Avis : Toy Boy - Page 2

Ashton Kutcher (qui coproduit le film) s’est-il inspiré de sa propre expérience pour incarner ce gigolo ? (rappelons qu’il vit depuis des années avec Demi Moore et ont tous deux 16 ans de différence !).
Toy Boy nous plonge au Coeur de Los Angeles, à la rencontre d’un jeune éphèbe qui ne vit que pour une chose, se faire entretenir par des quadragénaires friquées et célibataires.
Nourri et logé contre une partie de jambe en l’air, voilà de quoi se satisfait Nikki (et voilà de quoi il faudra que nous aussi on se satisfasse !). Scénario aussi mince que les anorexiques présentes dans le film, au final seules les femmes en auront pour leur argent, avec une heure trente d’Ashton Kutcher faisant le beau avec ses fringues typées « bobo du 16ème », nous on trouve le temps long !

Comédie romantique pas si conventionnelle que l'on pourrait le croire. Assez érotique et noire, ce film aurait pu tiré son épingle du jeu mais il manque clairement de rythme et de rebondissements. On évite ici pour une fois la "happy end" classique, mais pour une pseudo-morale assez ratée au final. (2/10)

Film sans scénario. Ennuyant. Je ne sais pas vraiment quoi dire -.^

c'est un film porno!!! je suis deçu moi qui apprecier ashton kutcher je le voyais pas dans un film aussi degradant.

Un film au fond du gouffre ! sans commentaire ....

une description féroce de l'homme objet, dans un monde fait d'apparences et de luxure. c'est sans compter sur le côté forcément éphémère de la beauté et la possibilité de trouver l'amour sans l'avoir envisagé. un film plaisant, qui a besoin de tout l'aspect superficiel et parfois cru pour fonctionner.

Petit bijoux. Vu comme une comédie alors que le sujet ne prête pas du tout à rire, donc pour ma part il rentre dans une comédie dramatique. L'environnement ? Soleil, richesse, nanas qui s'entretiennent dans l'obsession physique. Toy Boy c'est la dure réalité de l'insertion sociale, des choix que l'on se donne et dont on doit faire face sur les rencontres. Sexualité, amour, réussite. Tout ça pour que Toy Boy vous offre ou devrais-je dire vous laisse un gout sombre et il vous reste plus qu'à suivre les cours des évènements. La vie continue il faut s'y faire. On dit souvent "on ne peut mener une vie sans rêves", et bien parfois vaut mieux se dire que vous serez jamais prince même si vous êtes gentil, si vous évoluez dans le bien pour votre vie afin de rendre vôtre aimée heureuse et vous également, rien n'y fera. Asthon Kutcher réellement au mieux de lui-même, c'est le sex toy pensif et méthodiquement rebelle (il encaisse vagin sur vagin), quand à Anne Heche, jamais vu aussi sex et femme, sans oublier une fois de plus le rôle tendre et vif de Margarita Levieva.

Histoire d'amour désenchantée, destin meurtri, Toy Boy est bien plus qu'il n'en a l'air. Il ne s'agit pas d'une comédie potache pour ado, mais bien d'une chronique d'un jeune paumé vivant le rêve américain autant que faire se peut, et finissant comme beaucoup, parmi les « 30 000 coeurs brisés ». les scènes hot ne sont qu'un argument de vente, mais sont justifiées.

La bonne surprise de l'été , en effet! Film noir sous le vernis et la dorure,Toy boy surprend. Avec un Ashton somptueux oui, c'est le mot et très bon acteur ce que j'ignorais , n'étant pas très fan de comédies.

Un comédie romantique qui démarre sur le chapeau de route et tout le long de histoire aussi vraiment un film très apprécié de ma part

Ridicule, vulgaire, mal joué, complètement nul, mais rien d'étonnant puisque c'est Ashton Kutcher l'acteur principal.

On s'attend à une comédie sentimentale de base déjàa vu, un beau gosse baise et joue les gigolos car c'est un gros faineant qui aime le luxe... Et bien sur il va trouver l'amour ! L'originalité du film réside dans le piège qu'il tend aux spectateurs, car non ce n'est pas une pure comédie, au milieu du film on commence à voir que la fin ne sera sans doute pas celle qu'on croit. L'idée de l'arroseur arrosé est bonne même si on devine que le réalisateur ne sait pas toujours sur quel pied danser (comédie pure ou satire). Le gros défaut du film est sans aucun doute ses dialogues, était-il si nécessaire d'être aussi vulgaire ?! Peu d'inspiration en plus, parfait pour agresser nos oreilles.

Vu par hasard (attirée par le pire photomontage connu jusque-là, sur l'affiche... L'ensemble "tête et lunettes" de ce qui doit ressembler à Ashton Kutcher, après dix verres de whisky, me fera toujours mourir de rire). Et déçue. Cette comédie a quelques points forts, à commencer par les scènes de nu qui croustillent pour qui les aime, et une fin réaliste qui évite la niaiserie (très bon point). Mais on ne voit rapidement plus l'intérêt du film, à part baver sur Kutcher : toujours les mêmes scènes en boucle, des gags peu drôles, une romance qu'on voit s'écrouler avant même qu'elle ne commence (difficilement), et une dernière image très bizarre avant le générique (le crapaud qui avale à moitié une souris et la régurgite durant tout le générique... Franchement cela peut mettre mal à l'aise certains spectateurs. Surtout qu'on ne voit pas trop l'intérêt de cette métaphore dans le film...). Le personnage de Kutcher ne nous est jamais sympathique, à tel point qu'on s'exclame "bien fait" à chaque coup dur qu'il prend... Ça n'est donc pas un personnage réussi, d'autant plus que l'acteur ne semble pas trop se fouler (roule juste des mécaniques et regard langoureux). Un film qui ne sait pas comment se renouveler, et se répète jusqu'à une fin réussie, mise à part le crapaud... L'affiche immonde est beaucoup plus drôle que le film.

Le rôle prévisible du beau gosse briseur de coeurs qui fait des ravages à Los Angeles. Bref tout est attendu, beaucoup de sexe et de nanas toutes nues, mais il faut l'avouer : on ne peut rester insensible au charme de l'acteur.

C’était culotté et faire preuve de beaucoup d’autodérision pour Ashton Kutcher de tourner dans un film le sujet faisait écho à ce qui était sa situation amoureuse de l’époque (petit ami de Demi Moore de 14 ans son aîné pour ceux qui seraient passés à côté de cette histoire très médiatique). Toute la partie du film où il est dans les bras de Anne Heche en est d’ailleurs le plus parlant des rappels. Alors le film lui-même s’attaque à un sujet peu usité au cinéma, une sorte de prostitution masculine qui ne dit pas son nom et qui jusque là est encore le triste apanage des femmes. Niki est donc un gigolo qui « chasse » la riche célibataire, un peu mûre de préférence, pour gagner sa vie sous forme d’avantages en nature. Le film se divise en deux parties, la première constituant une étude du mode de vie de notre bellâtre où on voit ce dernier profiter de l’aisance matérielle de Samantha en échange de faveur intimes et d’un peu d’attention. Dans la seconde partie on assiste à l’inévitable remise en cause de ce mode de vie sous forme de l’obligatoire rencontre avec la fille, forcément exceptionnelle, qui va faire battre le cœur de notre héros ; s’en suit la chute du paradis vers les bas fonds matériels et relationnels pour notre séducteur. Si le film reste très longtemps prévisible, il se permet au dernier moment de faire preuve sinon d’originalité d’un sursaut de fierté en nous épargnant le happy-end. Même si le sujet est peu paraître graveleux le film sous sa forme de comédie douce-amère arrondit les angles pour en faire un sujet presque tout public et il évite même soigneusement de verser dans un quelconque dénonciation de la solitude de la femme qui travaille ou de l’errance de tous ces jeunes aux physiques avantageux qui voient leurs espoirs s’effondrer devant la dureté de la vie dans la Cité des Anges. Ashton Kutcher reste dans sa zone de confort en jouant encore un rôle de jeune premier et son passage du gigolo cynique au mec en quête de l’amour peut sembler un peu rapide (la scène du club de striptease en est d’ailleurs symptomatique). En somme un film agréable qui ne fait pas de vague et qui laissera à peine un souvenir fade à ce qui l’ont vu ; à réserver aux fans d’Ashton en fait.