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Drawer
70 abonnés
321 critiques
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5,0
Publiée le 29 novembre 2009
Entre le créateur et enfermés dehors, le Vilain est un très bon Dupontel alors que son précédent film était un peu moyen celui ci est vraiment sympa. Tout public certes, on est loin du déjanté BERNIE masi on ne s'ennuie pas est l'humour est un peu noir de temps a autres , ca fait meme penser aux sales histoires par momments. Catherine Frot est elle aussi à la hauteur même si son maquillage laisse un peu à désirer. Au final ce film est vraiment très bien. Bémol aussi sur l'affiche du film que je trouve assez pourrite (on dirait une affiche d'almodovar...beurk)
Le Vilain reprend le concept du Diner de Con de Veber. Un huit clos avec plusieurs personnes hillarant qui interviennent. Dupontel est formidable en personnage sadique et Frot en maman maudite. La réalisation est simple mais efficace et les repliques et situations burlesque s'enchaine sans temps mort. Du tout bon !!!
Au demarrage une idée originale mais le resultat n'est pas à la hauteur ....malgre tout un humour decapant au 3ème degrè... Dupontel est égal à lui-même c'est à dire caustique .......
Le Retour de Dupontel derrière la caméra est toujours un divertissement cartoonesque. Reprenant les lignes de la comédie traditionnelle, il revisite le genre et son duo avec Catherine Frost est implacable. Cependant, un relâchement dans les scènes de comédies nuisent au film.
un film sympa sans plus.il y a de bons moments de rigolades.comm d'habitude catherine FROT est sublime dans son rôle de mémère rigolote simple et sympa.par contre albert DUPONTEL gache un peu le film dommage en fils malsain con et méchants sur les bords
Alors ce film est un ovni car par des moments on peut le voir comme une comédie loufoque ou un film pour enfant. Les gags sont drôles pas forcements tous et les dialogues sont pointus . L'histoire est loufoque par son absurdité la réalisation est rempli de profondeur et de traveling ce qui donne un rythme au film. Les personnages sont drôles et très caricaturaux voir un peu trop, on peut reconnaitre une certaine lourdeur parfois. Un film étrange mais original.
Le début commence doucement dans cette sorte de comédie noire, ce n’est que par la suite de l’enchaînement du fil de l’intrigue que cela devient intéressante, super duo comique Albert Dupontel, le fiston devenu bandit après avoir commis ses méfaits, se réfugie chez sa maman, Catherine Frot vieilli pour la forme, j’ai trouvé très bien, drôlement mignonne cette relation bonne mère et fils vilain menteur. Il essaiera de tuer sa génitrice à l’occasion par le mal qui est en lui mais butera sur la chance qui tourne du côté maternel, la bonté est resté en elle. Le commencement de la route se termine dans une ambiance musicale à la « full metal jacket », un fan du réalisateur.
Grâce à une réalisation qui gagne en nuance, Dupontel signe là un film plus plaisant que ses premiers essais. Le duo d'acteurs principaux est séduisant, loufoque et efficace. On est également touché par l'aspect social que n'oublie jamais Dupontel.
Cinq ans ont passés entre Enfermés dehors et Le vilain, cinq années où la vision d’Albert Dupontel a considérablement changé, lui qui proposait un « cartoon social » s’est depuis aventuré dans la cour de récré de Jeunet, au point de proposer dorénavant une approche beaucoup plus candide et « féerique » où les bons sentiments côtoient les nombreux délires partant souvent dans des directions inopinées. Certes Dupontel arrive encore aujourd’hui à proposer des films qui arrive à faire rire en traitant de sujet tragique, Le vilain creusant cette veine qui réussit à réconcilier d’une certaine façon le commercial et l’artistique. Le vilain ne va pas dans la même direction que ces précédents films, comme si Dupontel se voulait être plus sage, le film ressemble moins à une petite comédie inoffensive qu’a un film dont on pourrait se faire l’éloge de l’ambiance de Dupontel restant tout de même dans l’univers de l’acteur/réalisateur, on passe ainsi de ses discours trashs à quelque chose de plus policière, on se rapproche ainsi un peu plus de l’ambiance de ses sketchs et quelques situations reprennent ces précédents films, la relation mère/fils rappelle Bernie, la vision de la tortue celui du chat dans Le créateur et enfin les nombreux débordement à Enfermés dehors, bref du Dupontel qui nous fait la joie de revenir avec un film toujours aussi en décalage avec le reste des comédies que l’on voit sur nos écrans et ce pour notre plus grand plaisir. Dupontel finit de montrer sa dimension sociale déjà présenté dans Enfermés dehors en se plaçant toujours du coté des plus faibles, que l’on retrouve aussi dans l’intrigue secondaire où des résistants s’opposent aux rachats des maisons du quartier par des promoteurs véreux. On a donc l’impression de voir une fable de Capra que certains pourront trouver un peu obsolète mais s’est sans compter sur le subterfuge de Dupontel qui montre (lorsque cela lui est possible)...critique sur:cthiboy.blogs.allocine.fr
Pas du tout emballé par "Enfermés déhors", je dois avouer avoir été nettement plus convaincu par ce "Vilain", sans avoir été pour autant énthousiasmé. Le film comporte en effet plusieurs défauts gênants, que ce soit par un aspect théâtral un peu pesant, une utilisation de la musique proche de l'insupportable ou encore quelques scènes franchement longuettes... Cela dit, on a tout de même droit à quelques savoureux moments et des répliques tout aussi sympas, surtout que l'opposition Frot-Dupontel s'avère aussi efficace que prévu. Ni enthousiasmant ni désagréable donc, l'oeuvre demeure toutefois une assez bonne surprise, mais il faut avouer en contrepartie que je n'en attendais pas grand chose... Honnête.
Des personnages excessifs et des situations roccambolesques menées à un rythme d'enfer. Le film fourmille de trouvailles et d'humour noir. Tout s'enchaine pour le plus grand plaisir du spectateur, mené par des acteurs exceptionnels. Un grand moment d'humour mêlant habilement trash et tendresse.
Albert revient et il est très très méchant... Poisson d'avril ! Non, sans rire, c'est vrai que l'on ne s'ennuie pas et que l'on sourit de temps en temps, mais quand même ! Où diable sont passés le mordant de Bernie et l'absurdité du Créateur ? Ok Catherine Frot est au top, Bouli Lanners séduisant et la tortue géniale ; quelques graffitis deci delà, une mappemonde en forme de piège à cons, des livrets scolaires avec des gros 0 bien rouges, des chats et des chiens balancés dans le vide-ordures... on trouve de tout dans le dernier Dupontel, mais trop peu d'authenticité pour convaincre réellement. Il n'empêche que la scène du bouquet de fleurs m'a plié en quatre ! Non, sans dec' c'est pas vraiment méchant méchant, ni vraiment gentil gentil, c'est un peu le cul entre deux chaises et c'est là où ça fait mal. Dommage que ce nouveau long métrage ne tienne pas les promesses évoquées dans la bande-annonce, car il y avait matière à réussite... Finalement l'insolence d'Albert ne serait-elle pas devenue de la vulgaire politesse ? Rire jaune.
Une petite comédie sans prétention qui à l'audace de faire sourire le spectacteur. toutefois, à la vue de la BA, on aurait pu attendre un peu plus de folie (trop de gags sont présent dans la BA). Apres la mise en scène et la prestation des acteurs convient tout à fait. On y reconnait le style Dupontel. Le scénario, sans etre spectaculaire avait de quoi nous surpendre, mais malheureusement on tourne vite en rond et la fin se veut assez prévisible. Bref, rien de sensass à retenir, mais on passe quand meme un bon moment. DOmmage, on aurait pu faire beaucoup mieux. Sa manque de punch et de folie! MAis bon on ne lui en veut pas...^^
Mené à un train d’enfer, ce film assez court (moins d’1h30) est d’abord très drôle, surtout dans sa première moitié. Après, le soufflé retombe un tout petit peu, se scénario se délite, tourne un peu en rond et on se surprend même à y trouver quelques longueurs, mais rien qui ne gâche vraiment l’ensemble. C’est évidemment joué à la perfection par un Albert Dupontel toujours aussi juste et une Catherine Frot délicieuse en vieille dame bigote et néanmoins manipulatrice. J’ajoute une mention spéciale pour Nicolas Marié et sa composition du Docteur Williams. Les scènes avec le docteur sont les plus réussies et les plus drôles du film. On retrouve la mise en scène « cartoonesque » qui caractérise la « patte » de Dupontel. De ce point de vue, la plus belle scène est celle de la chute de mamie dans l’escalier, malheureusement éventée par la bande annonce. Evidemment, il faut aimer cette façon de filmer très peu académique mais plus subtile qu’on pourrait le croire, avec par exemple des jeux de miroirs très réussis ou des travellings vertigineux. Regarder un film d’Albert Dupontel, c’est comme faire un tour de montagne russe, on n’a pas vraiment le temps de souffler, parfois c’est à la limite du « too much » mais quand ça s’arrête, on aurait bien envie de s’en repayer un tour. La preuve, quand j’ai vu arriver le générique de fin, je me suis dit « Oh non ?! Pas déjà !!! ». Finalement, ça en dit plus long que toutes les critiques !
Essayer de faire une critique la plus objective possible du nouveau Dupontel n’est pas une chose aisée. Une pléiade d’acteurs tous meilleurs les uns que les autres, Albert Dupontel Himself, Catherine Frot, Bouli Lanners, Nicolas Marié, la tortue… (avec tout de même une préférence pour notre grandiose Catherine nationale). Des situations très biens écrites servies par des gags qui marchent toujours et grâce aussi à des acteurs qui s’approprient leur personnage parfaitement bien notamment Catherine Frot. De vrais éclats de rires. Peut être n’est ce pas la bonne référence, mais autant de vrais rires au cinéma remontait à « Little Miss Sunshine ». Autant dire une éternité, vu le nombre de comédie qu’il sort chaque mois. L’histoire est excellente, complètement tirée par les cheveux, absolument jouissive. On s’attache vite aux personnages, à Maniette et Sydney alors qu’au final ils sont très ambigus. Finalement, Dupontel démontre bien que nous ne sommes pas ce que nous cherchons à montrer. L’humour de Dupontel est toujours aussi noir et drôle. Alors que la situation dépeinte pourrait très bien faire un drame larmoyant sur les relations parent/enfant, poussées à l’extrême. Vous aimez Dupontel, vous aimez Frot, vous aimez rire, vous aimerez « Le Vilain » !