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    Le Rêve italien
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    29 critiques spectateurs

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    alain-92
    alain-92

    305 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mars 2010
    En ce qui me concerne ... j'ai trouvé ce film EXCELLENT !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 mars 2010
    Un film poignant.Du beau travail de cinéma avec de très bons acteurs.Une belle musique mais un peu trop de longeurs par moment.
    Anna M.
    Anna M.

    11 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2010
    plutôt décevant !!
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mars 2010
    Après Romanzo criminale (2006), Michele Placido revient sur le mouvement estudiantin qui ébranla l'Italie au milieu des années 60. En pleine période "Mai 68", sous forme de contestations, Le Rêve Italien (2010) n'est pas seulement un film à caractère politique, c'est aussi un film autobiographique (et romantique, entre en ancien policier et une étudiante militante). Avec ses allures de téléfilm, Michele Placido parvient à capter notre attention, de par l'intrigue mais surtout grâce aux acteurs, dont Riccardo Scamarcio & Jasmine Trinca, qu'il avait auparavant déjà dirigés.
    vidalger
    vidalger

    291 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mars 2010
    Petite déception prévisible pour ceux qui ont adoré Romanzo criminale, le précédent film de Placido. La description de la contestation étudiante des années 60 en Italie ressemble un peu à ce que nous avons connu en France. Même romantisme adolescent, même contestation bourgeoise, même absence de recul critique sur les dérives communistes, même emportement anti-américain. Le traitement cinématographique de ce mélo politico-sentimental souffre des mêmes défauts. Heureusement, nous avons pu apercevoir la sublime et trop rare Laura Morante et ça suffit à notre bonheur!
    Caine78
    Caine78

    6 005 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2010
    Après un « Romanzo Criminale » du plus bel effet, il est peu dire que le retour de Michele Placido derrière la caméra était attendu, et c'est pourquoi ce « Rêve italien », surtout lorsque l'on connaît son sujet, était porteur d'espoir. Hélas, loin d'être un mauvais film, force est de reconnaître que celui-ci ne tient pas toutes ses promesses. Infiniment moins personnel que sa chronique « gangsterienne » et souffrant surtout d'un cruel manque de rythme à plusieurs reprises, « Le Rêve italien » s'apparente plus au final à un plaidoyer humaniste qu'à une grande leçon de cinéma. On en vient même à être abasourdi devant quelques lourdeurs de style particulièrement incroyables (l'affrontement entre les forces de police et les étudiants tournés intégralement au ralenti) et une émotion que l'on aurait aimé nettement plus présente. Néanmoins, tout est loin d'être à jeter dans le film, et il serait vraiment injuste de ne retenir que les aspects négatifs du film. On peut en effet saluer notamment la volonté de Placido à nous raconter tout de même une histoire digne de ce nom, mais surtout des personnages pour une fois très loin d'être sacrifiés et offrant au contraire une assez belle intensité dramatique au film, certes loin du bouleversement que l'on était donc en droit d'attendre mais toutefois suffisante pour nous intéresser un minimum aux différents enjeux jusqu'au bout, les différents acteurs s'avérant tous à la hauteur (Riccardo Scamarcio et la belle Jasmine Trinca en tête.) Au final on se retrouve donc partagé entre l'impression d'avoir tout de même vu un film des plus honorables (notamment sur le fond), mais aussi la déception tant Michele Placido avait su placer la barre haute quelques années auparavant, trop haute à n'en pas douter...
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    106 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2010
    Le rêve italien : la rébellion de la jeunesse italienne en 1968 m'a laissé sur ma faim... une histoire d'amour un peu brouillonne comme le scénario.
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Si la première moitié est une reconstitution passionnante des révolutions étudiantes dans l'Italie de la fin des années 60 (un sujet historique trop peu traité en France) avec un excellent travail sur les ambitions de chacun des personnages -étudiants maoïstes, parents dépassés, policiers sans pitié et même les factions fascistes-, la seconde moitié s'embourbe dans un double mélodrame, celui de l'amour secret des deux protagonistes sur le sempiternel principe de l'amour impossible, et celui reposant sur les peurs du jeune frère effrayé par l'idée d'abandonner son père est malade en cas d'arrestation... Allez camarades, sortez les violons!
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mars 2010
    Bien loin du passionnant "Romanzo criminale" voici "Il grande sogno" (cette fois-ci traduit et adapté en un plat "Le rêve italien" pour la sortie française), sorte de logorrhée nostalgico-nombriliste sur comment devenir comédien quand on est parti du mauvais pied. Nicola Casella (en fait Michele Placido, sous alias) qui est pauvre, nanti de 7 frères et soeurs et vient des Pouilles misérables intègre une école de police, sur les traces d'un oncle carabinier. Atypique parce qu'intéressé par le théâtre, il est repéré par ses supérieurs et envoyé infiltrer les milieux estudiantins romains - nous sommes en effet fin 67 début 68, et l'Italie des universités est en pleine ébullition libertaire. Il rencontre lors de sa tâche d'espion la très bourgeoise et idéaliste Laura et entame une histoire d'amour avec elle. Las, la force publique ayant abandonné ses travaux de reconnaissance, Nicola ayant réintégré l'uniforme et étant au nombre des assaillants de la faculté occupée, ses affaires se gâtent avec sa belle, au nombre des personnes arrêtées. Quelques péripéties plus tard, Nicola a quitté la police et réussi à entrer au Conservatoire. Ayant trouvé sa voie, il retrouvera Laura, de plus en plus militante et engagée, recasée avec Libero, camarade étudiant et prolétaire, d'ailleurs son premier choix sentimental, et la séduira encore, façon brève rencontre, sur fond de deuil familial annoncé et de compromission anarchiste d'un jeune frère. Cette tranche de vie avec la chienlit soixante-huitarde, version transalpine, en toile de fond est de médiocre intérêt. Seuls quelques beaux mouvements de caméra pour les scènes de foule, et l'honnête performance des acteurs, sauvent (un peu) l'ensemble d'un épais ennui.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    249 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2010
    Sorte de séquelle à la Buongiorno Notte, de plus hors les images d'Epinal; Michele Placido crée une atmosphère déroutante contenant plusieurs faits inédits dont ces fachistes et communistes réunis ensemble pour la politique et de fait au climat envahi d'une chaleur humaine parfois communative.
    traversay1
    traversay1

    3 088 abonnés 4 622 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2010
    Il faut se méfier de ses souvenirs de jeunesse, de ses idéaux et de ses rêves d'un monde meilleur. Qui plus est quand on est devenu un artiste, comme Michele Placido, et que la nostalgie (camarade !) vous incite à concocter un pot au feu où lutte idéologique et romance amoureuse forment un singulier mélange. Autobiographique, Le rêve italien est un film brouillon et parfois indigeste avec quelques moments séduisants (l'interprétation y est pour beaucoup : Jasmine Trinca, belle comme une aurore) qui brouillent notre perception. Malheureusement, on ne sort guère des clichés de l'époque, fût-elle italienne, cette ambiance soixante-huitarde que le cinéma transalpin a déjà traité, et bien mieux, auparavant. Le rêve italien n'a pas l'énergie bouillonnante de Romanzo criminale avec ses affèteries inutiles (ralentis, passages subits au noir et blanc ...), et n'évoque que de façon lointaine les films engagés des Bellochio, Bertolucci ou Rosi. Manque de rigueur, excès d'attendrissement pour une ère révolue ? Sans doute. Le film ne manque pas d'un certain charme, mais de façon vraiment trop diffuse pour aimanter son public.
    SuperMadara
    SuperMadara

    72 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2011
    Un drame italien intéressant , mené par une palette de personnages mais qui va trop dans la vitesse . Racontant la vague rouge qui a emporté la jeunesse aussi bien italienne qu'européenne en 1968 , le scénario nous décrit une idée de l'Italie d'après-guerre , le rêve d'une société égale et libre ou tous seraient égaux et amis mais j'ai trouvé le film trop gentil avec certains idéaux , faisant de la police les grands coupables de la répression : le film semble prendre le parti-pris du communisme (C'est l'impression qu'il m'a laissé en tout cas...) . Mené par le remarquable Riccardo Scarmacio , le casting est juste bon avec la ravissante révolutionnaire Jasmine Trinca ou le Che d'Italie Luca Argentero ! Depuis son "Romanzo Criminale" , Michele Placido profite de sa nouvelle notoriété et sort une mise en scène très rapide , trop même pour pleinement développer l'histoire : certains personnages disparaissent et réapparaissent comme des fantomes , et certaines scènes semblent interminables a passer !
    Un film intéressant sur une année folle et créative mais qui aurait pu être rallongé pour mieux développer !
    Daniel-2a
    Daniel-2a

    38 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2010
    Sujet très interessant et brillament traité par le réalisateur, avec une pointe d'humour, dans cette Italie révolutionnaire de la fin des années 60, l'histoire de ces étudiants, leurs revendications et les moyens de lutte pour qu'on les écoute, est captivante, le tout interprété par des acteurs sincères et intenses.
    A noté aussi que les alternances images d'archives réelles/film sont très bien faites, les plans photographiques sont judicieux.
    On regrettera un peu des détails histoire, parfois, pas assez approfondies.
    C'est un film de qualité, j'ai passé un agréable moment.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 octobre 2020
    Je suis désolé d'annoncer que Le Rêve italien de Michele Placido est en désordre. Il serpente d'un point prévisible à un autre encore plus prévisible. L'aspect le plus frustrant est peut-être que Placido essaie de transmettre ce pastiche comme un souvenir personnel sérieux. Non tout ressemble et se sent comme une invention sentimentale. Massimo Popolizio a un visage intéressant mais il est tout simplement ennuyeux à l'écran parce que je ne peux pas croire ce qu'il dit ou fait. Jasmine Trinca est une actrice très spéciale mais elle a un personnage de feuilleton à jouer. Elle lui donne de la dignité et son effort est à applaudir. Mais pourquoi dites-moi juste pourquoi Placido a dû la montrer nue, une frontale totale de la manière la plus gratuite imaginable. Luca Argentero quant à lui est engageant et convaincant et même si je ne pouvais pas croire en son personnage. C'est un long film prétentieux et totalement inutile. Pourquoi était-il en compétition à Venise je m'interroge...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 septembre 2011
    Je m'attendais à quelque chose de plus profond que ça. Très souvent, les films du même type emploient un drame banal pour dépeindre une société, une époque, un univers riche d'intérêts. Ici, Michele Placido nous livre l'inverse. Il utilise un contexte intéressant pour appuyer sur un drame banal. Alors évidemment, le début de film est vraiment prenant ; nous faisant découvrir le contexte, la violence d'une époque, les idéaux d'une jeunesse anarchiste... Mais dès qu'on nous a présenté tout ça, on en laisse plus que quelques bribes pour se focaliser sur le drame qui, sincèrement, ne révolutionne pas le genre. L'ensemble n'est pas mauvais pour autant ! Un bon casting, une histoire qui avance à son rythme... Mais ou va-t-on ? Telle est la question redondante que l'on se pose en visionnant cette oeuvre.
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