bon film fantastique, mais la réalisation et la distribution est passable. ceux qui ont aimé "van helsing" , vont trouvé une ressemblance de J.Purefoi avec H. Jackman
Malgré la présence du légendaire Max von Sydow du film "L'Exorciste" , ce film est très mauvais !!! L'heroic fantasy de ce navet est très mauvaise !!! Comme le mauvais Van Hesling avec Hugh Jackman !!!
un film grand public qui ne restera pas dans les mémoires , le scénario n 'est pas très entraînant et on a l'impression d 'avoir deja vu ca un mix de conan le barbare a la sauce gothique démoniaque.....rien d'original qui nous fera dire du bien du film...l'acteur principale est pas mal du tout je ne le connaissais pas. les scenes de combats sont elles aussi d'une simplicité enfantine.... musique et dialogues sont très moyens. le finale n'est pas vraiment à la hauteur et laisse présager une suite ...... je ne suis pas convaincue que cela est de l'intérêt.... a voir une seule fois dans tous les cas....
Voilà un film qui a de la gueule. Solomon Kane est un mélange de film épique, d'aventure et de fantastique. Tous les ingrédients sont là pour nous faire passer 1h45 de pur divertissement. James Purfoy est tout simplement excellent dans le rôle titre, les scénes de batailles sont brutales, les décors et les costumes sont plus que convenable et la réalisation parfaite. Un film qui clot l'année en beauté.
En un mot: déception, ne cherchez pas, tout est dans la bande annonce.. 3 bonnes raisons de ne pas aller voir ce film: Sur 1h45 de film, maxi 10mn d'actions; dialogues version feux de l'amour sans grande cohérence, et pour finir jeux des acteurs très médiocres. A éviter.
Un film somme toute moyen où seules quelques scènes réussies sauvent la production du naufrage. Dommage, car le personnage principal était intéressant...
Vaguement adapté du personnage éponyme créé par Robert E. Howard (le créateur de Conan le Barbare), "Solomon Kane" est une production franco-britannico-tchèque d'héroic fantasy se déroulant au début du 17ème siècle. On y suit un mercenaire sanguinaire qui cherche à se repentir, et se retrouve plongé dans un combat contre une armée démoniaque. Il s'agit d'un film très inégal, qui mélange les bonnes intentions et les maladresses. Ainsi, le scénario propose quelques idées sympathiques (notamment un héros torturé intéressant), associées à une intrigue prévisible. Par ailleurs, malgré quelques emprunts à la trilogie "Lord of the Rings", Michael J. Bassett parvient à créer une ambiance hivernale et sombre de bel effet, mais le montage des scènes de combats (pourtant bien chorégraphiées) est souvent pataud. Tandis que les effets visuels vont du plutôt joli à du médiocre, et que la BO tient assez bien la route, malgré quelques passages qui tiennent du sous Hans Zimmer. Cela va jusqu'à l'acteur principal : James Purefoy est très correct en guerrier rédempteur, mais ses expressions et son costume le rapproche beaucoup du Van Helsing incarné par Hugh Jackman (ce qui n'est pas à prendre comme un compliment !). "Solomon Kane" est donc un film en demi-teinte permanente, qui n'aura en tout cas pas convaincu son public puisqu'il s'est planté en salles à l'époque.
Un bien étrange film par ses aspects : de bon moment passé, de bonne tuerie violente, de belles images etc... Mais de l'autre côté il y a : on en retiendra rien, au fait comment il s'appelle ce film, ouais c'est quand même un peu naze je préfère Conan, y'en a marre des clins d'oeils religieux plus que suggérés! Et puis quand même ce "petit" anachronisme qui fait mal (des photos en 1600!!!). A vous de voir si vous n'avez rien d'autre à voir de mieux! Le film à voir en surfant sur le net en même temps!
Ma note valorise uniquement les effets spéciaux et les décors qui sont plutôt bien travaillés dans cette ambiance démoniaque et de damnation. L'intérêt de l'histoire en elle-même est réduit voire inexistant. Le scénario n'est pas convaincant dès le début, dès laspoiler: soi-disant prise de conscience de Kane sur ses exactions . Ce n'est qu'une boucherie du début à la fin vaguement légitimée par le synopsis et les abus de ralentis héroïques vont jusqu'à l'exaspération.