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    Two Lovers
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    910 critiques spectateurs

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    Incertitudes
    Incertitudes

    169 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 août 2020
    New-York. Dans une atmosphère crépusculaire proche de celle de La Nuit nous appartient, un trentenaire vivant encore chez ses parents se remet d'une séparation douloureuse. Comme il a de la chance, il a rapidement le choix entre deux femmes : la facilité ou l'inaccessible. Comme l'être humain aime se faire du mal, il va longtemps courir après la seconde. Ce sera la seule à qui il va avouer ses sentiments. Il sait qu'il ne pourra pas l'avoir et c'est peut-être ça qui va l'exciter. Elle ne lui tombe pas dans les bras. Elle est malade. Elle est amoureuse de son patron. C'est ça qui va l'obséder. Il est incapable de voir qu'il a une autre femme toute aussi belle près de lui. Elle l'adule. Peut-être qu'il n'y a pour lui aucun défi à la conquérir ? C'est sidérant de le voir se faire à ce point du mal pour une fille aussi instable. Et pourtant, il y va. Il est prêt à tout sacrifier. Quelque part, j'en viens à le comprendre. Sa relation avec Sandra, la fille de l'associé de son père, est artificielle. Ce sont les parents de Leonard, légèrement envahissants, qui ont arrangé leur rencontre. Il n'y a aucune surprise. Aucune aspérité chez elle. Elle est fan de La Mélodie du bonheur. Mais c'est une femme avec qui on peut se poser et, comme elle est toute gentille, elle ne donne pas envie qu'on la fasse souffrir. En retour, par sa douceur, elle pourra sûrement l'apaiser. Je le considère comme assez chanceux finalement.
    Stéphane D
    Stéphane D

    92 abonnés 2 021 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 août 2023
    C'est assez rare d'avoir une histoire romantique qui ne soit pas cousue de fil blanc. Ici les personnages sont physiquement beaux mais fragiles psychologiquement et tout peut arriver. Simple en apparence mais on est tenu en haleine.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 août 2022
    Du grand James Gray au mieux de son talent. Un mélo dynamique dont l'histoire banale – un homme aime deux femmes, original non? – est transcendée par son style, son rythme et surtout son humanité, superbement exprimée par Joaquin Phœnix, un des meilleurs acteurs américains, et par Gwyneth Paltrow, émouvante de fragilité. Un film beau et sombre sur le cœur humain et aussi un juste regard sur la société juive de New York, aussi finement observée que par un Woody Allen.
    Dora M.
    Dora M.

    45 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2022
    Leonard (Joaquin Phoenix) souffre de troubles bipolaires, il ne parvient pas à se remettre d’une rupture. Il fait la connaissance de deux jeunes femmes à la même période : Sandra (Vinessa Shaw), fille d’amis de ses parents, et Michelle (Gwyneth Paltrow), sa voisine, paumée, en couple avec un homme marié. Évidemment il est plus attiré par Michelle mais celle-ci n’est pas fiable, elle ne lui apporte aucune stabilité, contrairement à Sandra.
    L’histoire est assez prenante, même si un peu répétitive. Les personnages sont bien creusés et cohérents dans leurs actes. Les sentiments de Leonard sont bien retranscrits (le fait qu’il soit partagé entre ces deux femmes que tout oppose). Il y a quelques facilités pour s’arranger avec le scénario mais cela ne m’a pas gênée.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 353 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2020
    Two Lovers l'un des films les plus prétentieux et le plus mal écrit que j'ai vu récemment. Nous comprenons dès le début que le personnage de Phoenix est déprimé et tente de se suicider. Puis pendant toute la durée du film il essaie d'agir normalement essayant de choisir entre une brune chaude qu'il n'aime pas (mais ça ne le dérange pas de la frapper) et une blonde chaude en fait il doit être est fou. On ne sait jamais quelles sont les raisons de son état et on ne sait rien d'intéressant sur lui ou ses deux amants. Pour le film qui essaie d'être un drame psychologique sérieux il est assez superficiel et souscrit. Et les allusions à Dostoïevski qui sont lâchées par le réalisateur James Gray a plusieurs reprises ici au Conseil d'administration ne sont qu'une tentative d'apporter du poids et du bagage culturel à un scénario autrement mauvais et vaporeux...
    Eselce
    Eselce

    1 196 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 septembre 2015
    Je n'ai pas accroché à l'ambiance très sombre et mélancolique du film. Le personnage principal m'a paru être une loque hypocrite. Les personnages ne sont pas très malins et l'histoire très moyenne. Les trois personnages sont baladés les uns par les autres. Ce n'est vraiment pas agréable à regarder. Pas ennuyeux, mais à la limite de la déprime.
    Redzing
    Redzing

    908 abonnés 4 287 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2015
    Un trentenaire célibataire, solitaire, et dépressif vit chez ses parents, qui lui présentent une jeune femme intéressée par lui, et qu'il apprécie. Sauf qu'il rencontre au même moment sa nouvelle voisine, femme exubérante en liaison avec un homme marié, et dont il tombe fou amoureux. Sur le papier, "Two Lovers" tient du drame bas-de-gamme, comme le cinéma français en produit tout un tas chaque année. C'est sans compter le traitement de James Gray, dont la mise en scène est très soignée. Outre la qualité de l'image, on apprécie l'ambiance hivernale qui s'accorde avec le renferment du personnage principal. Celui-ci est interprété par un Joaquin Phoenix poignant en homme écrasé par ses parents bienveillants, et n'affichant pas ses sentiments au grand jour. Face à lui, deux actrices de talents, Gwyneth Paltrow et Vinessa Shaw, qui, bien que diamétralement opposées, évitent la caricature. Ainsi, "Two Lovers" montre que Gray n'est pas seulement à l'aise dans le polar.
    Alain D.
    Alain D.

    490 abonnés 3 201 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    " Two Lovers " : une réalisation de James Gray qui nous livre une comédie dramatique riche en émotions, une belle photographie, une mise en scène soignée et un casting brillant. Si Gwyneth Paltrow se montre très juste dans un rôle pourtant délicat, l'excellent Joaquin Phoenix se révèle lui aussi tout a fait convaincant dans un joli personnage à multiples facettes.
    le scénario romantique a priori classique d'un trio amoureux, nous offre en fait le drame sentimental et très fort d'un duo de personnages torturés par leur passé.
    Fabien S.
    Fabien S.

    452 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 août 2022
    Un très bon film de James Gray où Joaquin Phoenix joue un triangle amoureux avec Gwyneth Paltrow et Vinessa Shaw.
    pierrre s.
    pierrre s.

    348 abonnés 3 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    Bien réalisé et remarquablement interprété, le film de James Gray reste tout de même dans les standards du genre romantique.
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2008
    Dans le jardin des Grands réalisateur James Gray a pris place depuis des années, 3 films à son actif et 3 chefs d'oeuvre. Unité de genre (le polar), unité de traitement (une des ses qualités), unité de sujet (la famille et son cocon). Alors que penser lorsque Monsieur Gray "s'occupe" d'un film romantique. Et bien il conserve ses 4 étoiles acquisent sur We own night. Il sublime alors ce genre devenu désuet depuis des années. Nous ne sommes plus dans un acte de mise en scène mais de peinture et de cadres de son histoire. Tout est métaphore et vérité. Chaque emplacement, chaque discussion, chaque regard est ici car Gray en a décidé ainsi. La dualité des 2 femmes (2 choix) est toujours soutenu par une opposition (en extérieur/intérieur; le froid/le chaud) on est alors surpris par la simplicité de surface opposé à une deuxième lecture d'une profondeur et d'une justesse immense. C'est magistral. Le travail d'un réalisateur est rarement autant posé que sur les films de Gray est c'est avec ce (polar tout de même) romantique qu'il nous jette en pleine figure son travail méticuleux. Comme souvent le casting (étonnant d'un côté: Palthrow, justifié de l'autre Phoenix) est en sublime mesure avec ce qu'étaient les personnages sur le papier. Phoenix brille de lui même incandescent par le souffle que Gray lui porte. On assiste donc à un merveilleux film, doux, subtil, parlant, juste qui en cette fin d'année clos quelque chose de presque intouchable: le retour du film romantique. Les codes ne sont pas ceux habituellement posés par le genre, seul ceux qui n'ouvriraient pas les yeux passeraient à côté de ce petit joyau; au risque de rester sur le chemin banalisé des studios vendeurs d'émotions.
    CH1218
    CH1218

    151 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 octobre 2022
    James Gray dissimule le ton globalement soporifique de « Two Lovers » par les qualités de sa mise en scène mais cela ne suffit pas, le fossé qui le sépare d’un très bon film, comme l’est assurément « La Nuit nous appartient », reste beaucoup trop important.
    Stanley-le-begue
    Stanley-le-begue

    42 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2009
    Beau film d'amour pas banal. Le mérite de James Gray et de Joaquin Phenix est d'avoir composé ce personnage bancal, maladroit, un peu dérangé, et de l'avoir inclus dans un monde où il devrait ne pas avoir sa place. Cet homme, avec ses faiblesses, son immaturité touchante, vieillit d'un coup, à la fin du film, lorsqu'il apprend cette mauvaise nouvelle. Et James Gray a illustré la cruauté des sentiments. Pertinent.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    69 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2022
    Quatrième long-métrage de James Gray, Two lovers nous plonge au cœur d’un triangle amoureux porté par Joaquin Phoenix, Gwyneth Paltrow et Vinessa Shaw. Passé un défaut d’écriture originel – le film imagine quand même un quarantenaire dépressif, aux goûts vestimentaires discutables, vivant dans une chambre d’ado chez ses parents, qui attire sans effort majeur des femmes somptueuses – cette romance est une plongée émouvante et documentée dans l’univers d’une famille juive new-yorkaise qui fourmille de détails. Superbement mis en scène, magnifiquement mis en lumière, il nous offre un final somptueux digne des plus grands drames sentimentaux où le hasard joue un rôle considérable sur le destin des hommes et des femmes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    Pour son quatrième long-métrage, James Gray s'éloigne de l'univers du gangstérisme, garde une troisième fois Joaquin Phoenix et s'illustre lumineusement dans cette romance noire et à fleur de peau en nous plongeant toujours aussi bien dans les arcanes de New York.
    "Two lovers", c'est l'histoire d'un trentenaire rongé par la raison (épouser la fille du racheteur de l'entreprise familiale) et son instinct (partir et fonder un foyer avec une voisine de pallier)... .
    Les personnages sont aussi bien esquissés que dans "The yards". Et justement, le scénario, bien que limpide, reste à hauteur de nos yeux sans prendre la consistance de ce deuxième volet sur la Famille. Mauvais point Gray.
    Il y a aussi la part de la musique qui ici ne vole pas haut. Elle ne nous ébranle pas, reste sur son piédestal sans jamais gagner en intensité. Vraiment dommage pour l'équipe Kilar-Sano qui avait mitonné du très bon sur "La nuit nous appartient".
    Pour se rattraper, maître Gray nous impose Joaquin Phoenix dans le rôle du trentenaire habitant encore chez ses parents. Encore une fois, c'est une partition plus que parfaite et Joaquin fait le liant entre les deux femmes qu'il aime de manière si élégante et charnelle qu'il rend la noirceur de Gray au diapason. Surprenant, élégant, classe, énigmatique, Phoenix écrase ses partenaires pour capter l'essence que le peintre new-yorkais décrit, son histoire (la sienne et celle de Phoenix, énigmatiques toutes les deux). Au diapason, Joaquin explore toutes les facettes de son talent et prouve, de par un charisme évident, qu'il apparaît ici comme une gueule du cinéma contemporain. Avec "Two lovers", Gray termine le travail entamé avec Joaquin depuis "The yards". En cela, je peux dire que l'acteur de "8MM" est l'équivalent de Roth sur "Little Odessa" de par ses trois collaborations complètes avec le metteur en scène. Ici, je comparerai volontiers le Commodus de "Gladiator" avec Stamp de "Théorème" ou avec Delon de "La piscine". Rien que ça !!
    A ses côtés, on retrouve Gwyneth Paltrow (en 1999, elle est auréolé de l'Oscar de la meilleure actrice pour "Shakespeare in love", 3 ans après "Seven") dans le rôle de la voisine blessée par la vie. Comme à l'accoutumée, elle nous sert une composition qui sonne énormément juste. Et l'on ne peut qu'adorer (!), surtout avec le duo qu'elle forme avec l'immense Phoenix. Avec aussi la très belle Vinessa Shaw (c'est elle qui charme Tom Cruise dans "Eyes wide shut" !), campant la fille à papa, qui tente de se faire une place dans ce trio (Phoenix-Paltrow-Shaw). Je ne nommerai qu'un autre membre du casting : Isabella Rossellini ("Blue velvet", "Nos funérailles", "Poulet aux prunes"...). La fille de Roberto et d'Ingrid Bergman, qui joue la mère de Joaquin Phoenix dans le film, reste d'une onctueuse délicatesse dans toutes les apparitions qu'elle réalise. Elle incarne ainsi le second couteau par excellence de "Two lovers". Classe !, Isabella.
    Pour parler esthétique, c'est toujours du très bon : l'équipe de "La nuit nous a appartient" est au complet (Clancy, Baca-Asay, Axelrad). L'atmosphère rendue (des lumières, du montage...) en est d'autant plus poisseuse. Douglas Aibel, directeur de casting, revient faire un tour dans l'univers sombre de Gray depuis leur rencontre sur "Little Odessa".
    Quant à la mise en scène, on oscille entre polar (par le travail radiographique du peintre Gray) et drame humain (pour une interprétation réaliste de Joaquin Phoenix). On assiste finalement à une romance à laquelle James Gray appose sa patte. Et son talent : la classe européenne. Car on retrouve de la candeur (à la française : Delon). Du mystère (à la Hitchcock). De la fragilité (à la Pasolini). De la paranoïa (à la Fritz Lang). Du voyeurisme (à la Brian De Palma). Le tout, mélangé à la sauce Gray. Du grand art par un peintre hors norme : maître James Gray.
    Pourquoi j'ai moyennement aimé "Two lovers" ? Par ce rythme lent et languissant au possible. Et l'inactivité de Gray à nous faire franchement décoller de notre fauteuil. Oui, j'en ressors déçu, et ce malgré l'excellente qualité esthétique et technique du métrage. D'où ma note : 1 étoile sur 4.
    Spectateurs, n'en abusez... Pa(l)tro(w) !
    PS : c'est grâce à "Two lovers", film sélectionné dans la liste des vingt trois à Cannes en 2008 (et qui ne reçu, pour changer, aucune récompense) que l'artiste Gray se fit connaître du public. La presse avait seulement pointé son nez en présence de "Little Odessa" en 1995. Piètre dédommagement !
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