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    Persécution
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    136 critiques spectateurs

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    benoitG80
    benoitG80

    3 313 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 décembre 2009
    A la base des ingrédients intéressants et pourtant au final, l'ensemble ne prend pas... Ce film ne semble pas se construire, la faute sans doute à une totale incompréhension de la part du spectateur de cette souffrance trimbalée par l'ensemble des personnages tout particulièrement chez Romain Duris. Ce mal de vivre omniprésent est très déroutant car aucune clé ne nous est donnée pour le comprendre et l'analyser. De ce fait, Romain Duris à vouloir trop bien faire en devient finalement dérangeant par son jeu trop appuyé et presque gratuit. La relation torturée qui unit et divise ces personnages semble alors excessive et difficile à croire...
    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 décembre 2009
    Du très grand Chéreau : c'est à dire, une caricature de lui-même et de ses problèmes toujours pas reglés et franchement vieillots par rapport à l'homosexualité ! pourquoi ne pas laisser la place à des jeunes réalisateurs au lieu de faire des films gauche-caviar pseudo-intellos juste pour faire la promo sur arte et canal ? ça doit aider à se sentir vivants, j'imagine...
    cineccita
    cineccita

    39 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2009
    C'est théâtral c'est du Chéreau et ça n'a ni queue ni tête. Romain Duris sauve un peu le film. On est déçus dans l'ensemble.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    93 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 novembre 2012
    A part "La reine Margot", je ne connaissais pas le cinéma de Patrice Chéreau et avec "Persécution", c'est une nouvelle fois que j'aie l'impression de ne pas faire partie de son publique. C'est le sujet et le casting qui m'ont donné envie de le voir mais heureusement qu'il n'est pas très long car j'ai décroché plus d'une fois. Je n'ai vraiment pas compris l'étrange relation entre Romain Duris et Charlotte Gainsbourg au détriment de celle avec Jean-Hugues Anglade qui m'a beaucoup amusée. Côté réalisation, c'est pas trop mal fait bien que tout en caméra à l'épaule un peu pesante et une musique bizarre qui ne soutient pas vraiment l'émotion (en plus avoir repris "Mysteries of love" pour le générique de fin démontre un sacré manque d'imagination et d'originalité...). Le personnage d'Alex Descas n'a aucune signification et le scénario ne nous apprendra même pas la fin de l'amitié entre Duris et Cohen. Bref, à mon avis, un film bâclé ou inachevé que je n'aie aucune envie de revoir...
    adicte
    adicte

    53 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 février 2011
    Encore un film sans queue ni tête, qui camoufle sa médiocrité sous des airs faussement poétiques. Les acteurs, pourtant excellents d'habitude, ne font rien pour arranger cette farce grossière. Très lourd et totalement inutile. Passez votre chemin.
    pietro bucca
    pietro bucca

    53 abonnés 1 208 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2013
    J'étais aller voir ce film au cinéma. Si le début du film est assez prenant, la suite malheureusement devient assez ennuyeuse.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    578 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2019
    La reprise finale de la chanson emblématique de Blue Velvet permet d’appréhender la trajectoire suivie par Patrice Chéreau dans son dernier film, Persécution. Car là où David Lynch mettait en scène le potentiel fantasmatique, gorgé d’érotisme et de mort, de l’éveil à la sexualité, Chéreau s’efforce de le vider de toute sa substance un tant soit peu irréelle et imaginaire ; il construit un triangle amoureux inversé par rapport à celui de Lynch, c’est-à-dire formé par les rapports non pas d’amour mais de persécution entre les personnages. Un même univers urbain, quoique celui de Chéreau s’avère plus grouillant et impersonnel – Paris en somme – que la petite ville où vit Jeffrey Beaumont, une égale importance accordée au bar, la présence de l’immeuble d’habitation. Celui de Lynch était garni de moquettes, peuplé de bibelots ; celui de Chéreau est aride, en chantier ou épuré, gris et blanc. Persécution est un grand film malade et maladif sur le mal d’amour contemporain, un amour qui ne réussit à se dire que par l’obsession et l’envahissement de l’autre. Ainsi, le cinéaste accouche d’une œuvre douloureuse que l’on ne peut évidemment pas aimer : et si elle finit par toucher, c’est uniquement par les coups qu’elle porte à ses personnages, aux vêtements qu’elle leur ôte du dos, aux lignes de leur corps qu’elle scrute dans l’espoir de déceler une exceptionnalité qui jamais ne paraît. La chair est triste, hélas, les corps ressemblent à des cadavres : mal peignés, pleins de cernes, des larmes aux yeux, une rage aussi. Parce qu’il refuse le romantisme, Patrice Chéreau capte par sa caméra ce que c’est que de souffrir de la vie : l’existence est comme une dépression chronique, et l’espoir qui anime les êtres ne résulte en fin de compte que des chimères que l’on se raconte, que l’on plaque sur une réalité qui échappe, ou plutôt reste inchangée, inerte. Quelques secondes de lucidité, une blague même, et puis le motard tombe sur le sol, mort. Il ne faudrait donc pas aborder Persécution comme une œuvre à apprécier : le film est à l’image de la mendiante qui fait la manche dans le métro – ouverture du long-métrage –, il gifle ses personnages pour susciter en eux une révolte et rappeler, en les suivant dans leur lutte, la solitude profonde de l’homme qui aime.
    Léa H.
    Léa H.

    30 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mai 2014
    Confusion de la forme, opacité du propos, « Persécution » prend de grands airs mais ne dit pas grand-chose. Les rapports humains comme des rapports de forces, où dominé et dominant ne cesse d’échanger leurs rôles ? Pas vraiment original et tellement mieux dit ailleurs… Comme par exemple dans « De battre mon cœur s’est arrêté », avec le même Duris dont Chéreau fait bizarrement rejouer la même partition – celle de l’écorché vif, replié sur sa rage existentielle, plus ou moins sans objet. Mais contrairement au chef d’œuvre d’Audiard, tout cela tourne ici à vide. Prétentieux et ennuyeux.
    Vagelios
    Vagelios

    35 abonnés 975 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mai 2010
    Un film pénible et vite oublié où les états d'âme du personnage principal qui n'arrête pas de se prendre la tête en étant tourmenté par ses sentiments sont ridicules.
    bsalvert
    bsalvert

    318 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 janvier 2012
    Autant j'adore les acteurs principaux, autant la fin m'a tellement estomaqué que je ne peux pas le conseiller.
    Lucille T.
    Lucille T.

    34 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 octobre 2010
    Persécution, n. f. : traitement injuste et cruel infligé avec acharnement.

    Encore une fois pour Roman Duris, mieux aurait valu s'abstenir ou couper le son.
    Maqroll
    Maqroll

    131 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2011
    Un film austère, aride même sur un sujet difficile entre tous : la persécution, trait universel de l’humanité puisque nous sommes tous des persécuteurs et des persécutés permanents. Chéreau le traite avec son honnêteté habituelle, sans concession ni cliché, en l’abordant par son angle le moins évident mais pourtant le plus commun, celui de la persécution quotidienne, celle qui survient dans un métro, dans un bar, dans une rue… dans la vie. Il est aussi et surtout question de la persécution la plus subtile, celle de l’amour qui ronge insidieusement les êtres jusqu’à la rupture finale. Charlotte Gainsbourg est superbe et digne aux côtés d’un Romain Duris exaspérant tant il est hanté par la quête impossible de l’objet perdu… C’est un film difficile à ne pas mettre devant tous les yeux, aux limites de ce que le cinéma peut proposer, aux antipodes du cinéma divertissement ou spectacle. Et même si Chéreau se perd parfois en route dans un chemin trop ardu, c’est tout de même une belle leçon de vie.
    vidalger
    vidalger

    290 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2009
    Très beau film sur le plan technique, magnifique maîtrise de la caméra, de la lumière et de l'image, présence de comédiens tous attachants et habités par leur rôle. Malheureusement, peu à peu, l'histoire s'enroule autour d'elle-même et l'on a du mal à s'intéresser à cette double histoire d'amour fou. Chéreau est un grand metteur en scène. On attend avec impatience qu'il retrouve le goût de tourner un scénario moins bancal.
    norman06
    norman06

    295 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mars 2011
    Qu’est-il arrivé au brillant Patrice Chéreau ? Rien à sauver dans cette œuvre manquée, mal écrite, mal filmée, avec de bons acteurs mal dirigés, et qui tourne en rond depuis le pré-générique. On aurait aimé de la flamme dans ce récit au synopsis prometteur. Ce n’est qu’un feu de paille. Quel gâchis !
    oranous
    oranous

    131 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2009
    Bouleversant et puissant. Deux mots pour qualifier le nouveau Patrice Chereau, "Persécution".
    Une caméra maitrisée avec une belle photographie et un rythme qui ne lasse pas. Pourtant, des longueurs pourraient se faire sentir mais le jeu d'acteur de Romain Duris est tellement grandiose que l'on ne ressent aucune lassitude. Duris est toujours aussi naturel. "Persécution" a pour thème principal la solitude. Cette solitude que tout le monde ressent et cette solitude qui fait mal. Il aborde aussi la complexité des rapports amoureux et amicaux. La fin ouverte permet au spectateur de se faire sa propre suite, d'imaginer ce que Daniel fera ensuite le tout sur une splendide chanson de Anthony and The Johnssons. "Persécution" est très touchant et reste très pessimiste.
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