Avis : Pandorum - Page 3

Cette Série B Germano/Américaine n’augurait rien de bon. La voir débarquer en sortie technique confirme tout le mal que l’on pouvait s’imaginer à son sujet. Digne d’un DTV mais sous prétexte qu’il y a deux stars Américaines parmi des acteurs de seconde zone, le film se permet d’entacher nos salles obscures.
Ce thriller de science-fiction est d’un ennui profond auquel la mise en scène épileptique n’arrange rien, les plans sombres composant 99% du film ne nous permettent pas d’y voir grand chose, sans compter que le réalisateur a eu l’idée de monter son film de façon à ce que l’on ne puisse rien distinguer (une dizaine de plans toutes les dix secondes lors de certaines scènes d’actions), si bien que le film se transforme vite en calvaire !

Nettement influencé par la science fiction horrifique façon Alien, Pandorum bénéficie d'une base détonante, captivante d'action et d'effroi. Difficile de se démarquer avec une telle base scénaristique: la Terre, devenue inhospitalière, engendre un exode spatiale de masse avec l’espérance de coloniser d'autres planètes favorables à la vie. un vaisseau de transite dérivant à travers l'espace inexploré, avec à son bord des passagers émergeant d'une longue phase d’hyper sommeil. Ajoutez à cela quelques prédateurs sanguinaires, et c'est gagner! Même si les influences sont légions, Christian Alvart tire honorablement son épingle du jeu en nous proposant un divertissement de premier choix. Tout ce que l'on aime finalement. De bons acteurs, une atmosphère qui tenaille les tripes, et même un semblant d'intrigue. On s'y laisse prendre du début à la fin, aidé par un rythme effréné et une artillerie d'effets spéciaux impressionnante, digne des meilleurs films du genre. Une excellent surprise qui marque les esprits par la qualité de sa réalisation. A voir. 4/5

J'ai adoré. Il y a du suspense, de l'action des créatures bizard certe qui ressemble a celle de the descent mais ce film nous tiens en halaine jusqu'à la fin. Les acteurs sont attachent et on a peur pour eux tout au long du film. Pour les ammateurs du genre allez-y!

Depuis qu'un soir sombre de 1980, je me suis perdu dans les couloirs du Nostromo avec la délicieuse Sigourney, je cherche désespérément à revivre cet instant magique, ce qui je l'avoue tient du trouble obsessionnel compulsif. Cette maladie très handicapante m'a forcé à voir jusqu'au bout des navets, certains tellement indigents que si les races extra terrestres qui nous observent (ce dont nous ne pouvons douter bien entendu) les ont aussi visionnés, j'ai le regret de vous informer que nous n'allons pas tardé à être éradiqués. Et puis de temps en temps, presque incongrues dans un océan de boue, quelques pépites bien méritées. Pandorum en est une. Ami lecteur, si tu vois ce film, oublie les approximations du scénario et les impressions de déjà vu inévitables. Quelque part, si tu es attentif, tu verras peut être l'ombre fugitive de Sigourney et tu n'en apprécieras que mieux la scène finale . Comprend qui peut.

Film de SF obscur aux décors sombres et aux multiples influences. "Pandorum" n'est pas toujours clair et met un temps a démarrer , mais plus l'on avance et plus le tout s'éclaircis . Schizophrénie, Virus, perte de mémoire... On lui reconnait des similitudes avec Alien pour les décors, The descent pour sa nervosité ou encore la Saga Dead Space pour la complexité du scénario mis en place et l'effet Puzzle.
Si " Pandorum " se veut nerveux et sanglant, il ne lésine pas non plus sur une belle consistance et même si les bestioles ne sont pas visuellement superbe ni réellement indispensable à l'évolution scénaristique, elles apportent un côté épique qui permet de mettre les différents personnages en valeur a travers leurs capacités .
Le casting correct, mention spéciale pour Ben Foster, fait plutôt bien le Job. Il est fort dommage que l'ambition de ce film souffre d'un budget visiblement trop minime . Résultat alors que le Budget était de 40 millions , le film n'en rapporta que 13 ...
Surtout que la magnifique Fin offrait sur de possible suites et un Univers fort intéressant. Vraiment Dommage ! Mais le pouvoir de la monnaie a parlé

Voilà un petit dvd qui m’a intéressé de suite de part sa jaquette étrange quasi mystique, par les noms de Dennis Quaid et Ben Forster inscrits dessus et par le synopsis que j’ai lu au dos. Par contre j’avoue que la note « Par les producteurs de Resident Evil » m’a plutôt refroidi sur le coup tout de même…enfin je me laisse tenter, j’achète et je me le mate. En fait, c’est lors du générique du début que j’ai vraiment flippé : le producteur principal n’est autre que Paul W.S. Anderson lui-même, le « monstre » qui nous a pondu "Soldier", "Resident Evil 1,4&5", "Alien VS Predator" et "Les Trois Mousquetaires" !! Mais bon après une bref crise cardiaque, je suis tout de même rassuré en voyant le nom du réalisateur (Christian Alvart, le jeune allemand qui s’est fait connaître en réalisant le bon et surprenant thriller "Antibodies") et je me suis laissé porté par le film est son ambiance. Nous sommes dans un énorme vaisseau spatial et deux membres d’équipage, le Lieutenant Payton et le Caporal Bower, se réveillent après un long séjour en hybernation. Totalement déboussolés, ils ont du mal à se souvenir de leur propre identité ainsi que de leur mission. Bower décident alors de partir en exploration afin de remettre en route les commandes et vérifier que le moteur nucléaire ne risque rien. Lors de ses recherches, il va découvrir que d’autres survivants sont présents mais que d’inquiétantes et hostiles créatures sont aussi sur le vaisseau... Je comprends mieux pourquoi Paul W.S. Anderson a tenu à produire ce film tant "Pandorum" me fait penser à l’un de ses premiers films : "Event Horizon" (et quel film !! Certainement son meilleur à ce jour…en même temps, vu ce qu’il fait depuis un moment, c’est plus que normal…). Oui, car "Pandorum", c’est un peu de "Event Horizon" pour l’ambiance claustro, avec un soupçon de "The Descent" pour les intrus et une pincée "Sunshine" pour le côté pychologique et mystico-philosophique. Un joli cocktail, n’est-il pas ? Mais le plus important, c’est qu’au final "Pandorum" ne se révèle absolument pas indigeste, bien au contraire : doté d’un visuel plus que soigné, avec une intrigue (qui joue beaucoup sur la psychologie des personnages) parfaitement maîtrisée et qui nous tient en haleine tout au long de cet excellent huis clos qui nous plonge dans un univers oppressant. La réalisation est sobre et trahit le manque cruel de moyens (à l’évidence "Pandorum" avait tout pour être un grand blockbuster SF !) mais Alvart réussit un véritable tour de force en faisant avec les moyens du bord en ayant le mérite de proposer de bonnes idées pour sortir du lot avec les honneurs. Oui car soyons franc : au départ, on n’attend pas grand-chose (voire rien du tout) de "Pandorum", et au final on tombe sur l’un des meilleurs films de SF horrifiques de ces dernières années, certes pas révolutionnaire mais bien foutu et prenant, notamment grâce à une atmosphère claustrophobe bien léchée, un scénario bien ficelé et à un dénouement surprise plutôt bienvenu (même si lors de ce dernier apparaît la seule et unique incohérence du film : spoiler: et les paliers de décompression bordel !!!
). Servi par la bonne prestation de tout le casting, surtout celles excellentes de Dennis Quaid et Ben Forster (un de ses meilleurs rôles à ce jour avec ceux de "Alpha Dog" et "Otage"), "Pandorum" est donc un bon film de SF hybride bien plus intelligent qu’il n’y paraît malgré la noirceur de son script et sa violence viscérale. D’après le scénariste, il s’agirait du premier volet d’une trilogie, pourquoi pas si c’est aussi bon que le premier !! Après tout, on a bien fait des suites à "Harry Potter", "Portés Disparus", "Rush Hour", "Paranormal Activity", "Resident Evil", "American Pie" ou "Twilight", alors pourquoi pas "Pandorum" ?

Ce film de science fiction est absolument parfait. Restent beaucoup de choses à améliorer.

À voir, certe Ridley scott ferai mieux, néanmoins, j'ai beaucoup apprécié ce film. la fin donne envie que cela continu. vivement une suite

film sympathique mais avec beaucoup de"codes"de films de sciences fictions que l'on a déjà vu mais une fin excellente et de"bon"méchants(bon trucages dignes d'alien)Dennis Quaid magnifique, Antje Traue très bon dans son rôle et Ben Foster est l'égal de Dennis Quaid dans ce film...pour les gens qui aiment bien les films de sciences fictions vous allez vous régaler et pour les autres aussi...

Une petite perle de SF... tout est bon, j'aurais préféré moins de longueurs, mais à part ça, la chute est énorme !

L'histoire est originale, ça fait plaisir à voir : tout tient très bien la route, et c'est crédible, réaliste, donc un vrai plaisir à voir. Le final est tout simplement grandiose. Bref, un bon moment de détente. Et ça fais plaisir de voir de la SF de temps en temps au cinoche !

Excellent film de sf, scénario très bon avec mutpiles rebondissements, pas prévisibles. On est pris d'un bout à l'autre. Le jeu d'acteur va bien. Ne craignez une réédition d'Alien et plongez tête baissée !!

Un film à la Alien / Planète des Singes moins bien réalisé mais excellent pour ce qui est du développement psychologique et du rendu dans le côté tourmenté des personnages
On se retrouve pris dans la tourmente à ne plus savoir où se trouve le vrai du faux et le bien du mal
C'est ce qui donne de l'originalité et de l'intérêt à la 2ème moitié de ce film après une impression de déjà vu dans la 1ère moitié

"Sunshine" en moins bête. Non, vous ne verrez pas les personnages faire erreur sur erreur et "aller dans la maison hantée ousque les péquenots y nous ont dit de pas aller mais qu'on y va quand même".
Bon, c'est vrai, il n'y pas de maison hantée dans l'espace...

Pandorum est un huis-clos spatial m'ayant fortement fait penser à Even Horizon et pour cause : Paul W.S Anderson et Jeremy Bolt en sont les producteurs. Pandorum lorgne aussi vers Ghosts of Mars de John Carpenter et à Dead Space. La série de jeux vidéo de Visceral Games sortie entre 2008 et 2013. Piégés dans ce vaisseau, subitement réveillés d'un sommeil profond, déjà on se demande qui sont cet ingénieur et son commandant, combien de temps ils ont dormi, en quelle année ils évoluent et s'il y a des survivants à bord. Pendant que le commandant reste au chaud au poste de pilotage, c'est l'ingénieur qui va se taper tout le boulot. Un point commun avec les jeux vidéo en général. Sur son chemin, il va rencontrer divers survivants avec qui il va cohabiter tant bien que mal. Bien qu'étant tous sur le même bateau, enfin sur le même vaisseau, chacun est méfiant et on les comprend : une horde de cannibales sont à leurs trousses. La vraie raison de leur présence à bord, l'origine des mutants, toutes les révélations et autres retournements de situation, iront crescendo. L'horreur et l'action aussi. Un mélange des genres, puisqu'il y a aussi la science-fiction, assez réussi même si le nom des producteurs peut faire peur. Il ne faut pas se laisser abuser.