Avis : Lone Ranger, Naissance d'un héros - Page 9

On aura beaucoup entendu parler de "Lone Ranger" avant même sa sortie. Pour son budget de 250 millions de dollars. Pour les retrouvailles du quatuor Depp/Verbinski/Bruckheimer/Zimmer après le triomphe des différents Pirates des Caraïbes. Pour cette promesse de serial d'antan au milieu d'un cadre typiquement western. Si ce blockbuster estival n'est pas aussi mauvais que les critiques américaines le disent,il souffre tout de même de tares irrémédiables. Il y a un sérieux problème de rythme qui donne aux intermèdes entre deux cascades sur un train,des allures de remplissage. Et pourquoi n'avoir pas taillé dans le gras pour éviter la demi-heure de trop? Quant à la promotion,elle est trompeuse. Si Johnny Depp est mis en avant(marquant par son maquillage d'indien co manche,beaucoup moins par son jeu outré devenu marque de fabrique),c'est Armie Hammer qui est le véritable héros de cette histoire en justicier masqué sur son cheval blanc. Quant à Helena Bonham Carter,elle apparaît montre en main 7 ou 8 minutes dans le film... Mais puisque tout n'est pas noir,il faut aussi reconnaître le sadisme jubilatoire de William Fichtner en grand vilain,et le grotesque assumé de l'ensemble. Bien maigre.

Cette version cinématographique de la célèbre série à succès des années trente, est loin d’être le pire film de l'année 2013. Les américains n'ont pas beaucoup appréciés ce film, il l'ont carrément descendus. Certes, le public français n'est pas de cette avis. " Lone Ranger : naissance d'un héro " est un bon divertissement. Gore Verbinski signe un western pleins de charmes, d'humour noire bien ficelé, qui s'impose comme un divertissement au souffle épique. Une comédie très bien mise en scène, avec des scènes d’actions parfois hallucinantes et un récit mené à un rythme efficace. Johnny Depp , Armie Hammer et Helena Boham Carter sont excellent. Un bon blockbuster.

Après l'incontournable saga "Pirates des caraïbes", le magnifique et immersif film d'animation "Rango", Gore Verbinski s'oriente vers un genre qui le fascine visiblement : le western. Et que dire? C'est tout simplement à couper le souffle. La mise en scène est exceptionnelle. Des séquences filmées avec audace, qui en envoie plein la figure et permet aux protagonistes d'évoluer au sein de décors de toute beauté. Si quelques phases narratives viennent parfois rompre la dynamique de l'ensemble, le réalisateur redresse aussitôt le tir et nous enferme dans son univers pendant deux heures trente. La bande originale de Hans Zimmer rend hommage aux musiques d'antan, alliant des perles, des compositions de haute facture, tout en illustrant l'époque par des reprises parfaitement réutilisées. Le casting est, de toute évidence, de rare qualité. Chaque personnage trouve sa place, suit son chemin. Johnny Depp est, une nouvelle fois, l'argument essentiel. Il ne se contente pas d'une fade copie de Jack Sparrow mais s'intronise en indien solitaire de la plus belle des façons. Sans parler, il communique. Sa gestuelle, ses mimiques, son regard fou, suffisent à crédibiliser Tonto. Verbinski offre une épique aventure, rythmée. Là où beaucoup d'autres se seraient contentés d'un banal blockbuster, il rend l'aventure beaucoup plus personnelle et intime qu'elle ne le parait et élargit les perspectives d'interprétation. Aussi on peut y voir un divertissement de qualité, mais également l'hymne d'un cinéaste passionné par un genre. Et, clairement, quoiqu'en disent les critiques, "The lone ranger" marquera vos esprits. Pour ma part, c'est l'indiscutable surprise de l'été.

Très bon film de la firme d'animation Disney ! Cependant pour un Disney c'est un peu limite sur certaines scènes... Johnny Depp joue un rôle qui lui va bien et un humour proche de la saga Pirates des caraïbes ! Je le conseille fortement !

Pirates des caraïbes à la sauce western, c'est certes assez prévisible mais le tout reste tout de même plaisant. Le film fonctionne bien grâce à un bon mélange entre action et humour (un cocktail propre à Disney), des décors splendides et une belle brochette d'acteurs, la palme revenant une nouvelle fois à Johnny Depp, irrésistible indien Tonto.

Je ne comprends pas comment ce film peut avoir une note spectateurs aussi élevée. Il est mauvais ! Il n'y a aucune trace ni de scénario, ni de jeu d'acteur, ni de cohérence. À une époque où le racisme et la catégorisation des peuples est de plus en plus mal vue, on a ici un défilé d'idées-reçues ridicules et de situations grotesques. Encore un navet qui prouve que sans Pixar pour sauver la mise, Disney est mort.

Je m'attendais à voir un énième film trépident et sans intérêt. Alors que Lone Ranger pourrait avoir été realisé par Terry Gilliam!! C'est loufoque, déjanté, imaginatif... Vraiment dommage que le public n'ait pas suivit.

Verbinski nous fait un « Pirate des Caraïbes » à la sauce « Wild Wild West », et bien sûr le résultat est catastrophique. On s'ennuie ferme dans ce Western super-héroïque qui cherche tellement à se situer sur toutes les tranches d'âge possibles qu'il en devient vite insupportable. Humour de « buddy movie » (avec un Johhny Depp en roue libre qui nous ressort ses mimiques de Jack Sparrow), déballage d'effets spéciaux démesurés (mais souvent laids), nostalgie de la conquête de l'Ouest sans saveur; et violence tellement incongrue qu'elle parait sortir d'un autre film. Assommant de bout en bout.

Le majeur problème de cette grosse production est d'être un peu longuette (2h30, il faut que ça soit justifié...). Malgré les nombreuses scènes d'action, j'ai trouvé qu'il se traînait pas mal... Verbinski a un peu fait un fourre-tout des ingrédients clés qui caricaturent le bon western (un méchant à la gueule cassée : Butch Cavendish (qui n'est pas sans rappeler Butch Cassidy), un minerai convoité, des indiens ennemis de la Nation, des trains à vapeur, des chevaux, des batailles de flingues, une histoire d'amour édulcorée, des canyons, des embuscades... et j'en passe). Mais contre toute attente, le film passe très bien. Les scènes d'action sont ultra travaillées, et les effets spéciaux sont bluffants (notamment quand Lone Ranger est sur le cheval, on alterne les images réelles et les images de synthèse de façon incroyable sans que ça se voit). Les deux acteurs principaux sont bons : Johnny Depp campe un Tonto parfait, toujours les bonnes mimiques et la bonne gestuelle pour donner de l'humour au film, et il le fait toujours avec la même aisance, et Armie Hammer qui se tient bien à son rôle, sans en faire trop ou trop peu. Quant à ceux qui ont peur de la patte Disney, évidement on la sent ( spoiler: surtout avec le gamin qui écoute l'histoire de Tonto
) mais c'est osé et franchement dégueulasse (toujours suggéré plutôt que montré, il faut pas pousser le vice) à certains moments, donc faut pas rechigner à y aller à cause de ça). J'ai vu le film en VF malheureusement, je pensais qu'il serait bien étant donné que le doubleur français de Depp est quand même très bon habituellement, mais là c'était surjoué au possible, l'indien complètement caricaturé, un peu à la "moi Tarzan, toi Jane"... Mais bon, un très bon moment, un bon blockbuster pour cet été, ça se regarde avec plaisir !

Après l'énorme succès de la franchise «Pirates des Caraïbes», notamment le quatrième volet qui avait raflé plus d'un milliard de dollars, il était quasi obligé que Disney allait nous resservir un film de la même trempe, remettant en scène un certain Johnny Depp. Produit par Jerry Bruckheimer et réalisé par Gore Verbinski, «Lone Ranger : naissance d'un héros» est l'adaptation survitaminée des aventures d'un personnage apparu dans un feuilleton radiophonique écrit par Fran Striker en 1933, puis dans une série télévisée de 1949 à 1957. Le film met donc en scène Tonto, indien taciturne et cynique, désormais vieillard exposée dans un musée, qui raconte à un jeune garçon les aventures extraordinaires de son partenaire, Lone Ranger. De son vrai nom John Reid, le justicier masqué se lance, après avoir miraculeusement survécu à une embuscade tendue par le criminel Butch Cavendish, à la poursuite de ses assaillants avec Tonto à ses côtés. Le duo remonte la piste jusqu'au hors-la-loi, et dévoile du même coup un complot beaucoup plus grave impliquant des responsables du chemin de fer. Le Lone Ranger s'applique aussi à protéger la veuve de son frère, Rebecca, et son neveu, qui seront la cible de ces bandits sans scrupules... Sorte de western familial à gros budget, l'histoire est truffée de péripéties qui répond à tous les codes du genre : paysages à couper le souffle, patronne de maison close au coeur d’or, train lancé à grande vitesse, bagarres, alcool à gogo, défense de la veuve et de l’orphelin, et, surtout, de l'action à gogo ! Blockbuster à gros budget, le film nous propose un casting hollywoodien quatre étoiles réunissant l'excellent Johnny Depp plus déjanté que jamais qui ôte son chapeau de Jack Sparrow pour se mettre un oiseau mort sur la tête, le bon Armie Hammer en héros pas très viril et parfois lourdingue, l'excellent William Fichtner avec sa gueule de vautour, le très bon Barry Pepper ainsi que Helena Bonham Carter bien trop sous-exploitée. L’humour, omniprésent, est d’une étrangeté surprenante, et répond avec délicatesse à la mélancolie qui imprègne tout le film. Derrière la caméra nous retrouvons Gore Verbinski nous plonge dans un univers familier, celui du western mais y insuffle un nouveau traitement, celui des productions épique Bruckheimer. Les décors et les plans sont de toute beauté, ils constituent l'un des point forts du film. «Lone Ranger», c’est deux heures trente de sable fin dans des paysages désertiques aux résonances mythiques, des reconstitutions sidérantes de saloons et de villages du Grand Ouest à l’époque de l’irrésistible mouvement vers l’Ouest des chercheurs d’or et de la construction des voies ferroviaires au milieu du néant de poussière. Gore Verbinski retranscrit à la perfection l'époque du Western, un de ses premiers amours comme le démontre son précédent film "Rango", en nous proposant des décors et des costumes travaillés qui nous renvoient à cette époque. La mise en scène est très ingénieuse et soignée aux petits oignons, les scènes d'actions sont spectaculaires, tout comme les effets spéciaux, on retiendra notamment la scène finale du train qui est l'une des plus épique et jouissive de tous les films que j'ai pu visionner. Petite déception, la plupart des scènes d'actions sont dans la bande annonce, dommage. Le film est tout de même très violent, avec une petite pointe de cannibalisme, très osé pour une production Disney, cette fois axé vers un public plus âgé. L’intrigue se déroule avec son rythme, sans aucune longueur durant les deux heures trente de bobine. Ainsi, «Lone Ranger» est un excellent divertissement jouissif, visuellement magnifique, indéniablement LE blockbuster de l'été !

J'attendais pas grand chose de ce film, il ne me tentait pas spécialement mais honnêtement j'étais vraiment surpris ! Le duo en tête est juste énorme et hilarant, Depp est comme d'habitude à fond dans son personnage, aussi excentrique que ses autres rôles. La bande son est entêtante et le rythme est parfaitement géré, puis le scénario n'est pas mal du tout avec un twist final plutôt intéressant.

Un western réalisé par Gore Verbinski, avec Johnny Depp en indien solitaire, ça sent le blockbuster à l'humour décalé et aux scènes d'actions surprenantes. Et le fameux duo de "Pirates des Caraïbes" répond seulement à moitié à nos attentes. En effet, si l'association Depp-Hammer fonctionne, ce n'est pas grâce au premier nommé. La superstar hollywoodienne devient vraiment paresseuse avec des grimaces usées à la corde (quelques mimiques tout de même bien vues) et des répliques pas toujours inspirées. Quant à l'histoire même, elle est très convenue, mise en scène à la fois de façon étrange (quelques plans accélérés dignes d'une publicité) et soignée (gros travail sur la lumière appréciable). Et si une certaine déception est bien présente devant un rythme plutôt mollasson, on se réjouit d'une dernière heure survoltée, où les péripéties s’enchaînent à grande vitesse, avec même quelques beaux moments d'émotion. "Lone Ranger" n'est donc pas la grande aventure espérée, mais reste un divertissement de qualité.

Qualifié de "Pirates des Caraïbes 2.0 au Far West" par les critiques aussi bien positives que négatives à sa sortie en 2013, Lone Ranger: Naissance d'un héros est un film que j'avais loupé au cinéma, (l'été 2013 ayant été particulièrement chargé entre Montres Academy, Perçy Jackson 2, Kick Ass 2 et j'en passe...) que j'avais cependant hâte de découvrir étant donné mon adoration pour la saga Pirates des Caraïbes ( oui, les 4). Cette nouvelle production de Gore Verbinsky en porte justement la signature évidente.
Avec Lone Ranger, Verbinsky nous emmène dans une grande aventure à la conquête de l'ouest, au parfum des bons vieux Westerns (dont il doit surement être fan), nous suivons les aventures de Tonto, un Indien "peau rouge" faisant équipe avec John Reid, frère cadet d'un grand Shérif et un grand sens de la justice dans l'âme...que Tonto prend pour la réincarnation d'un esprit puissant. Les deux que tout oppose devront coopérer pour espérer empêcher une guerre qui semble pourtant imminente entre leurs camps respectives et faire entendre la vérité sur les machinations que cache ce conflit. Voilà pour le pitch global. Et que dire ? ...Ce film je l'attendais, j'avais d'assez grandes attentes au vue des nombreux parallèles fait avec Pirates des Caraïbes, j'en espérait un divertissement spectaculaire plein d'action...pour finalement après visionnage, un résultat en demi teinte. Je ne sais pas trop comment, sous quel angle prendre ce film ? A choisir je pense plus à la volonté de rendre hommage aux films de cowboys/Indiens , néanmoins je ne peux m'empêcher de songer à un pur et simple manque d'originalité doublé d'un laissé aller à la fainéantise d'un Verbinsky qui semble avoir céder plus à la facilité qu'autre chose. Pourquoi je dis ça ? Simplement parce qu'à mes yeux, Lone Ranger se résume à un gloubiboulga d'action et d'aventure tout cuit synthétisant les 2 productions phares du réalisateurs: Pirates des Caraïbes et Rango (pour rappel un film d'animation avec un lézard anti héros qui va devenir un grand héros de l'ouest....ben tient ^^). Donc, difficile de percevoir l'originalité de ce nouveau long métrage. Par étapes, d'abords, un point sur le scénario: Lone Ranger ne réinvente rien de ce côté là, utilisant la recette à succès typiquement Verbinskienne à savoir une aventure menée par un duo improbable en tête d'affiche (j'y viendrais plus tard aux personnages). Le film est très codifié dans le genre, on retrouve tous les ingrédients à succès du genre mais là encore c'est pas ça qui dérange car le cahier des charges est remplie niveau batailles sur le train, scènes de saloon, séquences de grandes explorations dans le désert, histoires de banque ect. Ce qui frêne c'est surtout la longueurs, franchement, les 2h30 n'étaient pas forcément utiles. On a souvent l'impression que le réalisateur tire sur la corde pour étendre au maximum son récit et en conséquence, c'est assez mal rythmé, d'une manière générale ça manque cruellement de dynamisme, c'est long, l'histoire met un peu de temps à démarrer, les scènes d'actions se font attendre (genre le truc qui m'a le plus dérangé je dirais que c'est surtout spoiler: la "guerre" (si l'on peut appeler ça comme ça) entre cowboys et indiens, on nous fait monter la pression au cours du film, insistant sur la gravité du massacre à venir...pour l'éclipser en 5 minutes, sans rire
) et certaines séquences sont (disons le franchement): vides !
Mais me faîtes pas dire ce que j'ai pas dit, malgré tout le divertissement est bel et bien là, pas d'inquiétude !
Sur l'aspect visuel c'est très bien, les décors mettent direct dans l'ambiance de l'ouest, en plus on peut compter sur la très belle musique d'Hans Zimmer à la composition, elle colle parfaitement. On a droit à des plans vraiment exquis des grands canyons, ça nous donne vraiment envie à nous spectateurs de monter en selle et de prendre part à cette aventure.
Les personnages...à la fois un point fort et un point faible du film à mon avis, bien entendu Tonto en premier, guerrier indien solitaire n'ayant plus toute sa tête, interprété merveilleusement bien par le grand Johnny Depp, il a vraiment un don pour les personnages déboussolés, ce genre de rôle lui colle à la peau et comme avec Jack Sparrow, on ne peut que rire de ses mimiques hilarantes. Sans être une révélation, Tonto constitue quand même une bonne raison à lui tout seul de se lancer dans le visionnage. Evidemment, son personnage est loin d'être recherché aussi bien sur le profil physique (il ressemble comme 2 goûtes d'eau au capitaine du Black Pearl...qui plus est il a un cadavre d'oiseau sur la tête...ce qui peut directement être interprété comme un clin d'oeil à Jack vu que "sparrow" signifie moineau) que dans l'attitude "à l'ouest" (c'est le cas de le dire xd x) ) qu'il aborde. Malgré tout on ne se lasse pas de ses traits de caractère déjà vu tant l'humour nous gagna toujours. Son personnage se révélera par surprise très poignant et on aura facilement pitié de lui. spoiler: Son histoire est beaucoup plus tragique qu'elle en a l'air: lorsqu'il était enfant, Tonto a sauvé la vie de deux hommes qui étaient à l'agonie dans le désert. Une fois les deux hommes rétablis, ils passèrent un accord basé sur un échange: une montre contre l'emplacement d'un minerais rare très convoité. Cet échange coûta la vie au peuple indien. A partir de là, Tonto jure de se venger de ce qu'il voit comme des esprits pervertis.
John Reid alias le "Lone Ranger", bof bof comme personnage, pas tellement l'étoffe d'un héros contrairement à Tonto. Un Zorro au chapeau blanc assez rabat joie, ses motivations sont basique,s à savoir: spoiler: venger l'assassinat de son grand frère
. L'alchimie qu'il forme avec Tonto met un certain temps avant de parvenir à convaincre mais le résultat au final arrive à l'être. On a aussi "Red", interprétée par Helena Bonham Carter (inséparable de Johnny même sans Burton à la réalisation^^), femme de saloon bien badasse mais qui a trop peu d'importance dans le récit à mes yeux, pas assez de scènes avec elles, fort dommage.
Plus grand chose à dire, bilan: Lone Ranger: la naissance d'un héros est pour ma part une déception, je vais pas le cacher, je m'attendais à plus de la part du réalisateur de Pirates des Caraïbes. Une synthèse de PDC remixée à Rango, Verbinsky préfère visiblement se complaire dans ce qu'il a déjà exploré plutôt que de tenter quelque chose de novateur c'est dommage. Néanmoins, n'en trions pas un bilan trop sévère non plus, ça reste un divertissement honnête et de bonne facture, les amateurs de Westerns aimeront...et juste pour voir Johnny Depp en Indien ça vaut quand même le coup ! 13/20

Lone Ranger, un super western moderne. Le renouveau de Disney.

Ce western à gros budget, qui raconte l'alliance d'un indien pas comme les autres et d'un ranger idéaliste dans le but de se venger et de faire régner l'ordre au Far West, est un bon divertissement. Certes, le film est inégal, mais le scénario est plutôt bien ficelé, l'entrain des acteurs est assez communicatif et Gore Verbinski nous montre tout le savoir-faire de sa mise en scène, en particulier dans les époustouflantes scènes d'action, qui procurent le même plaisir jouissif que celles d' "Avengers". Bref, un film tout à fait honorable, à défaut d'être inoubliable.