Avis : Terriens - Page 3

Un documentaire d'une puissance et d'une justesse incroyables. Le travail de fond est impressionnant. Très bien monté et marquant, ce film devrait être diffusé dans tous les lycées de France et à échelle mondiale (rien que ça!)
L'argumentaire, simple, logique, redoutablement efficace, est sourcé et crédible.
L'ignorance, l'inconscience et l'indifférence sont taclés par une réalité violente qui questionne.
Chaque prise de conscience compte. À diffuser largement.

Voici un document ultra choquant.
L'un des plus choquants que je n'est jamais vu.
Pour une fois, mieu vaut se fier a l'avertissement en début de film.
Tout les avertissements du monde seront insuffisant.
Dans se film, vous ètes plongées dans la violence et la bétise humaine.
Ce film n'est pas fait pour devenir végétariens, mais simplement pour ouvrir les yeux!!!!!
Malheureusement, ce film a été beaucoup critiqué pour la généralisation sur les abattoirs.
Ainsi que pour la comparaison à l'holocoste juif.
En cocnclusion, ne prenez pas pour argent content tous se qui est montré.
C'est avant tout un film créé dans l'objectif de choqué, l'utilisation de données erronnés est donc usuels.

Il en est de l'horreur comme du reste, les amateurs en demandent et en redemandent. La question pourrait donc être : Quand donc le stade de l'overdose sera-t-il atteint ? Pour ceux qu'une telle échéance inquiéteraient, qu'ils se rassurent : maintenant que nous savons que certains végétaux nourrissent leur progéniture, un nouveau champ d'indignation leur est promis, qu'ils pourront abreuver de leur compassion jusqu'à en mourir ; d’inanition autant que de chagrin, en végétariens derniers survivants de l'espèce humaine, privés de toute nourriture.

Le titre de ce film aurait aussi bien pu être "Super Mondo Cane" (pour ceux qui ont connu), bien qu'il mette spécialement l'accent sur les dérives de la chaîne alimentaire du premier des prédateurs de la planète, soulignant sa cruauté naturelle – laquelle lui permet au demeurant de faire beaucoup mieux –, avec mise en scène des tares ou de la folie de certains de ses représentants, qu'ils soient individus (bouchers, éleveurs, transporteurs, ...sans oublier le consommateur, complice plus ou moins conscient) ou groupes allant des gourmands de viande de baleines bonasses ou de gentils dauphins, aux amateurs de fourrure de ces si attendrissants bébés phoques).

Il reste à ceux qui se nourrissent comme la nature le leur a appris, à faire un film des pratiques, méthodes et outils employés par des professionnels dignes de ce nom et non par des malades. Il y aurait probablement autant de bénéfice à tirer d'une présentation de l'exemple à suivre que des agissements des plus sauvages ou des plus gravement atteints d'entre nous tous, sachant que le sang reste du sang, des tripes de la tripaille et de la merde de la merde, ni belle à voir ni agréable à sentir.

Hypocrisie ou simple ignorance ? Il semble en tout cas qu'une fois de plus la cause ne soit pas la bonne. Il est un autre sujet d'indignation, essentiel, fondamental, prioritaire celui-là : le nombre. Comment en effet apprendre à 7 milliards d'individus, et aux 250 000 qui s'y ajoutent quotidiennement, à dominer leurs instincts, leurs pulsions les plus brutales. Voir à ce sujet : http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com