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    Garde à vue
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    14caen
    14caen

    40 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2009
    Un polar musclé et trés bien dialogué.
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    14 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2012
    très bon duel d'acteur dans ce film à huis clos avec aussi de bon second rôle à voir
    Backpacker
    Backpacker

    53 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 août 2007
    Coupable, pas coupable? Le mystère plane même au-delà du générique de fin... Dialogues percutants, jeux d'acteurs impressionnants, ambiance glauque au possible... Impossible de ne pas se passionner pour cette confrontation au sommet des deux géants qu'étaient Lino Ventura et Michel Serrault... Du très grand cinéma!
    yannick R.
    yannick R.

    95 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2009
    Garde à vue : Soupçonné de l'assassinat de deux petites filles, un notaire est mis en garde à vue pendant la nuit du jour de l'an.
    un bon film policier avec lino ventura et michel serrault!
    teofoot29
    teofoot29

    68 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2009
    Un brillant face à face entre Serrault et Ventura qui nous servent des dialogues cultissimes signés Michel Audiard.
    fred c
    fred c

    1 abonné 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 août 2023
    Les 2 acteurs principaux tiennent le huis clos sans problème, c'est sobre, le ton est juste. spoiler: Le suicide de sa femme a la fin n'etait peut etre pas nécessaire
    pilouBoulogne
    pilouBoulogne

    7 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2009
    Le meilleur "huit clos" que je connaisse. Le tout servi par des acteurs excellents (y compris par Guy Marchand qui met en valeur le jeu de Ventura et de Serrault).
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 897 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2018
    Une "Garde à vue" mémorable signé Claude Miller avec la patte aux dialogues de Michel Audiard !! c'est presque un huis-clos que l'on assiste là un soir de réveillon de nouvel an dans un poste de police avec un homme suspecté de meurtre et questionner par un inspecteur durant presque tout le film. Il pleut, les guirlandes brillent, un adjoint tape à la machine ce que dit le témoin aux interrogatoires de l'enquèteur sur chaque détails de preuves et c'est un duel dans une pièce entre les deux personnages principaux. On se demande s iil est coupable ou pas et c'est assez musclé avec quelques petites notes d'humours. Claude Miller signé peut ètre là un de ses meilleurs films, on se demande pourquoi il n'a que peu renouveler l'expérience dans le genre policier. Le scénario est bien construit. La musique à flute de Georges Delerue est sympathique même si on l'entend pas beaucoup. Puis, il y a de très bonnes interprétations des comédiens comme Lino Ventura et Guy Marchand qui posent des questions. Michel Serrault qui répond et dans un second role Romy Schneider dans la peau de l'épouse de Serrault. Un très bon polar Français.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 090 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 juin 2016
    "Garde à vue" film vedette de la cérémonie des Césars de 1982 (4 Césars sur 8 nominations dont celle de meilleur acteur pour Michel Serrault), reste plus de trente ans après sa sortie un des meilleurs suspenses à huis clos du cinéma français dans la lignée du fameux "Quai des orfèvres" d'Henri-Georges Clouzot (1947). L'idée d'adapter "A table !", roman de l'auteur anglais John Wainwright est venue à Michel Audiard qui a eu l'audace avec le producteur Georges Dancigers de faire appel à Claude Miller encore jeune réalisateur, en panne depuis quatre ans suite à l'échec cuisant et incompréhensible de "Dîtes-lui que je l'aime". Claude Miller est en réalité loin d'être un novice, scénariste et assistant réalisateur pour Bresson, De Broca ou Godard. Il s'empare pleinement du sujet malgré une réticence initiale sur le côté impersonnel que selon lui revêt une adaptation pilotée par Michel Audiard dont il reconnaît dans ses mémoires ("Serrer sa chance") peu apprécier les effets de styles si renommés qu'il juge superfétatoires portant atteinte par leur causticité trop appuyée à la fluidité du récit si importante à ses yeux. En réalité sans doute bercé par la Nouvelle Vague, Claude Miller supporte mal la place prépondérante prise par les dialogues d'Audiard dans des productions désormais montées autour des calembours de celui que Gabin nommait "Le petit cycliste". La préparation du tournage est donc difficile et les réécritures nombreuses. Michel Serrault grand ami d'Audiard aura du mal à admettre cette remise en question permanente par un jeune réalisateur encore à l'heure des preuves et le fera payer à Miller par une attitude distante. Heureusement Lino Ventura fera le contrepoids en prenant Miller sous son aile. Cette atmosphère sera sans doute paradoxalement utile au film dont la trame repose sur un affrontement entre deux monstres sacrés. Impersonnel, peut-être selon les dires de Miller mais fichtrement réussi et maitrisé, de la photographie de Bruno Nuytten à la musique obsédante de Georges Delerue, mélange forain d'orgue de barbarie et de célesta. Mais c'est bien sûr la performance du duo d'acteurs vedette qui constitue l'intérêt majeur de "Garde à vue" à travers la composition de deux personnages que tout oppose. Maître Martinaud (Michel Serrault), notaire de province retenu au commissariat central un soir de réveillon pour une sordide histoire de meurtres de petites filles qui doit faire face à l'obstination de l'inspecteur Gallien (Lino Ventura) et de son collègue bas de plafond (Guy Marchand), spoiler: sans doute trop contents que les premiers constats accablent le notable un peu pédant qui leur fait face
    . Ce canevas de départ où se mêlent frustration sociale et incompréhension culturelle permet aux deux acteurs au sommet de leur art de déployer tout leur savoir faire dans des registres bien connus de chacun d'eux. C'est Michel Serrault qui sera reconnu de l'Académie des Césars spoiler: pour avoir su mettre en lumière toute la détresse d'un homme que le naufrage de son mariage avec une femme trop belle pour lui (Romy Schneider) a peut-être poussé vers des rivages aux sables mouvants dont l'intrigue fort astucieusement ne délivrera jamais les contours exacts
    , conservant sa part de mystère au film. Guy Marchand tout simplement génial dans le registre de l'adjoint aussi borné que brutal sera lui aussi récompensé tout comme le scénario d'Audiard et de Miller. Au final les dialogues d'Audiard dont Miller craignait qu'ils détournent l'intrigue de son ambigüité sont parfaitement idoines et renforcent utilement la distance entre les deux protagonistes, montrant la parfaite ductilité du talent du grand dialoguiste que Miller avait sous-estimé. La plus belle preuve étant que le trio sera à nouveau réuni deux ans plus tard pour "Mortelle randonnée" où Audiard épurera encore un peu plus son style. Preuve du prestige du film, Gene Hackman sera à l'origine d'un remake hollywoodien signé Stephen Hopkins (2000), version moite de l'oeuvre de Miller ( le film se passe à Porto Rico) qui sans démériter ne parvient pas à instaurer la même tension.
    Yetcha
    Yetcha

    743 abonnés 4 281 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2013
    Une critique acerbe et froide de la police administrative qui mène aux aveux infondés de personnes innocentes. Un casting extraordinaire et une mise en scène "simple" et efficace. Un mythe du cinéma français.
    Scorcm83
    Scorcm83

    88 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2017
    Agréablement surpris par ce huis clos non seulement bien interprété mais également parfaitement mis en scène. On ne voit pas passer les 90 minutes que durent ce film et on se surprend à être captivé par l'intrigue dés les premières minutes. Ça sent bon la fin des années 70, un bon vieux film français comme on en fait plus, avec des dialogues aux petits oignons signés Michel Audiard, une bande originale en contrepoint de George Delerue et un scénario très intelligent.

    En bref, je conseille vivement !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 décembre 2006
    Voilà typiquement le genre de film où on s'ennuie un peu au début ; pour ensuite ne pas s'apercevoir du moment où on se fait happer par lui ; pour finalement en ressortir totalement épris et bouleversé. Ce film est véritablement incontournable tant par l'histoire et les rebondissements, que par la réalisation sobre mais efficace, que par le jeu des acteurs vraiment exceptionnel! En effet pour tous les détracteurs de "Sisi Impératrice" dont je fais parti, c'est le film à voir pour se réconcilier définitivement avec Romy Schneider. Ce huit-clos qui est une véritable descente en enfer, nous touche au plus profond... Il vous faudra donc quelques jours pour réussir à vous en départir! Mais, dans toute ça simplicité et ça perfection, voilà enfin ce qu'on peut appeler un chef d'oeuvre! Inutile dans dire plus, visionnez-le et vous comprendrez.
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2020
    Je me souviens… je me souviens l’avoir vu étant gamin. Je devais avoir alors entre 10 et 15 ans. Et je me souviens que je n’avais pas du tout aimé. Je me souviens avoir vu un film plein de blablas, sans action. En un mot, ennuyeux. Ou plutôt en trois mots : ennuyeux au possible. D’accord… en un mot : chiant. Et je me souviens avoir catalogué ce film dans les nullités que je ne reverrai jamais. Encore heureux que je n’avais pas été au cinéma ! Pourtant je me souviens en avoir entendu beaucoup parler. Je me souviens que la plupart du temps on évoquait un fabuleux face à face. Mais pas un simple face à face entre deux personnages : c’était aussi un face à face entre deux monstres sacrés du cinéma français. Oui mais ça c’était avant. Celui qui dit « depuis il y a eu Krys », je le dézingue lol ! Je plaisante, bien sûr, hein ! Du haut de mes 49 ans bientôt révolus, je vois combien je suis resté dans l’erreur depuis tout ce temps. Au moins 35 ans, si ce n’est pas davantage. Une paille ! J’étais tellement persuadé de mon fondement… je l’avoue. Aussi je plaide coupable. Tout ça parce que je n’étais pas prêt pour ce genre de spectacle, si on peut appeler ça ainsi. En réalité, ce film n’est pas fait pour un public aussi jeune. Aujourd’hui je reconnais que nous avons un superbe face à face. Lino Ventura vs Michel Serrault. Deux styles différents, et c’est un euphémisme. Deux carrières différentes, bien que prestigieuses toutes deux. Deux personnalités différentes, des rôles différents. Si Lino Ventura se trouve dans un rôle assez conventionnel en ce qui le concerne, Michel Serrault est là où on ne l’attendait pas. Cela a donné deux rôles différents. Un face à face flic vs notaire. L’histoire débute un 31 décembre à 21h. Une drôle de date pour une simple convocation. Mais le crime n’attend pas. Deux petites filles sont mortes. Violées et tuées. Ou tuées et violées. Question de point de vue. Un point de vue qui a son importance et dont le mérite revient aux scénaristes de ne pas l’avoir occulté. Au vu des circonstances, il n’est pas étonnant que la journée soit triste, la ville de Cherbourg étant enveloppée par un rideau de pluie incessante qui épaissit la noirceur de la nuit. Le réveillon de la St-Sylvestre n’a jamais été aussi près. Paradoxalement il s’éloigne au gré des questions/réponses, la convocation pour éclaircissements ayant vite fait de se transformer en joute verbale parfaitement rythmée par les dialogues d’un Michel Audiard plus sage qu’à l’accoutumée. L’un est aimable, prévenant, s’excuse presque, tandis que l’autre est sur la défensive, se débat comme une anguille et en devient agressif au gré de quelques sarcasmes particulièrement corrosifs. On apprend que Tango s’écrit comme Paso doble. Le combat est lancé, accompagné des volutes de fumée d’un nombre incroyable de cigarettes : Gitanes vs Pall Mall. Qui va être grillé ? Vous l’avez compris, j’ai enfin saisi ce qui se disait dans le temps. C’est bel et bien un affrontement que se livrent les deux hommes, effectivement dénué d’action. Nous avons donc un film très bavard, mais prenant par le contenu, par l'ambiance lourde mêlant défi et suspicion, et par le contraste que les deux rôles principaux nous offrent. Le huis-clos est un exercice périlleux, tout le monde le sait. Cependant l’intrigue se voit aérée de quelques apparitions notables. On commencera par un excellent Guy Marchand qui au passage apporte un peu d’humour alors que c’est bel et bien lui le plus impulsif. Et puis on a l’entrée en scène d’une Romy Schneider en mode crépusculaire. Mais surtout, on a des personnages auxquels on ne prête pas attention au départ et pourtant… On comprend mieux maintenant pourquoi les inspecteurs de police s’attachent aux menus détails, y compris les plus insignifiants. Un exemple pour étayer cette constatation ? Allez : l’imper, la ceinture qui va avec… Là, perso, j’ai capté ce détail comme étant une info capitale. Mais pas comme je l’entendais. Mais le détail dont je parlais, c’est celui qui va être l’objet du coup de théâtre en fin de film. Le détail qui en apparence n’a rien à voir avec l’affaire à laquelle nous avons été conviés. C’est ce qui rend ce coup de théâtre des plus tonitruants. Encore qu’on pourrait se poser la question : est-ce la même affaire ou en est-ce une autre ? Toujours est-il que l’évolution de cette affaire sordide fait changer d’humeur un commissaire divisionnaire, décrit du même coup comme une girouette, laissant son inspecteur chargé de l’enquête sur les deux crimes seul face à ses responsabilités. Et les spectateurs avec, estomaqués par ce stupéfiant retournement de situation qu’ils n’ont pas vu venir. Un film mené de main de maître par un Claude Miller au sommet de son art. Un film considéré comme étant le meilleur de sa carrière. A juste titre, je pense… Quid de l’adaptation du roman de John Wainwright ? Aucune idée ! En attendant, gare à vous : vous allez vous faire avoir...
    CH1218
    CH1218

    152 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2018
    Le côté polar du film n’est qu’un prétexte à ce huis clos arbitré par Claude Miller entre deux des plus grands noms du cinéma français : Lino Ventura et Michel Serrault. Leur face-à-face, auquel participent également Guy Marchand et Romy Schneider, tient effectivement toutes ses promesses. Le scénario de « Garde à Vue », délicieusement mis en verbe par Jacques Audiard, maintient la tension et le suspense sans défaillir un seul instant. Cette constatation vaut également pour interprétation, la mise en scène et son montage.
    Grouchy
    Grouchy

    108 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Huit clos dans le bureau d'un commissariat, où toute la tension que peut exprimer un interrogatoire est en pleine ébullition. Pour réussir cette prouesse scénaristique, il fallait donc une histoire qui tienne la route, en travaillant les alibis et les chemins tortueux des questions/réponses, et des dialogues cohérents. Cette étape là surmontée, c'est au tour de l'image d'accrocher le spectateur. La mise en scène de Miller a surmonté ce défi dans deux domaines : cadrage et montage. Les cadres des premiers actes montrent l'opposition de force entre Ventura et Serrault, devenant au fur et à mesure plus gros, et vers la fin les plans deviennent plus larges, signes de respiration, au moment où l'affaire est résolue. Le montage donne la parole au silence dans les conversations, et donnent à la liaison entre présent et flashbacks une aura étrange mais très forte. N'en disons pas plus sur l'excellent jeu d'acteur, où deux personnages âgés s'affrontent, et où le jeune et fougueux gréffier laisse éclater sa haine sans savoir si Serrault est coupable ou non. Le jeu est fondé sur le regard, les tons et les déplacements, qui favorisent les mouvements de caméra. C'est donc un film très économe dans ses moyens, mais grâce à l'énorme travail de l'image et au casting, le film de Miller est une grande réussite et un renouvellement en matière de film policier.
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