Avis : Don't Be Afraid of the Dark - Page 2

Don't Be Afraid Of The Dark est un petit conte horrifique produit et avec un scénario de Guillermo Del Toro avec une superbe distribution dont Bailee Maison et Katie Holmes, les personnages principaux. Elles sont adorables avec une histoire légère, mais qui fonctionne et permet même de s'y attacher et il faut avouer que Bailee Madyson est une adorable actrice à cette époque. Quant à Katie, j'ai toujours eux un penchant pour cette actrice qui a toujours (ces dernières années) le rôle de l'adorable maman souvent tyrannisée.

Ce film d'horreur fantastique à tout de la mélancolique et adorable petite histoire. Le long-métrage donne comme être une sorte d'adaptation du mythe de la petite souris dans laquelle se trouve un gigantesque manoir avec de nombreux recoins obscurs et ses créatures pas tout à fait sanguinaires, elles sont sombres et hideuses avec leurs caractéristiques et surtout une histoire touchante derrière tout ça, le seul petit bémol est qu'on ne les aperçoit peut-être pas suffisamment, à moins d'être trop gourmand.

Le film est complet et concluant, mais malgré tout une suite pourrait peut-être la bienvenue, car le final laisse potentiellement les portes ouvertes pour une suite propice, mais je ne crois pas que cela est ou sera en projet un jour, il n'a même jamais été envisagé.

Comment prendre peur en regardant un film
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Premier long métrage de Troy Nixey, Don’t be afraid of the dark (2012) est un remake du téléfilm éponyme diffusé sur les écrans américains en 1973.

Si le scénario a été rédigé par le célèbre réalisateur-scénariste espagnol, Guillermo del Toro, il ne se révèle pas pour autant moins médiocre. Après une scène d’exposition, plutôt convaincante esthétiquement parlant, qui propose un semblant d’intrigue susceptible d’éveiller la curiosité, le reste de l’aventure alimente un ennui irréparable.
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Couplé à l’absence fatidique du sentiment de l’effroi, le manque de rythme perd le spectateur dans un univers faible en rebondissement, suspens, sensation. L’immersion ne se crée pas, face à un casting décevant, une histoire superflue prévisible nullement crédible, une mise en scène peu percutante, mais également une chute qui, après s’être fait longuement attendre, vient parachever un pâle tableau dénué d’intérêt.
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Les amateurs d’émotions fortes et de subtilité, quant au traitement du sujet d’un film, devront irrévocablement passer leur chemin ; les autres curieux seraient avisés d’agir de même au risque de perdre leur temps.

Ultra déçue par ce film, qui ne fait absolument pas peur et qui au final ne dégage aucune autre émotion non pu. On ne s'attache pas aux personnages.L'apparition des p'tites créatures était une chose interressante, mais au final on les voit à peine, et pendant peu de temps.

Ce n'est pas ce qui est dans le noir qui fait peur, c'est tout ce qu'il y a sur la pellicule.Un scénario prévisible et ennuyeux, une gamine tête à claque, des acteurs parents inexpressif et des créatures qui sont plus risibles qu’effrayantes.Consternant!

On ressent la patte du producteur qui n'est autre que Guillermo Del Toro dans l'ambiance et le style de Don't Be Afraid of the Dark, un film d'épouvante qui débute bien à l'exemple d'une bonne scène d'introduction et d'un joli générique mais rapidement on sent que Don't Be Afraid of the Dark se contentera de rester dans les bases du genre, une histoire de demeure démoniaque (à savoir que c'est le remake d'un téléfilm des années 70) de plus mais si c'est bien fait je suis preneur. Mais on regrettera que passé une première demi-heure prenante Don't Be Afraid of the Dark commence à s’essouffler et surtout n'effraie jamais. Un joli film un peu vide quant aux acteurs ils n'apportent pas grand chose entre une Katie Holmes qui est une actrice bien fade, une enfant peu attachante et un Guy Pearce (que j'aime bien d'habitude) en petite forme. Pas raté mais trop bancal pour satisfaire.

Un bon film d'horreur parfois réellement flippant, le soins apporté au design des créatures est superbes, le scénario sait nous toucher avec se mélange de drame et d'horreur. Une nouvelle frappe pour Guillermo Del Toro et un très bon début pour Troy Nixey.

Excellent! Un conte gothique classique mais bien réalisé et interprèté. Une ambiance tendue, des décors superbes: un mix entre guillermo del toro( qui produit le film) et dario argento. Une réussite qui aurait mérite une sortie en salles.

On se demande pourquoi Katie Holmes a accepté un tel film... Il n'y a rien dans ce film ni suspense, ni frisson... À la limite la petite fille joue pas trop mal

Que l'on aime ou pas Guillermo del Toro, on ne pourra pas nier que le réalisateur mexicain a une imagination débordante composée à la fois d'un bestiaire varié et de peurs enfantines poignantes. Ainsi, après avoir plusieurs fois abordé ces thèmes (notamment avec Le Labyrinthe de Pan), il décide de produire et co-écrire le remake d'un vieux téléfilm des années 70, Les Créatures de l'ombre, qui mettait en scène un couple aux prises avec de minuscules monstres tapis dans sa nouvelle demeure. Pour cette refonte, del Toro a bien entendu rajouté une enfant au milieu de cette jolie paire d'adultes, transposant l'intrigue du point de vue de cette petite fille fragile et délaissée. Une bonne idée sur papier qui sera malheureusement le principal point noir du film... Une relecture dans les cordes du Mexicain, un casting de choix (Guy Pearce et Katie Holmes en tête), des effets visuels réussis, des décors somptueux, une atmosphère gothique... Tout semblait propice à un bon film du genre avec son lot de frayeurs qui nous fera autant oublier les récents produits formatés en found-footage que les terrassants films de fantômes ou d'exorcismes. Malheureusement, si la mise en scène reste relativement très soignée, c'est surtout dans la mise en œuvre des séquences censément effrayantes que le réalisateur Troy Nixey va se planter. Enchaînant des scènes stupides comme citées dans le manuel du classique film de trouille (ou quand laisser une gamine à problème seule dans une pièce devient une priorité), dévoilant les créatures en omettant n'y intégrer le moindre suspense, se réfrénant dans les scènes les plus intenses (la scène de la baignoire fait pâle figure à côté de celle d'introduction), Nixey n'arrive pas à mélanger drame familial et horreur pure pour un résultat cohérent. Ainsi, outre les passages intéressants mais poussifs de cette petite fille délaissée que personne ne croit (rarement le monde incompréhensif des adultes n'aura été aussi exagéré), c'est vraiment à travers des séquences incrédules que nous aurons affaire : aller au fond de son lit pour voir ce qui nous chatouille les pieds au lieu de soulever le drap, aller dans les coins les plus sombres alors que l'on sait que les bêbètes détestent la lumière, se faire voler l'unique preuve de ce qu'on avance alors qu'on a auparavant refusé de montrer ladite preuve à des adultes... Qu'est-ce qu'on est bête quand on a huit ans alors ! Bref, remake en soi réussi mais souffrant de facilités à chaque plus consternantes les unes que les autres, Don't Be Afraid of the Dark n'échappe pas à son passé et reste finalement lui aussi une œuvre au fond télévisuel et surtout désuet qui peine à remplir son contrat. Dommage, l'intention était plus que bonne.

Ecrit et produit par Guillermo Del Toro, ce conte horrifique n’ayant pas eu le droit à une sortie en salle en France se trouve être une très agréable surprise. Il faut dire que la mise en scène réserve de bons moments de frissons, le BO très gothique de Marco Beltrami est superbe, le scénario certes pas très élaborer réserve néanmoins quelques surprises et les petits monstres qui sont présents sont vraiment bien conçus. L’interprétation du casting est, par contre, assez inégale car si Katie Holmes et la petite Bailee Madison donnent vraiment satisfaction, ce n’est malheureusement pas le cas de Guy Pearce qui manque d’implication. Au final, il s’agit d’une série B tout à fait recommandable et que les fans du genre devraient apprécier.

Bonne surprise que ce film produit et écrit par Guillermo Del Toro en personne qui semble se faire un malin plaisir à surfer sur le folklore traditionnel irlandais pour ne citer que lui. L'ensemble sent bon les 80's avec ce côté très Steven King par moment. En résulte un bon divertissement.

Pas bien original mais formellement impeccable, DON'T BE AFRAID OF THE DARK séduit et touche si on garde une âme d'enfant. Œuvre fantastique et gothique d'une belle sincérité et sans chichis, le film fonctionne sur des thèmes simples mais universels et de belles fonctions horrifiques.

sans interet, guillermo n'est que producteur mais je m'attendais a voir sa "marque " dans ce film d'horreur sans tension. en tout on ne comptera que quelques coupures, et un déces... et beaucoup d'ennui. encore un film d'épouvante décevant. suivant !!

11/20 : Tout d’abord, la jeune actrice Bailee Madison incarnant Sally est tout à fait convaincante ainsi que Katie Holmes qui interprète la belle mère de celle-ci. Hors, Guy Pearce tient ici un rôle complètement effacé aux réactions parfois invraisemblables face à certains évènements. En ce qui concerne les créatures (faisant penser aux Gremlins), celles-ci sont bien réalisées et il est amusant de les voir en pleine action. Certes, nous ne nous ennuyons pas devant cette fiction signée Troy Nixey et produite par Guillermo Del Toro, mais celle-ci reste fade dans l’ensemble et certains point ne sont pas assez développés. De plus, la fin du film est bâclée et manque de crédibilité. DON’T BE AFFRAID OF THE DARK est un petit thriller divertissant mais qui malheureusement, n’offre peu de surprises.

Avec un scénario tiré du téléfilm de la ABC de 1973 "LES CREATURES DE L'OMBRE" (Don't Be Afraid of the Dark en VO), ce remake perd maturité en se centrant sur une fillette et en crédibilité en présentant des monstres minuscules ressemblant à des Ouistitis. Malgré un bon jeu d'acteur de l'enfant jouant Sally, une bonne réalisation et quelques bonnes idées, le trop plein d'invraisemblances et le mauvais jeu du reste du casting nuisent à la crédibilité de l'ensemble. Un film d'horreur sympa avare en frisson.