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    Zardoz
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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 140 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Peut-être est-ce parce que j’adore John Boorman et ses atmosphère bien étranges... Peut-être est-ce parce que j’ai découvert ce film il y a bien longtemps à une époque où je commençais mon exploration du cinéma... Mais il y a bien un fait que je ne peux pas renier : j’adore « Zardoz ». Alors oui, c’est un film qui est assez perché, qui peut paraître totalement kitsch sur d’innombrables aspects, mais c’est un film qui invente un univers, qui développe un propos et qui a la prétention d’explorer la nature humaine. C’est aussi bien une expérience sensitive qu’un propos intelligent. Et preuve de l’audace, encore aujourd’hui aucun film ne ressemble à « Zardoz ». Cette œuvre est encore aujourd’hui totalement unique, et c’est d’ailleurs peut-être aussi pour cela qu’elle me tient autant à cœur.
    TheGP
    TheGP

    4 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 décembre 2012
    Zardoz est un film amusant à voir, ne serait-ce que pour avoir le plaisir de visionner Sean Connery en salopette rouge, portant de grotesques moustaches ! Au-delà de l'ambiance tout droit sortie des seventies et du flower power, l'intérêt de Zardoz réside dans un monde assez cohérent qui nous interroge sur la vanité de l'homme à vouloir échafauder un monde parfait, nécessairement inégal, meurtrier et cruel pour tous. Zardoz démolit joyeusement toute tentative d'utopie, pose la question du divin et de son usurpation par l'humanité et développe une fable plutôt agréable à regarder. Bien sûr, le film a terriblement vieilli, ce qui rebutera les amateurs de jolies images et de cohérence. De plus, Zardoz s'embourbe dans des scènes mystiques, à grand renfort de couleurs hallucinées, de caméra tournante et de longs moments de délires ennuyeux dont on attends vainement qu'ils se terminent. Pour les hippies des seventies, Zardoz devait assurément être un bon trip, mais pour l'amateur de science-fiction actuel, cela reste une curiosité à regarder si l'on se sent d'attaque.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    104 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 avril 2014
    Le plus tordant dans ce film, c'est que Sean Connery avait refusé à la fin des 60' de continuer d'interpréter James Bond par peur d'être catalogué dans ce rôle et donc de risquer l'avenir de sa carrière pour en arriver à tourner....çà! Faut bien admettre que troquer les costards classieux contre un string moule-boules rouge, soutif assorti en forme de cartouchière sur un torse en pelage naturel et cuissardes croquignolettes, quand ce n'est pas une robe de mariée, çà a du le dépayser! A noter, qu'à cette époque bénie des sixties et des seventies, il se tapait les meufs parmi les plus chouettes du moment. C'est une consolation. Heureusement pour lui (et pour nous), sa présence dans de nombreux films ultérieurs n'en a pas été affectée. C'eût été fort dommage pour le 7ème art, cela malgré des productions parfois contestables, mais pas à ce point là...
    En dépit du débat autour de "Zardoz" en tant que culte ou nanar, daube intello ou navet-tout-court dans lequel je ne parierais pas mon unique tee-shirt "peace & love" rescapé de ce bon vieux temps, une chose cependant me parait claire: John Boorman ne semblait pas croire en l'utopie des communautés hippies déjà moribondes en 1973 face à la société de consommation telle que nous la connaissons depuis et qui mène le monde à sa mort réelle ou supposée, souhaitable ou non. Et qu'il a du abuser de cette merveilleuse quoique dangereuse substance appelée "Lysergsäurediethylamid " ou éventuellement de "psilocybine" en salade (à la grecque!) pour en arriver à ce genre de conclusion...
    Olmo
    Olmo

    38 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2010
    Ah Zardoz. Quel film ! Quel expérience ! A la frontière du nanar et dans le kitsh le plus assumé John Boorman délivre sa fable métaphysique, non sans une certaine ironie. Œuvre baroque, difforme, instable, abordant une foule de thématiques passionnantes, le film démontre que tout n’est qu'absurdité, mensonge et vacuité, en particulier l’espoir qu’a l’homme de s’élever au dessus de lui même et de la nature. A travers son ridicule outrancier digne des Monthy Python, Zardoz est un film qui ne plaira pas à tous le monde, mais les amateurs d’ovni seront ravis, car ce film en est un. Un chef d’œuvre d’Ovni qui démontre que la vérité ne se trouve pas dans la perfection et l’immortalité comme peuvent le croient les Eternels du film, autant de points soulevé qui font échos à la libération sexuelle et intellectuelle des années 70, au final quelques séquences psychédélique un peu trop longue et des effets spéciaux qui peuvent rebuter, mais le film est immense. Et si tout cela n’était qu’une farce ? Une grande farce tragique…
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 novembre 2011
    Il y a du fond mais pour la forme il faut aimer ! Avec une mention spéciale pour la tenue de Sean Connery. Avait-il perdu un pari ou était-ce un fantasme du réalisateur? mdr.
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2008
    Zardoz est une fable brillante qui, malgré une esthétique obsolète, possède le charme et l'intérêt des films de science-fiction des années 1970. La Septième Symphonie de Beethoven est un excellent choix, elle exprime d'une part quelque chose d'irrémédiable et d'autre part un sentiment de plénitude ( c'est une musique qui véhicule une ineffable énergie ). Sean Connery est plutôt sobre, il réussit à donner de l'épaisseur à Zed sans pour autant en rajouter. Au niveau du contenu, Zardoz est riche voire complexe : pour ma part, je pense que ce film montre que la paix intérieur se gagne d'une manière dialectique, qu'il faut en quelque sorte préparer la guerre pour l'acquérir. Une citation de Nietzsche me vient alors à l'esprit : " Deviens celui que tu es, c'est à dire celui que tu n'es pas encore ". A mon sens, cette phrase résume bien le film de John Boorman : il faut parfois détruire pour mieux construire, " supprimer en conservant le supprimé " ( dixit Hegel ). Un très beau conte philosophique qui donne à réfléchir ( mon interprétation n'est certainement pas la seule ) malgré son style désuet. A voir absolument.
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2014
    A peine sortait-il de son personnage de James Bond avec les six premiers films de la franchise qui firent de lui l’une des plus grandes stars au monde, Seann Connery fit le choix radical de s’affubler d’un look improbable pour tourner dans un film résolument définissable comme un de ces midnight-movies destinés à une diffusion underground. John Boorman, qui lui-même venait de triompher avec Délivrance, lui a en effet donné, au côté de la splendide Charlotte Rampling, le rôle principal dans un long-métrage inclassable dont le scénario labyrinthique s’emploie, à travers une étrange relecture du conte du Magicien d’Oz à laquelle se mêlent notamment des références à certaines mythologies antiques, à multiplier les thématiques les plus métaphysiques, et ce au grand risque de perdre en chemin la plupart de ses spectateurs. Avec son esthétique vintage devenue grotesque et son épais mille-feuille scénaristique, ce conte philosophique reste malheureusement hermétique, ce qui lui valut sa réputation de navet, alors qu’il recèle pourtant de passages potentiellement cultes et de réflexions profondes sur la condition humaine.
    AMCHI
    AMCHI

    5 028 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mai 2013
    Réduire Zardoz aux aventures de Sean Connery en slip rouge (ma couleur préférée soit dit en passant) serait une image bien simpliste. Je suis conscient que Zardoz entre dans cette catégorie de film que soit on aime soit on déteste, pour ma part Zardoz m'a plu, je lui trouve un univers réellement recherché, on sent que John Boorman réalise là vraiment ce qu'il désire au risque de déplaire le public. Zardoz est étrange et fascinant avec ses belles images bien que ses propos philosophiques soient à moitié compréhensibles (mais en le revoyant Zardoz m'a semblé beaucoup plus clair dans ses propos). Sean Connery est convaincant face à la troublante Charlotte Rampling. A découvrir mais il ne fait pas être allergique à un certain esthétisme des années 70.
    Estonius
    Estonius

    2 463 abonnés 5 222 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2014
    Quel était belle Charlotte Rampling en cette année là ! Le film est ambitieux, et le concept intéressant. Classé science-fiction, il lorgne en fait vers le merveilleux (ou la fable), la référence au magicien d'Oz n'étant pas un hasard, Ça commence pas trop mal en nous plongeant dans un univers tout à fait surprenant. Passé le plaisir de la découverte on s'emmmerde ferme et on ne comprend pas grand-chose à ces histoires de vortex, de conscience collective, de renégats et du grand Zardoz qui ressuscite et qui tire les ficelles. On remarquera au passage l'indigence des scènes de massacres et on déplorera des longueurs qui n'apportent strictement rien. On appréciera, en revanche ces charmants tétons furtifs qui nous empêchent de nous endormir. Une curiosité, mais un résultat plutôt décevant.
    moonboots
    moonboots

    46 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2010
    Nanar ou chef d'œuvre ? Je ne vais pas trancher, mais je le conseille à tous ceux qui aiment les films bien barrés et psychédéliques des années 70. Mention spéciale au costumier de Sean Connery.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    578 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Zardoz commence comme la plupart des contes voltairiens, soit par l’arrachement d’un être à ses racines suivi de sa propulsion dans un monde différent du sien, si différent qu’il est regardé par les occupants de ce dernier comme objet de curiosité, de peur et de fantasme. Ce regard porté sur l’étranger féconde le cinéma de John Boorman, lui qui se plaît à orchestrer la lutte entre deux ennemis politiques sur une île déserte ou qui rapporte le ravissement du fils d’un ingénieur par une tribu amazonienne. Or, parmi les nombreux renversements qui scandent sa narration, Zardoz laisse rapidement de côté le récit d’apprentissage pour mettre en scène une dystopie qui réussit à conjuguer le nihilisme d’un Nietzsche explicitement cité avec la fécondité des pouvoirs de la psyché humaine : tout entier construit sur une réflexion par l’image autour de la figure de Dieu, le film embrasse les âges de la vie et se propose de remonter jusqu’à la grotte primitive, à la manière de Stanley Kubrick dans son Odyssée de l’espace. La divinité, tour à tour incarnée par la tête de pierre, le diamant et le héros en slip rouge, voit son acception progresser d’une source de vie et de mort inaccessible à un simple jeu de miroir entre l’homme et son double. Le surnaturel n’est alors que la déformation kaléidoscopique du naturel : nous passons du vénéré totem au diamant, avec dans les deux cas l’illusion d’une profondeur de prime abord spirituelle, physique ensuite. Et si la magie découle de cette somme de phénomènes optiques, Boorman refuse de lever le mystère, ce mystère intrinsèquement lié à l’existence humaine, ce mystère originaire de la tragédie de la nature selon laquelle l’homme place ses espérances en des instances supérieures afin de contempler la renaissance du soleil, chaque jour. Ici, le personnage incarné par Sean Connery fait se succéder les rôles qu’on le contraint à exécuter : d’abord déterminé par son action belliqueuse, il se mue en puissance érotique dissidente, que symbolise son association à l’animal (il dort encagé), allant jusqu’à perforer la bulle plastique tel un pénis craquant l’enveloppe de son préservatif. Le voilà à son tour divinisé, exercer des pouvoirs extraordinaires ; cela ne durera que quelques instants. Un coup de fusil rétablit le désordre. Et paradoxalement, il féconde. Zardoz a pour obsession la notion de reproduction d’une même séquence à partir de déclinaisons différentes. Zed brise les frontières et apporte un chaos nécessaire à toute communauté pour se régénérer : il est l’incarnation de la semence. Dès lors, la trajectoire du long-métrage suit le processus de la reproduction : pénétration, fécondation, grossesse, enfantement, solitude et mort en constituent les paliers successifs. L’humanité ne vit que par la répétition du même cycle infernal : ce constat introduit la vanité – ce portrait des époux vieillissants le montre parfaitement – tout en le désamorçant par une foi placée dans l’art et l’imaginaire. Boorman mobilise de nombreuses références à l’Histoire des idées et des arts, si bien qu’il finit par se raboucher aux prémices du cinéma via la projection de sources lumineuses sur des supports – dans le cas dudit film, c’est le corps des acteurs qui sert d’écran de projection –, séquence psychédélique des plus marquantes qui évoque notamment l’œuvre de Méliès. Car au-delà d’être un conteur hors pair, John Boorman est un plasticien d’exception qui ne cesse de jouer sur les relations de porosité et d’imbrication entre le naturel et l’artificiel : il suffit de voir ce château des délices orné de bulles plastiques (des préservatifs géants, métaphore de la terreur qu’éprouve cette communauté devant la reproduction et la sauvagerie) pour aussitôt penser au monde aristocrate de Metropolis. En détricotant les masques du bon sauvage et du bon civilisé, en brisant les barrières qui servaient à cloisonner les classes sociales, John Boorman crée un microcosme tiraillé entre des pulsions de vie et de mort, en ce sens porteur de l’Histoire de l’humanité et de la révolte qui la fonde. Réflexion philosophique exigeante et passionnante, Zardoz n’en est pas moins un acte de foi dans le cinéma qui ouvre les espaces, aère les théories, fait exploser aux yeux les représentations d’un monde qui nous paraît à la fois douloureusement étranger et dangereusement connu. Tout est poussière, tout est magie : et de la mort elle-même naissent les formes artistiques qui l'immortaliseront.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 159 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 décembre 2008
    En quelques mots et pour résumer avec facilité et flemme, on pourrait, tout bonnement dire que Zardoz (1974) est un calvaire !
    Supporter ce film de science fiction expérimental et psychédélique durant près de deux heures est un supplice.
    Des œuvre « ovnièsques » comme celles de Alejandro Jodorowsky (El Topo - 1970 & La Montagne sacrée - 1973) on y adhère avec plus ou moins de facilité, mais là, on sature dès la première demie heure tant le récit est complexe, voire incompréhensible.
    Comment Sean Connery & Charlotte Rampling ont pu se retrouver la dedans ? D’autant plus qu’à l’époque, Sean Connery était déjà catalogué en tant que James Bond (avec à son actif déjà six opus), alors qu’est ce qui lui est passé par la tête pour venir jouer dans ce film (ou cette chose).
    D’autant plus qu’ici, durant tout le film, il est uniquement vêtu d’un slip rouge et affublé d’une hideuse queue de cheval (un look que l’on n’est pas près d’oublier), et encore, le pire reste à venir quand il apparaît en robe de mariée !
    Zardoz (1974) est une bizarrerie baroque qui fait à la fois référence au théâtre grec, à la mythologie égyptienne et au psychédélisme des années 70, tout en faisant une dénonciation du consumérisme et du puritanisme. En d’autre terme, cette œuvre particulière est à réserver aux amateurs du genre, attention, maux de tête prévisibles pendant la séance !
    Eselce
    Eselce

    1 197 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2016
    Le monde et l'univers offrent un très bon potentiel. La technologie n'est pas mauvaise. Mais les costumes des exterminateurs dont fait partie Sean Connery sont proprement ridicules et tuent une grande partie de la crédibilité du film qui est, il faut l'avouer, très spécial !
    NeoLain
    NeoLain

    4 224 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2013
    Quant le grand Sean Connery se ballade tout le long du film en slip rouge et bottes, le respect est déjà de mise. Pour le reste que dire, beaucoup et pas grand chose, l'histoire peut pour certains être un vrai calvaire pour le crâne, et pour d'autres un coup de génie. Personnellement je me retrouve entre les deux, mais la déception l'emporte quand même. John Boorman avait là une idée fort bien riche, mais sur la durée du film il s'embrouille assez facilement à traiter un scénario philosophique et sur l'existence de l'être humain, le bien ou le mal, bref, c'est dommage car il y à du bon et un sacré potentiel bien démontrer dans quelques passages. Gros point pour la prestation et la beauté de Charlotte Rampling, difficile de ne pas la quitter des yeux.
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    15 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2019
    Que Sean ait fait une belle Connery en signant pour ça à une époque où il voulait casser son image James Bondienne, je peux comprendre...
    Que John Boorman soit parti dans des délires psychédéliques philosophicos-pouêt-pouêt, je peux comprendre également. C'était l'époque, et puis faire un film est très difficile, surtout mener à bien une idée originale...

    Mais bon Sean... ton costume quoi... quand tu t'es regardé dans la glace, y'a rien qui t'a interpellé ? Sérieux ??
    T'avais fumé la moquette avec Boorman ou quoi ?!?
    Ou alors tout le monde avait enlevé les glaces sur le set par précaution pour pas affoler l'ami Sean, ou pour lui faire une farce...

    Autant y'a du ridicule qu'on peut comprendre tellement il peut être compliqué de retranscrire une vision à l'écran... autant ça...

    Certains trouveront dans ce film matière à s'instruire en se branlant la tête, d'autres de quoi rire en coin, voire sans retenue...
    Devinez le camps que j'ai choisi qui me pousse à mettre 4 étoiles... :

    Sinon le chef-costumier est toujours en fuite 46 ans après.
    A moins qu'il ne bénéficie d'un programme de protection. Gardes du corps, nouvelle adresse, nouveau nom... nouvelle profession (vaut mieux !)...
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