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Un visiteur
4,0
Publiée le 15 mars 2008
Film agéable à regarder avec deux très bon (et très beaux) acteurs. On se plait à voir Antonio Banderas dévaster tout autour de lui mais on a un scenario qui n'a pas grand interêt,ce qui est bien dommage
Assez décevant même si l'on sent la patte de Quentin Tarentino. L'histoire n'est pas très captivante et l'ennui s'installe par moment. Dommage... Même si Antonio Banderas est comme d'habitude brillant...
Premier film marquant de Robert Rodriguez, Desperado lancera véritablement sa carrière et établira un peu sa patte artistique avec notamment un second degré assumé à fond. Desperado bénéficie d’une superbe ambiance à la mexicaine, le soleil tape et on y croise un festival de gueules dont l’inénarrable Danny Trejo. Sur un scénario des plus simple, une histoire de vengeance, Rodriguez nous emmène valser entre les balles à la faveur de gunfights déjantés et improbables incessants et hyper stylisés. C’est sanglant, amusant, les comédiens s’éclatent et on découvre quasiment la magnifique Salma Hayek, tandis que Antonio Banderas, badass et class au possible aligne les cadavres sans coup férir. C’est ça le cinéma de Rodriguez qu’on aime et même si Desperado n’est pas parfait on passe un bien bon moment devant avec notamment un massacre final assez jouissif. Indémodable.
Faut aimer l'hémoglobine ! Et ce n'est pas mon truc. Alors les fusillades en veux-tu en voilà, les méchants qui tombent comme des mouches, les collections d'armes à feu et d'armes blanches, je les vois défiler sans y prêter attention. Desperado en offre un impressionnant inventaire, du coup je me suis ennuyé. Le semblant de relation amoureuse entre El Mariachi (Antonio Banderas) et Carolina (Salma Hayek), ne parvient pas à remonter le niveau. Bref, à moins d'avoir une passion pour le sang, autant passer son chemin.
Un bon film des annees 90 comme on les aime qui porte la touche personelle de Robert Rodriguez. Pas besoin d'explication ou de scenario complique, juste une ambiance particuliere embaumee par le charme de Salma Hayek at Antonio Banderas. Bon film.
Bon film d'action à l'ancienne avec un brin d'humour et des personnages qui portent chacun une histoire. Certaines prises de vues sont bien sympas, autant que les fusillades, même s'il y a de nombreux aspects peu réalistes. Mais on s'en moque car on passe un bon moment malgré tout.
Sortie en 1995, cette suite de "El Mariachi", une nouvelle fois réalisée par Robert Rodriguez mais avec un budget beaucoup plus conséquent, n'est pas mal mais sans plus. J'en suis effectivement un peu déçu car je m'attendais à quelque-chose de plus qualitatif que le premier, étant donné que le réalisateur dispose cette fois d'un budget très correct (en passant de 7 000 dollars à 7 millions), mais je préfère finalement le premier. Et bien oui, nous retrouvons le personnage principal dans sa quête de vengeance mais l'effet de surprise n'est plus là et j'ai plus eu ici l'impression de voir un remake plutôt qu'une suite. Tout d'abord, l'acteur principal n'est pas le même, c'est ici Antonio Banderas qui rempile et qui joue par ailleurs très bien. Notons également la présence de Selma Hayek, Danny Trejo, Quentin Tarantino, Joaquim de Almeida qui jouent également très bien. Mais l'histoire n'a malheureusement que très peu d'intérêt. On a l'impression que le réalisateur recycle un peu son premier film avec un personnage certes plus sûr de lui, mais toujours dans les mêmes galères et situations. On retrouve également le personnage féminin fort et attachant mais qui ne change pas vraiment du premier film, dans l'écriture du moins. Ensuite, les scènes d'action sont très réussies, mais malheureusement que trop peu présentes dans un film comme celui-ci. On y retrouve la violence décomplexée du premier mais le réalisateur ne pousse pas assez loin le délire, lui qui est pourtant connu pour faire des films vraiment barrés. En revanche, on sent que le réalisateur est plus sûr de lui quant à sa mise en scène (il n'abuse plus des gros plans comme dans son précédent long-métrage par exemple), on sent également les gros moyens derrières, et puis la photographie est évidemment bien meilleure que dans le premier film. "Desperado" est donc un film assez agréable à suivre mais qui ne m'aura pas autant marqué que le premier !
Reposant sur un synopsis très simple de vengeance, un film d'action délirant et décalé, pas très fin dans son approche mais dont la grandiloquence en fait une oeuvre remarquable. Ma huitième incursion dans la filmographie éclectique et inégale de Robert Rodriguez qui semble indéniablement plus à l'aise sur des productions plus confidentielles comme "Une nuit en enfer" ou "Planète terreur" que des sur des blockbusters à l'image du bancal "Alita, battle angel". Un casting composé des gueules habituelles du réalisateur de Danny Trejo à Salma Hayek sans oublier Cheech Marin ou encore le toujours excellent Steve Buscemi. Au delà de cette distribution clinquante, un long-métrage assez quelconque, pur produit du cinéma d'action des années 90, des scènes de fusillades efficaces mais qui ont terriblement vieilli, un antagoniste totalement et volontairement oubliable mais un ensemble sauvé tout de même par un humour réussi et sympa; Du divertissement au sens le plus strict du terme.
Robert Rodriguez embellît son ouvrage avec Salma Hayek, le rendant même drôle avec Steve Bescumi et le temps d’un coucou amical du pote Tarantino, mais comme Il y a plus de fusillades dans « Desperado » que de lignes dans son scénario, la limite est très vite atteinte.
Imaginé comme une suite d’El Mariachi (1992) du même Robert Rodriguez mais avec un budget 1000 fois plus important (!), Desperado nous fait suivre la quête de vengeance d’un homme très habile de la gâchette (Antonio Banderas dans un rôle que lui ouvra les portes du cinéma d’action) dont on a assassiné la petite amie. Multipliant les scènes de fusillades tragicomiques et outrancières, dans la veine du cinéma d’un Quentin Tarantino, qui interprète ici un petit rôle, Desperado impose un style qui lui est propre, et qui fera les belles heures d’un certain cinéma américain des années 90 et 2000. Toujours aussi jouissif.