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    Le Ruban blanc
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    3,6
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    488 critiques spectateurs

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    Eselce
    Eselce

    1 196 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    Film en noir et blanc pour marquer la période des années 1910. La narration appuie davantage la période et ici, il se passe des accidents dignes de vengeances enfantines faisant suite aux punitions parentales. C'est un peu lent mais l'époque est impeccablement reproduite et il y a une atmosphère lourde, pesante ressentie à travers les enfants. De même, il n'y a pas de musique d'ambiance pour une meilleure immersion à la vie du village. Mais la vie est morose, pesante et l'accroche est difficile à maintenir jusqu'au bout tant le film manque d'intensité.
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 328 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2009
    Dans les méandres des esprits humains enfantins, formatés par des
    esprits adultes encore plus dangereux, Michael Haneke offre une vision
    glaciale de l'enfance qui se voit en Dieu rédempteur. Ces enfants
    deviendront des électeurs irrresponsables, mais c'est finalement une
    toute autre histoire... Dommage que le Ruban Blanc soit inaccessible sans une bonne grille de lecture.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2009
    Le ruban blanc est doté d'une rare puissance d'évocation. Haneke veut décrypter les mécanismes de la violence humaine à travers les défauts d'une société perverse dont la morale pervertit l'homme. Il nous montre que la famille (les pères) injecte le venin malsain aux enfants. Le ruban blanc évite le piège d'un pathos exagéré, ni celui de la reconstitution historique. Il montre les familles d'un petit village avec leurs secrets d'alcôves et perversions. Il ressort de ce film une impression de contamination générale du malsain, tout le monde est touché sauf l'innocence châtiée de l'enfant trisomique dont les cris de douleur ne se laisseront pas facilement oubliés et celle du jeune couple. Un climat de terreur sourde et fantastique emplit ce film comme dans Le village de damnés avec tous ces enfants à têtes blondes pas si innocents (d'ailleurs nous les voyons voyeurs de scènes terribles dans ce village). Le ruban blanc est serti de réelles qualités de mise en scène telle une superbe photographie en noir et blanc qui renvoie à Dreyer, une impeccable gestion des plans où la jeune fille du pasteur punie est filmée de dos, l'enfant de loin retrouvant son père où insupportables mais géniaux plans hors champ des tortures humaines. Haneke rejette le gros plan au profit d'un impressionnisme dérangeant. Tous l'interprétation est excellente.
    selenie
    selenie

    5 416 abonnés 6 011 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2010
    Quel film ! Impressionnant de maitrise dans une mise en scène méticuleuse dont l'apparent académisme est en fait la grande réussite du film en collant parfaitement à la rigueur stricte de l'environnement. Le NB est d'une beauté à la fois immaculé et macabre. Les acteurs sont tous superbes de justesse et notamment les enfants... Mais malgré un certain génie je trouve que ce film n'est pas le choc tant attendu et entendu ; les crimes sont terribles mais si odieux comparés à ce qu'on aurait pu imaginer et surtout la dénonciation des prémisses du mal sont très très flous. De plus une bonne partie du film voit des drames dans une famille qui n'a en fait rien à voir avec l'intrigue principal... Pourquoi alors en rajouter ?! Surtout aussi tôt dans le film alors qu'il aurait été plus compréhensible après le discours du baron à l'église ?! Cependant il est indéniable que Haneke est un des grands réalisateurs actuels et que son film ne peut laisser insensible.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 138 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juillet 2010
    Certes, on ne pourra nier qu'il y a dans ce "Ruban blanc" quelque chose. Première évidence : Haneke sait capter le malaise et le réfrènement qui habitent les personnages. Oui, c'est vrai aussi, on perçoit pleinement comment ces mœurs, pourtant d'usage à ces temps et en ces lieux, recèlent malgré tout quelque chose de profondément malsain. Enfin, on ne pourrait nier l'existence de certains moments remarquablement mis en scène et qui nous subjuguent parfois durablement. Malgré tout, que de longueurs pour ce film qui finalement n'avance pas ! 2h30 pour en fin de compte n'explorer que partiellement la galerie de personnages qui nous est proposée ! De plus l'intrigue ne daigne jamais vraiment s'emballer ce qui peu laisser perplexe. Quelle drôle de mode que ces "films-instants" qui disent tout lors de leur premier tiers et qui se contentent par la suite de subsister au travers d'un simple état de stase durant lequel il ne se passe pas grand chose. En fin de compte, loin d'atteindre la pertinence ou l'audace des précédentes œuvres de cet auteur, ce "Ruban blanc" n'est finalement qu'un film qui se contente de reprendre les modes formelles du moment sans y apporter la moindre originalité si ce n'est son cadre atypique. Pas totalement déplaisant donc, mais rien de transcendant non plus pour ce qui a pourtant reçu la Palme de 2009...
    ffred
    ffred

    1 490 abonnés 3 966 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 novembre 2009
    Voici donc la Palme d'or de cette année à Cannes. Controversée à l'annonce du palmarès : copinage de la part d'Isabelle Huppert présidente du jury ? Chauvinisme des français qui voulaient voir Un prophète couronné finalement Grand Prix ?... Pour ma part je trouve que la palme est méritée, il faut dire que je n'ai pas beaucoup aimé le film de Jacques Audiard. Ce nouveau film de Michael Haneke est une pure merveille et devrait rester dans les mémoires comme un chef d'œuvre. On a là certainement ce qu'il a fait de mieux. La réussite est totale sur tous les plans. La mise en scène est totalement maîtrisée, un pur travail d'orfèvre. Grandiose et majestueuse et à la fois presque invisible tant on a l'impression d'être dans le film, de faire partie du décor. Le scénario est foisonnant et magnifiquement écrit. L'histoire est à glacer le sang, terrible, aride et froide comme une lame de couteau. Plus le récit avance plus on a froid dans le dos. On assiste là sans doute à l'une des plus belle démonstration des conséquences que peut avoir une éducation puritaine et stricte sur les enfants et sur les rapports entre les gens qui les entourent. On n'ose entrevoir ce que seront devenus ces enfants vingt ans plus tard à l'avènement du nazisme. L'ensemble du casting est absolument époustouflant. Tous les acteurs sont parfaits mais tout le mérite revient à l'ensemble des enfants. Ils sont stupéfiants. Haneke fait preuve encore une fois d'une direction d'acteurs sans faille. La technique est au diapason du reste. Le noir et blanc donne au film une ambiance très particulière (ajouté à l'absence de musique), la photo est d'une grande splendeur. Certains plans fixes font penser à des vraies photos de l'époque. Superbe. Le blanc de la pureté est partout, s'opposant à la noirceur du propos. Les décors, les costumes, le son, le montage sont impeccables. Franchement rien à reprocher.Un film difficile, pas forcément accessible, un sujet et une longueur (2h25) qui peuvent rebuter. Mais Le ru
    legend13
    legend13

    215 abonnés 1 021 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2012
    Un film bizarre mais fort intéressant. Mais l'histoire n'a ni queue ni tête à mon gout. Regardable mais avec un petit gout d'inachevée.
    Maqroll
    Maqroll

    131 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2010
    Un film très dur de Michael Haneke - mais c’est un pléonasme - dans l’Allemagne de l’immédiat avant-guerre de 1914-18. Une fois de plus, Haneke part à la rencontre ce qu’il y a de plus violent chez l’être humain pour l’exposer sans aucune forme de jugement, comme avec détachement. Il est pourtant évident que ce détachement n’est qu’une apparence. L’obsession du meurtre gratuit, notamment, le hante toujours même si cette fois l’acte est dans un premier temps déplacé vers les animaux… jusqu’à la déclaration de guerre (institutionnalisation du meurtre gratuit). Les femmes semblent recéler un peu plus d’aspects positifs que leurs homologues masculins mais la différence est tellement ténue qu’elle n’ôte rien à l’impression d’ensemble que l’homme est une bête terrible, dont la cruauté et la malveillance sont sans égales à la surface de la Terre. Un film dont on peut sûrement sortir bouleversé ou irrité selon les cas mais qui pose dans tous les cas la question des limites du cinéma et de l’art en général.
    Alolfer
    Alolfer

    86 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2024
    Subtil ! Palmé en 2009, "Le Ruban Blanc" est un film brillamment construit ! Difficile d'accès, mais une fois rentré dedans, on découvre avec subtilité, un village sombre porté par une mise en scène froide de Michael Haneke. C est un film où l'on va suivre plusieurs personnages qui vont nous amener à une fin efficace. C est un film lourd, où l'on ressort épuisé. Très bon film
    Nico2
    Nico2

    78 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2009
    N'en déplaise aux fans du surestimé Un Prophète, Le Ruban Blanc est indéniablement une Palme d'or méritée. Michael Haneke, après un poussif Caché et un remake de son Funny Games, revient en Autriche et ce retour au pays est apparemment une bonne chose tant le cinéaste se révèle d'une très grande inspiration. Dès le générique défilant avec une absence totale de musique, le spectateur perdu dans la salle obscure sent monter en lui une angoisse. Puis une voix qui nous raconte une histoire dont elle-même ne sait pas tout. D'ailleurs, l'identité de ce narrateur ne sera connue que plusieurs minutes après le début du film, accentuant l'égarement du spectateur. Haneke est sadique, on le, sait, et maltraiter le spectateur est un de ses passe-temps favoris et ici, il ne s'en prive pas. Mais pas besoin d'images-choc pour cela: beaucoup de suggestion, de non-dits et de longs plans-séquences cadrés de manière à donner l'impression de voir la scène à travers les yeux d'un tiers afin de mieux impliquer le spectateur, à la manière des caméras cachées des films du même nom, sans pour autant lui donner les clés. Le dénouement en lui-même peut se révéler frustrant même si l'on s'en doute un peu. haneke multiplie les (fausses?) pistes sans jamais esquisser ne serait-ce que le début d'une résolution, laissant le soin au spectateur d'essayer de démêmer le vrai du faux. Le choix du noir et blanc accentue la noirceur de l'histoire tout en rappelant qu'elle appartient de toute façon au passé et que l'on ne sait de toute façon pas tout. Cela, c'est pour le symbolique, d'un point de vue esthétique, le noir et blanc sublime chaque plan et en fait un plaisir des yeux. Quant aux acteurs, ils sont d'une rare justesse, des aguerris aux enfants de tous âges. Dur et oppressant, Le Ruban blanc est aussi d'une formidable maîtrise et fait appel à toute l'attention du spectateur. Certains trouveront sûrement le film trop exigeant et élitiste, il est avant tout un grand moment de cinéma.
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    62 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 août 2011
    Cette chronique allemande d'avant guerre est dotée d'une aura extraordinaire qui fait la signature des chefs d'oeuvre. En faisant le choix de la sobriété et en évitant à tout prix de basculer dans le mélodramatique, Haneke nous livre un récit d'une force boulversante dont l'atmosphère pesant imprègne le spectateur et le captive de bout en bout. A partir d'un scénario minutieux, détaillé et intriguant porté par une mise en scène magistrale et un souci de l'esthétique inégalable, le réalisateur fait de ce simple fait divers une histoire prenante dans laquelle règne mystère et suspicion. Mais au delà de ça, c'est un récit sur la famille et l'autorité parentale que l'on a pu observer aussi bien chez les famille autoritaires protestantes comme dans le film mais aussi dans bien d'autres cas qui apporte une réflexion profonde, d'autant plus que l'ensemble est porté par une magnifique troupe d'acteurs, enfants comme adultes. Le Ruban Blanc est une réussite majeure du cinéma allemand et du cinéma en général car il propose quelque chose d'unique, de par son soin dans la réalisation qui fait passer ses 2h20 avec un plaisir immense.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2021
    Revenu en Autriche après avoir rempli les années 1990 de ses expériences cinématographiques, Haneke est resté un vrai cinéaste mais il est devenu un faux puriste : que l'on ne se laisse pas prendre à sa photographie sobre et à ses mises en scène à l'ancienne, car Le Ruban blanc est passé à travers une énorme moulinette d'effets spéciaux pour produire le résultat escompté. D'aucuns y verront l'influence de sa période américaine, mais l'amateur de médias pose en réalité une question essentielle : la manipulation de la forme au service du purisme du fond est-elle hypocrite ?

    Cannes a tranché : c'est une Palme d'Or. Cependant le film est en réalité insituable et on le visionne sans avoir jamais à questionner sa forme : années 2010, 2000, 1990 ? Si j'avais eu à deviner sa date de sortie, j'aurais facilement pu me ridiculiser. Ses visages dignes de vieilles photos, son noir et blanc, son attachement direct à la terre, au jour et à la nuit, et enfin au pragmatisme plus ou moins grand de ces villageois qui tentent tant bien que mal d'entretenir la sagesse de leur communauté, tout y est intemporel.

    Non seulement on croirait s'être téléporté dans l'époque dont il parle (les années 1910), mais c'est aussi comme si l'on nous avait retiré tout savoir sur ce qui survint alors dans le monde germanophone : on évolue avec un malaise difficile à préciser jusqu'à se rendre compte que c'est la guerre qui gronde au loin, et que cette génération d'enfants qu'on voit grandir mal, comme sous l'influence d'une force obscure et mauvaise, sera celle qui, deux décennies plus tard, participera à figer l'Allemagne (et un peu l'Autriche avec) dans une image tenace de nation pleine de ressentiment et de colère.

    Le Ruban blanc, avant d'être une œuvre hypertravaillée et une réflexion sur le "cinéma vrai", est un rappel que l'enfance, quoique symbole de l'innocence, peut aussi être le berceau des pires travers humains. Si Haneke a changé sur la forme, il reste bien lui-même sur le fond, car il garde les mains propres lorsqu'il touche à ce qu'il y a en l'Homme de plus secrètement malsain. Alors, est-il hypocrite de manipuler la forme au service du purisme du fond ? Pas chez lui.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    52 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2013
    Un film audacieux et sublimement mis en image qui interroge et dérange. Haneke est un cinéaste fascinant qui délivre encore ici un film d'apparence rigoureuse mais qui a une portée philosophique et psychologique très intéressante. La photo est superbe et la mise en scène d'une grande intelligence. La caméra est fixe, les plans sont calculés, rien n'est là par hasard, on est là dans un véritable travail d'orfèvre. Le parti pris du noir et blanc permet également un jeu sur les lumières totalement époustouflant. Le ruban blanc est également un brulot terrifiant sur la nature foncièrement mauvaise de l'humain, radical et d'une actualité surprenante, même si le film se déroule à la vielle de 1914. Les acteurs sont tous sublimes, ce qui indique, au-delà du talent de ceux-ci, une direction d'acteur parfaitement réussie. On pourra reprocher un rythme particulier ou une certaine prétention, mais tout cela est oublié au vue du bijou qu'est ce film.
    L_huitre
    L_huitre

    61 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2012
    Voilà une palme d'or méritée. C'est rare... On est véritablement cloué par l'ambiance lourde et moite qui se dégage de ce film. L'image est absolument magnifique, avec quelques plans qui ressemblent à des tableaux de Renoir ou de Vermeer. Le rythme est lent, et la caméra sait se faire immobile. Les enfants sont d'une justesse de ton incroyable. Et une violence dure, sèche, crue semble ronronner et attendre son heure dans chaque scène... Bref, c'est du grand cinéma ! Pourtant, la fin un peu bâclée laisse le spectateur interdit, et insatisfait. Le film passe donc à côté du 5 étoiles... Faut-il voir dans ce film une genèse du nazisme ? Peut-être, mais ce n'est pas aussi important que les journalistes ont voulu le croire. Je crois plus prosaïquement qu'une société sans amour se condamne à tous les excès. Et cela est vrai en Allemagne comme ailleurs...
    jeremie747
    jeremie747

    38 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2010
    Ce qui ressort de ce film, c'est d'abord l'immense talent de formaliste de Michael Haneke. Son travail sur l'image, sur le noir et blanc, sur le cadrage ressemble presque plus à un travail de photographe que de cinéaste. Tous les plans sont étudiés, sublimes. La caméra d'Haneke métaphorise son propos. Il alterne des plans en extérieur très surexposés, d'une clarté aveuglante, et des plans en intérieur un peu sous-exposés, en clair obscur avec des noirs très intenses. La symbolique est assez simple à décrypter : les apparences puritaines de la sphère publique de ce petit village aveuglent les atrocités qui sont commises dans l'obscurité de la sphère privée. C'est une très belle idée de mise en scène. Ensuite, il y a le sens de ce film, le propos d'Haneke. Au premier abord, on semble n’y voir qu’une simple chronique de village et une réflexion un peu simpliste sur l’origine du mal (perversité ou ennui ?). C’est le vrai problème du film. L’œil trop froid du cinéaste tient le spectateur à distance, l’intéresse sans l’impliquer et donne donc une coloration trop anecdotique à ce qui se passe à l’écran. On réfléchit cependant longtemps après l’avoir vu et “Le Ruban Blanc“ semble finalement plutôt une réflexion l’hypocrisie d’une éducation trop rigoureuse et puritaine. C’est le décalage entre les préceptes d’éducation et le comportement immoral, voire déviant, des adultes (l’exemple) dans un lieu confiné où rien n’est secret qui aboutit à la création des monstres.
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