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Kurosawa
524 abonnés
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3,5
Publiée le 8 septembre 2013
Gilles Grangier réunit deux monuments du cinéma français ( Bourvil-Fernandel) dans "La Cuisine au beurre", comédie irrésistible où les gags de haute volée s'enchainent à une allure folle. Le comique de ce film fonctionne surtout sur un maniement astucieux des clichés. On jubile, par exemple, devant les mémorables parties de pétanque, et particulièrement devant un Fernandel en fin donneur de leçons. Les allusions à la sieste, la pêche ou encore la difficulté à se mettre au travail sont aussi savoureuses. En ce qui concerne le scenario, il n'est pas aussi recherché que l'idée de départ. Mais l'absence de vraies péripéties s'oublie vite, grâce notamment à des comédiens exceptionnels et à une écriture sensationnelle qui portent véritablement le film.
Comédie culte qui propose la rencontre entre deux monstres sacrées du cinoche à la française : Fernandel-Bourvil. Cette savoureuse "Cuisine au Beurre" saura vous faire passer une agréable soirée.... Très drôle !
Comédie culte qui propose la rencontre entre deux monstres sacrées du cinoche à la française : Fernandel-Bourvil. Cette savoureuse "Cuisine au Beurre" saura vous faire passer une agréable soirée.... Très drôle !
Ce film vaut surtout pour le face a face Fernandel/Bourvil.... Mais la cuisine n'est guère digeste.... Fernandel et Bourvil effectuent leurs numéros et ne font aucun duo... A voir au moins une fois.
Ce film est plutôt pas mal avec un duo que on a tous rever de voir un jour réunis Fernandel et Bourvil dans une comédie dans laquelle et ils sont appeler par leur vraie prenom (André Bourvil ) et (Fernand pour Fernandel ) les situation sont drole et le sourire de Fernandel et magnifiques il nous apporte de la lumière. Et sont rire et comme celui de Omar Sy communicatif. une histoire loufoque mais qui pourrais être réelle
Très bon film .. on sent juste la vraie personnalité de Fernandel qui , même dans l'histoire , cherche à tout prix à supplanter Bourvil , à tout ramener à lui.
Il était impensable de ne pas réunir dans un même film deux des grandes vedettes comiques du cinéma français. Encore fallait-il ne pas s'en tenir là et imaginer pour Fernandel et Bourvil une comédie à la hauteur de leur talent. La scène emblématique du film restera ce fou rire complice entre les deux acteurs, incarnant deux restaurateurs, moment pourtant bien dérisoire et filmé ostensiblement. Le film de Grangier est l'oeuvre de quatre scénaristes dont la création échappe de peu au nanar. Etait-ce bien utile d'être autant pour écrire ce simili de comédie provençale, ses accents chantants, ses parties de boules et ses clichés? Le sujet part d'un imbroglio administratif quand Jouvin (Fernandel), porté disparu depuis la guerre, revient au bercail et trouve sa femme remariée avec André (Bourvil, donc). Jouvin prétend faire valoir ses droits et évincer André. Commence alors une rivalité bon enfant entre le spécialiste de la bouillabaisse et le chef normand. Les deux personnages sont ternes et les auteurs n'ont pas su mettre l'accent sur leur contraste, culturel ou humain. C'était pourtant le seul moyen de donner un sens à cette comédie qui, dès lors, se contente d'une vague situation vaudevillesque au coeur de laquelle chacun des deux acteurs fait un petit numéro stérile, sans matière.
Une comédie réjouissante de Gilles Grangier datant du début des années 60 qui réunissait un duo d'acteurs qui s'éclatent, Fernandel et Bourvil !! Fernand, un disparu de la seconde guerre mondiale qui était en faite 13 ans avec une maitresse Autrichienne, revient en France retrouvé sa femme et son restaurant mais les choses ont changé, elle s'est marié avec un cuisinier Normand qui a repris le flambeau qui s'appelle André. Fernand fait croire qu'il était prisonnier en Sibérie et sera bienvenue chez ses amis Marseillais mais posera un petit problème de papier au nouveau couple, quoique au fil de l'histoire, André va sympathisé avec Fernand. Quand j'ai lu la petite phrase du "TV Magazine" que je reçois à l'hebdomadaire que le film est une déception, il ferait mieux de changer de lunettes. Au contraire, j'ai beaucoup rigolé devant ce film qui offre un bon moment de distraction, surtout les fous rires quand ils se marmonnent à l'oreille entre Bourvil et Fernandel, c'est du grand jeux d'acteurs. Il y a aussi dans un role secondaire quelqu'un qui a bien grandit dans le cinéma, Michel Galabru. Sympathique et drole.
Grand classique réunissant deux acteurs de légende et traitant d'un sujet de droit très intéressant: l'absence juridique. Fernand disparu (soit-disant) en captivité revient après dix ans d'absence et retrouve son restaurant tenu par le nouveau mari de sa femme (André). Au sens légal, qui est le vrai mari? À l'époque, c'était le premier: Fernand. Ce dernier va, dés lors, s'imposer et semer la zizanie dans le couple que forme André et son « ex »-femme. C'est toujours avec joie que l'on ressort ce film pour retrouver les deux acteurs en parfaite symbiose car, même si le scénario pouvait laisser croire qu'ils allaient se détester, très vite, la rivalité laisse place à la camaraderie. Ils pourront s'en payer des tranches de rire... et nous aussi! Une prouesse d'acteurs qui donne une leçon à ceux d'aujourd'hui. Gilles Grangier, un des plus grands réalisateurs de l'époque, a su trouver la simplicité adéquate avec laquelle le sujet devait être traité ici. Un film à redécouvrir autant de fois que possible car il partage sa bonne humeur gratuitement!
Petit film agréable à suivre, puisque l'on retrouve deux monstres sacrés du cinema face à face, en fin de carrière. Quelques scènes savoureuses, notamment lorsque Fernandel apprend ce que Bourvil pense de son ancien restaurant, cela donne droit à quelques grimaces comme seul lui sait les faire. Après, le film s'épuise assez rapidement tout de même.