Mon compte
    Le Comte de Monte Cristo, 1ère époque: Edmond Dantès
    Note moyenne
    3,6
    30 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Comte de Monte Cristo, 1ère époque: Edmond Dantès ?

    11 critiques spectateurs

    5
    3 critiques
    4
    2 critiques
    3
    5 critiques
    2
    0 critique
    1
    1 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2020
    Peut-être la plus belle adaptation du classique d'Alexandre Dumas. Récit passionnant, habilement réalisé par Robert Vernay et interprété avec charisme par Pierre Richard-Willm.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2016
    De loin la meilleure adaptation du roman d'Alexandre Dumas père. Robert Vernay réalisera, 10 ans plus tard, une autre adaptation de ce roman, plus "fouillée" avec Jean Marais dans le rôle d'Edmond Dantes. Cette version, tournée en pleine occupation, jouit d'un casting 4 étoiles. Pierre-Richard Willm est époustouflant de naturel dans le rôle principal, de même que Michèle Alfa qui interprète une "Mercedes" pleine de charme. Tourné en "2 époques", ce film doit avoir sa place dans votre vidéothèque !
    Benjamin A
    Benjamin A

    648 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2015
    C'est le jour où Napoléon quitte l'île d'Elbe qu'Edmond Dantès, jeune marin de 19 ans, débarque à Marseille pour y préparer son mariage. Commence alors une longue aventure où, assez vite, il sera emprisonné sans qu'il ne sache pourquoi...

    Alors que le monde est au cœur de la Seconde Guerre mondiale, Robert Vernay signe une adaptation du vaste et passionnant roman d'Alexandre Dumas, qu'il coupera en deux parties distinctes. Dans cette première, il met en place le contexte de l'histoire, présente les personnages et s'intéresse surtout à la captivité d'Edmond et la façon dont il va, par la suite, élaborer son plan.

    Alors que je viens de finir le livre de Dumas, je suis d'abord déçu par le manque d'inventivité de la mise en scène et de voir que plusieurs éléments n'y sont pas inclus mais Robert Vernay a le mérite d'aller à l'essentiel, sans détours inutiles et rendant son film plutôt plaisant. Cette adaptation assez classique brille notamment par ses dialogues et surtout le récit de base et cette passionnante histoire de vengeance. Quelques seconds rôles sont vraiment bien traités et sont même pas loin de voler la vedette à Dantès et Mercédès, surtout pour ce qui est des interprétations, notamment Aimé Clariond en Villefort.

    C'est tout de même bien loin d'être parfait et je n'ai pas vraiment ressenti toutes les émotions que le livre pouvait procurer, tel le côté aventureux mais aussi l'attachement à Dantès et sa noirceur apparaissant peu à peu lorsqu'il développera son idée de vengeance. Bien que tourné sous l'occupation, on ne ressent pas vraiment un manque de moyens et les reconstitutions sont excellentes, donnant notamment lieu à des scènes marquantes telles celles au château d'If.

    S'il est évident que cette adaptation est loin de retranscrire toutes les émotions et l'aventure du livre de Dumas, elle n'en reste pas moins plaisante malgré un léger manque d'originalité et une adaptation n'incluant pas d'importants éléments.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 janvier 2021
    Extraordinaire à plus d'un titre, "Le comte de Monte Cristo" de Robert Vernay (version 1942) reprèsente la plus belle et surtout la plus satisfaisante des adaptations du roman d'Alexandre Dumas dont l'inoubliable Pierre Richard-Willm est l'interprète principal. « Courage Mercèdès, avant une heure je suis de retour ! » Pas si sûr Edmond Dantès! Une lettre anonyme le mêle à un complot de la suretè de l'ètat et le porteur de cette lettre est passible des travaux forcès! Oubliè de tous, Edmond Dantès au fond de son cachot, attend vainement qu'on vienne le juger! Et jours monotones après jours monotones, vingt annèes s'ecoulèrent au tristement cèlèbre château d'If sans que Dantès obtienne de comparaitre devant un tribunal! On l'a arrêtè en plein bonheur le soir de ces fiançailles et depuis on le laisse moisir ici! il ne demande pourtant qu'à être jugè! Une telle adaptation qui fut tournè sous l'Occupation aux studios des Buttes Chaumont ne pouvait fournir que des acteurs d'exception : Pierre Richard-Willm / Edmond Dantès ; Marcel Herrand : Bertuccio ; Alexandre Rignault : Caderousse ; Ermete Zacconi : l'abbè Faria...La qualitè des interprètes, l'intelligence de l'adaptation et quelques plans d'un rare rèalisme à l'intèrieur des cachots de l'île d'If en font un incontestable chef d'oeuvre du cinèma français! Une première èpoque admirable ( « Edmond Dantès » ) pour une seconde èpoque ( « Le châtiment » ) qui l'est tout autant...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Hormis le noir et blanc, cette version est sublime et est à mon sens, la plus fidèle et la plus belle des versions avec celle de Claude Autant-Lara avec Louis Jourdan...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2014
    On a fait le choix ici de supprimer quelques éléments pourtant essentiels mais on a rajouté des détails très intéressants.

    On ne parle plus de poison dans la famille du procureur, de mariage de Maximilien, on a même supprimé Danglars!!!!!!

    Mais on a rajouté "la cicatrice de Villefort" faite par Benedetto le jour de la naissance de son fils adultérin.

    Il est vrai que c'est très bien jouée. Montecristo est très impressionnant. Il n'apparaît cependant pas comme un riche influent, mais comme un dandy moins noir qu'il ne devrait. Les seconds rôles aussi très bons, mais le film est loin d'être fidèle. Il est même parfois expédié il faut bien le dire: la récompense de Morrel par exemple, ou plutôt contestable Haydée qui apparaît aux côtés de Montecristo dès le début du second épisode sans aucune préparation du spectateur. Quand on ne connaît pas le livre on ne sait pas qui c'est. On apprend en 5 phrases (il faut être attentif) qu'il a fait un voyage en Orient d'où il a donc ramené Haydée; et c'est elle qui lui raconte la trahison de Morcerf.

    On voit dans cette version plusieurs scènes jamais vues dans d'autres adaptations:
    Le crime du procureur qui a condamné Dantès. Il enterre le bébé vivant (en très bonne santé, alors que dans d'autres versions, on raconte qu'on l'a donné pour mort-né; son crime est ici abominable).
    On trouve également la scène du meurtre par Caderousse et sa femme (dignes héritiers des Thénardier) du bijoutier venu acheter le bijou que leur a donné l'abbé Busoni (alias Dantès).
    On assiste aussi à un dialogue très éclairant entre Benedetto et Caderousse, compagnons de bagne.

    Donc en bref une version édulcorée et raccourcie mais quand même honorable et formidablement bien jouée. Sauf pour les deux actrices féminines. Mercédès est un peu faible à mon goût et je comprends qu'il finisse sa vie avec Haydée.

    Voici mon classement:
    Weber
    Willm
    ......
    Depardieu
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2013
    Tiré du roman de Alexandre Dumas ; l’histoire romanesque à souhait a fait l’objet de multiples adaptations télé ou ciné. Vernay, le réalisateur de cette version, a même réalisé une seconde version 10 ans plus tard en 1954. Le comte de Monte Cristo est en fait l’identité sous laquelle réapparait Edmond Dantes après avoir été emprisonné à tort durant 18 ans au château d’If. Une évasion, passé pour mort ensuite, son retour signera sa vengeance.
    Constat premier, ce film a énormément vieilli. Les trucages sont d’époque, mais çà passe encore et c’est même attendrissant. Mais le scénario trop mécanique, le jeu trop appuyé des comédiens font perdre tout le romanesque et le poignant de cette histoire pourtant diablement efficace. En deux parties de 1h30, j’ai même calé dans la première demi heure de la seconde partie. Mais çà m’a donné envie de relire Dumas et surtout de revoir la version TV des 90’s avec Depardieu.
    Aucun intérêt : prenez plutôt le bouquin
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2013
    Pour moi c'est la meilleure version de ce film. Toutes les autres versions n'égalisent en rien celle-ci.
    Guillaume836076
    Guillaume836076

    65 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2013
    Adaptation réussie du roman d'Alexandre Dumas, même si certains personnages ou aspects de l'histoire sont éludés. Une des meilleures adaptation au cinéma. J'attends de voir la seconde partie pour avoir un avis définitif. L'intelligence de Robert Vernay c'est d'avoir découpé l’œuvre en deux partie comme si l'on suivait une œuvre feuilletonnante comme à l'époque de la parution du roman, où l'on publiait dans la presse chapitre par chapitre, de jour en jour ou de semaine en semaine.
    Tournée pendant l'occupation, on ne sent pas les problèmes de restrictions de moyens financiers: reconstitutions (scènes en extérieur), décors et costumes sont réussis. La mise en scène de Robert Vernay est très honorable (notons qu'il réalisera une seconde version avec Jean Marais en 1955). Seul bémol: la qualité de la copie de diffusion. Le film mérite une restauration complète pour que l'on se rende compte du véritable travail sur l'image.
    On peut critiquer le choix de Pierre Richard-Willm pour incarner Edmond Dantès si l'on s'imagine un Dantès au caractère fougueux et imposant. Mais n'oublions pas que Dantès est avant tout un personnage romantique, décrit par Dumas comme bon, naîf et séduisant que l'épreuve va transformer dans le comportement. Pour ma part Pierre Richard-Willm incarne parfaitement le côté romantique du personnage du début, puis dépassé par les événements lors de son incarcération au château d'If... Son caractère se durcit dans l'attente de sa vengeance, ce qui correspond à l'évolution du jeu de l'acteur... Il est vrai qu'il n'a pas le charisme de Jean Marais, Louis Jourdan ou encore Gérard Depardieu (tous trois futurs Monte-Cristo), mais est peut-être plus "authentique".
    Excellence des seconds rôles Marcel Herrand en Bertuccio et d'Aimé Clariond en Villefort;
    Vivement la seconde partie !
    Plume231
    Plume231

    3 477 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2012
    Une des très nombreuses adaptations d'un de mes romans favoris, cette version tournée pendant l'Occupation est très elliptique, sacrifie de nombreux personnages ainsi que de nombreuses situations du chef d'oeuvre littéraire d'origine du grand Alexandre Dumas mais reste très plaisante à regarder, sans le moindre ennui. Dans la première partie, on peut trouver que Pierre Richard-Willm manque de flamme dans le rôle d'Edmond Dantès (bien qu'il soit plus convaincant que Jean Marais dans l'autre version de Robert Vernay qui se distingue par sa platitude et que Gérard Depardieu qui a eu plus l'air d'avoir vidé les réserves des cuisines de tous les palaces de la Riviera que d'avoir goûté la très frugale et la peu ragoûtante nourriture du Château d'If dans la désastreuse version de la désastreuse Josée Dayan !!!) et que Michèle Alfa est transparente dans celui de Mercédès en rien aidée par une adaptation qui met peu en valeur son personnage il est vrai. Mais les seconds rôles, en particulier Line Noro dans le rôle de La Carconte est excellente en gibier de potence les quelques minutes qu'elle apparaît et Marcel Herrand joue un Bertuccio qui est loin de manquer de prestance (on se dit même qu'il aurait pu faire un très bon Dantès !!!), sont pour la plupart excellents et certains dialogues ne manquent de piquant.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    517 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 avril 2012
    Le prototype même du film dont le thème principal est la vengeance, pas la simple vengeance exécutive mais une vengeance du type ''plat qui se mange froid'' avec jouissance et délectation et tout cela à faire partager aux spectateurs. Inutile de vous dire le bien que je pense de cette intention, sa seule excuse provenant d'un roman ultra célèbre ayant enthousiasmé nos aïeux.
    Le résultat est fort inégal avec des moments exécrables, car bâclés et d'autres superbes grâce aux formidables comédiens des années 50. Marcel Herrand (Bertuccio) se taille la part du lion, son sens de l'honneur et de la parole donnée font un contraste violent avec le personnage de Caderousse dont l' alcoolisme n'arrange rien. Pierre Richard Wilms est plutôt mieux en Comte de Monte- Cristo qu'en Edmond Dantes. Sans être parfait, il ne s'en tire pas mal surtout au final lorsqu'il comprend tout le mal qu'il a fait à son tour à des innocents. Sans doute insatisfait Robert Vernay remettra le couvert 10 ans plus tard. Je pense que le cinéma y gagnera mais non les dialogues qui sont ici la première des qualités de ce film nécessairement trop court pour ne pas abîmer un des chefs d'oeuvre d'Alexandre Dumas père..
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top