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Un visiteur
3,0
Publiée le 13 juin 2010
Film en abondance d'action comme on en est déjà habitué, le début n'est pas totalement compréhensible mais le suspense y demeure tout de même.Pouvait mieux faire.
Un film parfait pour le vendredi soir, cerveau en mode pause, pas de réflexion, on connait le gentil les méchants sont rapidement identifiés, on en a pour son argent, sans aucune surprise (quoique la bombe retirée avec un crochet de grue ou la voiture sur le train....) mais bon on vient chercher action et dérision donc c'est pas mal ça devient rare. PLV : un moment de détente
Encore une belle bouse made in Besson si j'avais pu mettre moins 4 ****,je l'aurai fait,mais bon avec Besson à la production il ne fallait pas s'attendre à mieux...Un conseil attendez qu'il passe SUR Canal et qu'il fasse mauvais temps pour le voir.....
De loin, le meilleur scénario de la saga, tous comme le meilleur méchants, le meilleur Frank Martin, le meilleur jeux des comédiens. Le transporteur 3 surpasse les deux premiers épisode. MAIS a contrario de ses éloges, le film comporte également LA PIRE MISE EN SCENE et LA PIRE PHOTOGRAPHIE!!!! AHHH la mise en scéne d'Olivier Mégathon est beaucoup beaucoup beaucoup trop clipesque.... et adieu soleil radieux de Floride et bonjours temps gris de Budapest
Sensiblement mieux que le 2ème épisode, l'histoire du bracelet est vraiment un plus dans ce film. L'action est omniprésente et jason plus fort que jamais avecdes cascades toujours plus invraisemblables et je pense que c'est ce qui coincera plus d'un ! Mais moi ça me fait marrer et cet épisode, je l'ai apprécié un peu moins que le premier, donc peut etre aurais je pu mettre uniquement 3 étoiles, mais le problème est que c'est le meilleur film d'action de cette fin d'année, surpassant max payne et quantum of solace à mon gout. Fans d'action, ruez vous !
Je tien a dire pour les personnes qui ne son pas allé voir ce film d'aller le voir absolument^^ Action, fiction, suspens, humour... Et j'en passe. Ma notes et donc la plus élever.
J'ai beaucoup aimé la réalisation de ce troisième épisode: les scènes d'action avec des caméras en mouvements circulaires autour du sujet, et les petites accélérations, nottament dans les courses poursuites. Les acteurs restent bons, la musique est meilleure, mais même si on sent que ce point a été travaillé, ca manque parfois d'un peu de rythme.
En 2008, Olivier Megaton reprend la saga Le Transporteur après Louis Leterrier et quand on connaît son travail sur les suites de Taken on est en droit d’être inquiet. Et pourtant il réalise pour ce 3ème opus du bon boulot. Le scénario est toujours aussi léger mais on a ce que l’on est venu chercher avec un bon méchant (Robert Knepper) des bonnes bastons, des cascades spectaculaires et une réalisation très honnête. C’est dynamique, Jason Statham est en grande forme et distribue les savons et les punchlines comme personne et on passe un bon moment. Si la nana est particulièrement agaçante, la présence de François Berléand est toujours aussi agréable, et puis au final cet épisode est meilleur que le précédent avec des cascades un peu plus réalistes. J’en n’avais pas un grand souvenir et pourtant je me suis laissé prendre au jeu.
Retour au source pour ce troisième volet des aventures de Franck Martin qui en Europe retrouve sa crédibilité perdue à Miami. Si cet épisode n'égale pas le premier film de la trilogie, on retrouve le gout de la simplicité et des combats habilement chorégraphiés. Malgré de trop nombreux faux raccords, cet épisode conclut la saga pour notre héros qui retrouve quelques émotions perdues et affronte un boss final truculent que les amoureux de Prison Break auront rapidement reconnu.
Ce troisième opus de la série reprend les codes des premiers en donnant un peu plus de chaleur au personnage principale que l'on découvre pêcheur et même capable de succomber aux charmes d'une femme. Audi s'est offert là une belle promotion, montrant la puissance et la fiabilité de ses voitures. Jason Statham démontre sa maîtrise des arts martiaux et du jeté de chemise en plein combat qui ravira les spectatrices adeptes de muscles bandés. François Berléand est ici un peu plus présent, incarnant le prototype du flic français adepte du bon vivre et de la râlerie. Un troisième volet qui surprend moins donc, mais qui reste plaisant à voir.
Ce troisième volet nous offre sont lot de poursuites et cascades démentes. En outre le méchant de service incarné par l'excellent Robert Kepner rajoute du piment à cette histoire. Certes le scénario est un peu tiré par les cheveux mais les amateurs d'action en ont pour leur argent.
C'est le moins bon des trois, mais faisons la part des choses, tout n'est pas jeter loin de là, d'abord il est faux de clamer qu'il n'y pas de scénario, il est à la fois alambiqué et peu foulant mais il existe. Au titre des atouts on appréciera la présence de Natalya Rudakova qui ajoute du charme et de l'espièglerie à un film qui en avait fort besoin, et puis Robert Knepper nous campe un méchant comme on aime bien les détester ! (en revanche Berléand parait fatigué.) Pour le reste, certains n'ont toujours pas compris qu'on était dans le second degré que parler ici d'invraisemblance c'est être hors sujet ! Cela dit le second degré ne permet pas tout, il a aussi ses limites, un film n'est pas un cartoon et on a plusieurs fois envie de crier pendant le film "Non trop c'est trop, et trop ce n'est pas bien". La moyenne pour le spectacle !
Quand Frank Martin passe la troisième sur grand écran, c’est presqu’un pléonasme de dire qu’il va très loin, et ce sur tous les tableaux : géographiquement d’abord, puisque sa nouvelle aventure le mène de Marseille à Odessa (Ukraine), où il doit livrer un colis dont il est le dernier à découvrir la nature; sur le plan de la vraisemblance ensuite, puisque ce “Transporteur 3” circule un peu trop souvent sur l’autoroute du grand n’importe quoi avec, dans son coffre, des idées pour le moins étranges, à l’image de ce bracelet attaché au poignet du héros, et qui l’empêche de trop s’éloigner de sa voiture, sous peine de finir en une multitude de morceaux. Une contrainte qui donne pourtant naissance à une poursuite des plus jubilatoires, lorsque Frank se retrouve en train de courir après son propre véhicule. Une scène déjantée à souhait, qui fait d’autant plus regretter son statut de rare bonne idée du film. Car, à côté de ça, le manque d’originalité, le sur-découpage des scènes d’action et la platitude des dialogues font que l’on s’ennuie à plus d’une reprise, malgré le charisme de Jason Statham, ou la classe de Robert Knepper (“Prison Break”), méchant hélas sous-employé. On a quand même déjà vu pire que ce “Transporteur 3”, mais il va peut-être falloir penser à se garer là, non ?