Avis sur Casimir

un scénario très mince et des mauvais acteurs. Fernandel est en roue libre....

Une comédie très moyenne avec Fernandel. Ca vole pas bien haut et l'histoire n'est pas des plus intéressantes. Fernandel, reconverti en vendeur d'aspirateurs nouvelles générations, aimerait décrocher un grand contrat de vente lui faisant ainsi récolter assez d'argent pour pouvoir se marier avec sa bien-aimée. Malheureusement, il va croiser la bouillante Angélita qui lui causera bien des soucis (et malheureusement, pour nous autres aussi, les téléspectateurs). Purée, qu'est ce qu'elle est lourdingue l'actrice qui l'incarne !! Quiproquos et situations rocambolesques sont évidemment de la partie et c'est par moment très lourd et stupide. Je pense que même à l'époque où le film est sorti, les gens devaient se regarder dans le blanc des yeux au cinéma et se dire: "Mais qu'est ce que c'est con".
A voir si vous n'avez pas grand chose à faire car on peut dire que dans l'ensemble, cela reste drôle quand même.

Dans les années 50, en plein cœur de la Creuse, alors que les seules distractions nocturnes habituelles étaient les veillées communes, en clair écouter les histoires à la con du patriarche au coin du feu, la perspective de regarder un tel film devait effectivement être réjouissante. Entre le baratin du vieux et "Casimir", autant opter pour la seconde option. Mais aujourd'hui, ce n'est franchement plus possible. Assister à des gags aussi débiles, cela relève presque de la torture. J'ai de l'affection pour Fernandel, mais là ce n'est pas possible. Pour être tout à fait honnête, la seconde partie du film, basée sur un quiproquo exploité à fond voire surexploité, mériterait presque une demi-étoile, certains passages faisant sourire. Mais finalement, non.

Évidemment c'est une comédie un peu facile et parfois niaise mais le style est tout à fait unique et Fernandel y est grandiose dans ses manières et sa façon de vendre ses aspirateurs. Quelques scènes sont quand même drôles !!!!

Autoritè psychologie, amabilitè...et porte-à-porte! Dans cette comèdie franco-italienne de Richard Pottier, Fernandel est Casimir, reprèsentant en aspirateur qui va devoir donner le meilleur de lui-même pour dècrocher le contrat de sa vie! il n'achète pas, il vend: le super CADI, le plus petit modèle qui soit en terme d'aspirateur combinè universel! Avec lui, il se marie dans un mois! L'histoire est basique et se perd parfois dans le rèpètitif et le jeu de mots: elle eût gagnè à être plus cocasse comme la scène du manicuriste chinois, à avoir plus de punch, de mordant, à être moins agaçante dans le personnage de Angelita Garcia y Gonzalez, pour mieux èpingler ces « drôles » de clients qui se fichent comme de l'an quarante de cette boîte à poussière! Darling Lègitimus (la grand-mère de Pascal, membre du trio « Les Inconnus ») y joue même un petit rôle! Signalons enfin que le titre de ce film n'a absolument aucun rapport avec le « Casimir » qui a bercè pour beaucoup notre enfance! Un petit Fernandel pour un mot « FIN » pour le moins original...

Un film simple et moyen où notre cher Fernandel est toujours l'égal de lui-même, c'est-à-dire excellent, mais ce film au scénario trop léger ne rend pas le film parmi les meilleurs, une toute petite comédie sans grand intérêt sauf pour le maître du jeu qu'est notre Fernandel, mais je le note seulement que 3 sur 5.

Encore un Fernandel dans toute sa splendeur, ses mimiques, son jeu d'acteur qui arrive à faire d'un film assez banal un film qui divertit, qui amuse. Ho, il n'y a pas de quoi être éclater de rire, mais ce n'est pas loin. Et cette petite vengeance finale n'est pas pour déplaire.
A voir par les fans de Fernandel, mais les amateurs de comédie peuvent s'y frotter.

Houla! Bien qu'amateur de vieux films, celui-ci n'a pas du plaire à ceux qui, à l'époque, on déboursés quelques Francs pour le voir: Situations grotesques (pour pas dire: improbables...), Actrice "casse-burnes", second-rôle cucul à souhait et finalement, une fin qui nous laisse... sur notre faim!
Pour les fadas du grand Fernandel seulement.

Vu hier grâce à la télévision. Dans les films où joue Fernandel, le nom de son beau-frère Jean Manse au générique n'est jamais bon signe. Mais ce navet en surpasse beaucoup d'autres et il a au moins l'avantage de me faire réviser mon opinion sur les causes de la dégradation du comique au XXIème siècle. Non elle n'est pas due seulement à la baisse du niveau des études, et au décervelage médiatique, puisqu'en 1950 on savait déjà faire aussi débile que Michaël Youn, Alain Chabat ou les Robins des Bois.