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titiro
38 abonnés
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0,5
Publiée le 16 mars 2009
Non mais on se moque de qui là!!! Comment peut on oser faire un navet pareil!! Tout commence par cette affiche racoleuse, qui espère attirer du monde en montrant une demoiselle en petite culotte. Ensuite, ce film n'hésite pas à piocher un peu partout, de "L'Exorciste" à "The Grudge", en passant par "The Ring" et "Sixième sens", pour tout mixer, et nous sortir une chose insupportable, indigeste, qui ne fait que compiler des idées piquées à d'autres films, avec une succession de scènes ridicules, sans aucune subtilité, censées instaurer une ambiance angoissante et stressante, mais qui compte surtout sur le nombre de decibels que chaque enceinte de la salle pourra produire au bon moment, pour essayer de faire sursauter des spectateurs médusés par tant de nullité. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas vu un tel navet! Pire qu'un téléfilm. Le scénario est bourré d'incohérences et de clichés. Dommage qu'on ne puisse pas mettre de note négative... 0/5
Un film archi-classique sur la forme mais qui explore le thème sous-exploité de la mythologie kabbalistique. Les effets spéciaux sont bons mais le rythme laisse parfois à désirer.
On ne saurait dire ce consterne le plus. Serait-ce l’arrière-plan historique qui enracine son démon dans les cendres d’Auschwitz ? Serait-ce la tambouille religieuse qui réduit le culte judaïque à un accent bizarre et des pratiques ésotériques tout à fait ridicules ? Serait-ce le gant qu’un jeune garçon visiblement mal en point ne cesse de perdre au beau milieu de la route ? Peut-être tout cela à la fois. Unborn le mal nommé – puisqu’il a bel et bien vu le jour, ce film – se construit telle une série de miroirs, vaste kaléidoscope de clichés mal reliés entre eux et, à terme, dépourvus de la moindre signification un tant soit peu tangible : on suit les mésaventures d’une jeune fille qui dort toute nue sauf lorsque son petit-ami lui rend visite (sic) et se balade en sous-vêtements jusqu’à ce que son miroir fasse du bruit. À partir de là, tout s’enchaîne de façon ô combien laborieuse pour déboucher sur une apothéose finale incompréhensible. Le seul intérêt à trouver dans une telle avalanche de grossièretés, c’est la composition musicale signée Ramin Djawadi. Pour le reste, oublions.
Autant je suis souvent d'accord avec les notes Autant pour celui-ci je ne comprends pas ! ! Ce film est top , les acteurs sont bons tout comme les effets spéciaux... Une bonne histoire de fantôme qui fini en exorcisme de possession démoniaque ( Plutôt bien réussi) J'adhère totalement
Un bon film d'horreur, de terreur, même, mêlant le divertissement à des thèmes de fond, comme la religion, le nazisme, ou encore l'exorcisme. Le choc est à la fois visuel et auditif, bien que le film ne soit pas gore, mais plutôt fantastique. L'angoisse vient aussi du scénario et de la mise en scène, qui nous mettent dans un état psychologique proche de celle de l'héroïne, paranoïaque d'être hantée par un esprit maléfique, qui sursaute au moindre bruit. Très réussi donc. Petit bémol : la fin, qui est bien, mais un peu trop rapide, simpliste et prévisible.
Je ne comprends pas vraiment la note, Ok c'est pas le film de l'année il vaut pas 5 étoiles mais il y a pleins de bonnes choses dans ce film, c'est un film de possession normal même si il est un peu long à démarrer.
Quelle déception ! Un scénariste qui n'a fait qu'empiler des scènes d'autres films. La musique pas très efficace (pourtant paramètre important d'un film d'horreur) mais aux décibels suffisant pour agresser nos oreilles. Le vrais problèmes restent la totale absence d'angoisse ou de frisson ; on connait déjà le film ! Seul vrai point reste une affiche superbe mais vu le niveau du film on s'en moque un peu...
"Peut-on être possédé par quelqu'un qui n'a jamais vu le jour?" Pourquoi pas. Après tout, où sont les limites de la créativité? A travers l'épouvante ou tous genres confondus, il faut oser de nouveaux concepts. Unborn serait donc à ranger dans la catégorie exorcisme. Un genre qui de vous à moi, parvient encore à me faire serrer les fesses. Lorsque c'est bien exécuté, on bascule totalement dans cette autre dimension, glauque et démoniaque. Une dimension matérialisée une fois encore par les miroirs et l'envers mystique qu'ils recèlent. Selon certaines croyances, un miroir est une passerelle pour l'autre monde. Ce qui par définition suggère que si on peut y entrer, quelque chose peut également en sortir. De là débute cette histoire de jumeaux, l'un mort né, et l'autre traqué sans relâche par une force démoniaque appelée dibbouk. Celle-ci survient dans les moments les plus inopinés, sous diverses formes. Ce qui nous vaut pas mal de sueurs froides bien dégoulinantes. Certaines scènes sont imprégnées d'une noirceur glaciale, rendant parfois scabreuse la distinction du vrai et du faux. Rien de neuf dans cet ensemble, mais je dois dire que la mise en scène fait son petit effet. D'autant plus que le très estimé Gary Oldman nous fait l'honneur de sa présence en rabbin exorciseur. L'histoire tient la route et le résultat est indiscutable. Flippant à souhait. 4/5