien sûr).

En une phrase que m'a appris ce film et qui me sauve la vie tous les jours ? Quelque soit les chemins que l'on emprunte, ils sont tous bon, cela dépend juste de nos objectifs dans la vie. Ce film est la définition de la Tolérance, il me l'a appris de A jusqu'à Z.

Euh ouais, voilà lfilm quoi!!! Le truc mais trooop nul qui part dans tous les sens...

Mais pourquoi je suis allé voir ce film ?
Pourquoi ???!! Mal de tête pendant deux jours, je me suis presque endormi pendant la séance. Alors je ne dis pas que le sujet n’est pas intéressant, au contraire. Mais il a déjà été traité par d’autres et de bien meilleures façons. Ca finit par ne plus trop tenir la route, on ne voit pas vraiment à quoi servent certains passages, bref si y’a bien un film pour lequel j’étais sur le point de quitter la séance, c’est bien celui là.

C’est devenu une blague entre nous d’ailleurs. Genre, un niveau d’incompréhension et d’ennui à ne pas dépasser, « fais gaffe, tu nobodises ! ».

Une petite demi étoile pour le thème qui me plait toujours …