Avis : Anvil ! - Page 2

Tout simplement magnifique!!! Je ne connaissais absolument pas Anvil avant de voir le film(documentaire?), n'empêche que maintenant j'ai une folle envie de leur acheter leur CD pour les sortir de leur merde (Objectif du film?)!! On y trouve tout l'histoire d'un groupe de rock, on pourrait limite le prendre comme un mode d'emploi, a ne pas vraiment suivre, pour monter son groupe. La connerie des maisons de disques, "Vous êtes trop vieux..." (Put*in mais je t'en foutrai des VOUS ETES TROP VIEUX!!) avec leur objectif thune 0 talent... Le film est émouvant, très émouvant. On voit aussi très bien la puissance que la scène a sur le groupe et la dépendance qu'il en découle, ne supportant pas vraiment la vie de moutons lambdas. Ces gars ne méritaient pas le sort qu'ils ont subi, il étaient trop bon. "For heavy metal We will die!"

Un doc qui va droit au coeur, à la fois drôle, décalé et bouleversant, montrant l'industrie musicale dans tout ce qu'elle a de moins glamour tout en faisant le portrait touchant de deux éternels ados qui ont eu le courage (ou la folie, c'est selon) de ne jamais lâcher l'affaire.

Un rockumentaire drôle, tendre et attachant, à l'image de Lips et Robb Reiner, les deux leaders du groupe Anvil. On est très proche du tordant faux documentaire "This is Spinal Tap" de Rob Reiner (étonnant, à une lettre près...), sauf que là, tout est vrai... Un gros clin d'oeil apparaît d'ailleurs dans le film : quand le producteur d'Anvil fait écouter une prise au groupe, il met le son à 11 (!). C'est drôle mais du coup, on s'interroge sur l'authenticité du film. Un film génial malgré tout, réalisé par un des rares fans du groupe.

Fan de métal, vous allez adorer, pas fan de métal, vous allez aimer, ce documentaire est à voir quelque soit votre tendance musicale. Moi même n'étant pas un gros fan de hard rock (pour dire j'aime bien ACDC, un peu Scorpions et quelques autres groupes mais après ça s'arrête là), j'ai pourtant bien aimé ce documentaire qui décrit un peu la carrière du groupe Anvil, un groupe qui en a inspirait beaucoup dans le domaine du métal mais qui n'a pas connu la gloire. On voit un peu ce qui se cache derrière ces rockeurs, ils vivent que pour la musique, que pour leur groupe, ils restent souder, ils ne se sont jamais séparer malgré la mort de personnes de leurs groupes, ils espèrent vivre de la musique mais personne ne veut les aider, ils font des festivals durant leurs vacances mais ne gagnent rien... Bref ils ont connu souvent des moment de galère, on voit même ces deux rockeurs pleurer par moment, c'est émouvant et on espère durant ce documentaire qu'ils vont connaître la gloire qu'ils méritent. Ce film est profondément humain, on est touché tout le long, c'est un film à ne pas manquer!!!!!!!!!!

Touchant, même émouvant, ce sont des destins de vraies gens qui se déroulent sous nos yeux un peu inquiets. Souvent très drôle aussi, on s'attache aux 2 principaux protagoniste liés par une longue histoire d'amitié. Et surtout : beaucoup de folie dans l'attitude de ces grands enfants, j'adore ! Et contrairement à ce que peuvent penser certains ce film n'est pas uniquement destinés à un public de rockeurs averti...

Un groupe de rockers vieillisants, représentation parfaite de "losers", tentent un énième retour. Sur le thème, Rob Reiner a naguère réalisé une parodie hilarante de documentaire rock ("This is Spinal Tap !", 1984). La démarche entreprise par l'ancien roadie Sacha Gervasi est un peu différente car le groupe canadien Anvil -embarqué dans une nouvelle tournée catastrophe et venant d'enregistrer un treizième disque "parfait" mais refusé par toutes les maisons de disques- existe vraiment. Plus que de faire connaître l'un des principaux contributeurs de l'âge d'or du metal, mais resté dans l'ombre du succès, l'intérêt du film réside dans la découverte, ou la redécouverte, de deux personnages, le chanteur Steve "Lips" Kudlow et le batteur Robb Reiner (sic !)qui, outre un talent indéniable, manifestent des qualités humaines sympathiques et un entêtement jouissif à ne jamais abandonner malgré l'adversité. Comme aurait dit Mark Twain : Perce, mon ami, perce !

« Anvil », c’est un groupe de Metal référence des années 80’s. Précurseur, ils sont les fondements d’un mouvement dans lequel suivront Metallica, Scorpions, Iron Maiden,… Mais voilà, eux ne réussiront pas à en vivre.
Ce documentaire suit durant une tournée pitoyable les 2 membres fondateurs du groupe. Ils se sont rencontrés à 14 ans, sont toujours amis ; mais vivent de galères : petits boulots,… et d’espoir de juste retour du succès… avec un 13ème album.
Ce portrait de Lucky loosers pathétiques est sans intérêt. Voir des gens qui ont eu du succès, qui sont reconnu par le milieu, mais qui sont passés à côté de leur vie… Bof
Laisser tomber à moins que vous soyez fan de heavy metal

Ce docu est etonnant. Je n'avais jamais encore entendu parlé de ce groupe (pourtant je suis fan de metal!)qui n'a pas reçu le succés qu'il merite.Hasard,malchance,musique qui ne plait plus ?Leur histoire est tres touchante et il a fallut beaucoup d'humilité au groupe pour devoilé ainsi l'intimité des membres dans leur "loose" quotidienne, les tournés ratées,le public absent , leur remise en question reguliere, leur boulot a mi temps comme Mr tout le monde.
Au derniere nouvelle, Anvil irait mieux depuis ce film, j'en suis tres heureux, il merite de remonter à la surface. Longue vie à Anvil!!

Un documentaire magnifique, touchant, émouvant, drôle et dur qui même pour les novices donne de l'interêt. On passe un super moment à en apprendre plus sur ce groupe qui a influencé des grands groupes de musique. "Anvil !" est à voir pour tout le monde !

Enfin un film rock! On voyage avec Anvil, et on suit leur périple vers toujours ce rêve de reconnaissance. Mais le film est bien plus que ça, il montre aussi la difficulté de mener un groupe, de partager un rêve commun, et de vivre ensemble, malgré et envers les autres. Le réalisateur a dans de nombreux plans qu'il montre visé juste! Au fond, je me suis laisser convaincu par l'esprit rock rebelle de ce groupe, qui se bat et se fait une raison de la non-comprehension des autres. (même si je ne porte pas de jugements ni sur leur talent ni sur les préjugés de ceux qui leur déconseille l'aventure). A vous de voir!

"Steve "Lips" Kudlow et son meilleur ami Robb Reiner" : personnes attachantes et incroyablement déterminées. Ses seniors ont une telle envie de réussir, une telle abnégation pour revivre ce qu’ils ont vécu mais en plus grand, en « plus » fortune, en « plus » célébrité, que l’on a qu’une envie c’est de les aider, ou de les voir réussir. Ces éternels ados ne lâchent rien. Ils ne vivent que pour leur passion : la musique ; leur genre : le heavy metal. Ils font plaisir à voir dès qu’ils jouent et chantent. Combien se résigneraient ? Eux ? Pas la moindre once de résignation. Au-delà de leur talent ( ?), de leur jeu, c’est un véritable engagement. Leurs tournées foireuses, les concerts aux publics faméliques ne les rendent ni pathétiques, ni ridicules. Aucune compromission, ils se refusent à vivre une vie professionnelle ordinaire même s’ils la vivent contraints et forcés. Mais cette vie semblerait être une parenthèse... une longue parenthèse de plus de 20 ans. Et pendant ce temps-là ils vieillissent. Peu importe, ils continuent d’avancer. Il n’est pas question d’abandonner. Leur foi en leur musique, en leur art force le respect.
Maintenant, pourquoi ont-il chuté si vertigineusement et pas Metallica ou Motorhead par exemple ? Il est sain de constater qu’il n’est pas si évident de planer dans les hautes sphères du show biz. Il n’y a rien d’acquis. Rien de tracé. Qu’ont-il fait ? Que n’ont-il pas fait ? Pourquoi Anvil et pas Metallica ? Oui, il est sain de voir que ça peut arriver aux plus grands et pour ceux qui rêvent de célébrité, de vivre comme des rock star, le succès s’avèrent extrêmement fragile voire ingrat. J’espère qu’ils retrouveront leur place avec l’aide AC/DC. Un autre films, peut-être ?

Une ode à l'amitié et à la persévérance. Ce ne sont peut-être pas les meilleurs musiciens du monde mais ils y croient dur comme fer (ou plutôt comme métal) et vivent à fond leur rêve. Ils sont passés à côté de la gloire? Et alors? On leur a dit d'arrêter le rock en les traitant de losers mais ils n'ont pas baissé les bras. Résultat: on fait un documentaire sur eux et je vous en parle. Dans la vie il faut avoir foi en sa passion et ne JAMAIS renoncer, quitte à se planter en beauté. Ce docu drôle et touchant ne s'adresse pas qu'aux fans de heavy metal mais à tous les courageux qui ne renonceront jamais à leurs idéaux !

Film magnifique, poignant, authentique... Une histoire d'amitié et d'amour de la musique touchante et triste.
On peut adorer ce film sans apprécier la musique d'Anvil.
On peut adorer ce film en étant fan d'Anvil.
On adorera ce film si on aime être ému par des personnages vrais.
La réalisation est bonne car elle est très discrète, elle est respectueuse de la candeur des deux protagonistes.

Il y a dix ans de cela, le scénariste Sacha Gervasi réussissait l'impossible en exhumant de l'oubli la musique du groupe Anvil. Un duo canadien qui n'avait jamais connu le succès escompté, malgré une entrée en matière des plus remarquées. Beau film sur la musique et l'amitié, émaillé de nombreux sourires et de quelques larmes, le métrage rappelle qu'il n'y a pas de honte à poursuivre ses rêves indéfiniment. Depuis ce métrage, le groupe a surgit de l'oubli pour ne plus y retomber. Une nouvelle génération de fans de hard rock ont découvert Anvil grâce au film. En l'espace de dix ans, le groupe aura donné des centaines de concerts à travers le monde, en Amérique, en Asie et en Europe, figurant à l'affiche des plus illustres festivals. En outre, les différents albums sortis durant cette période ont récolté l'adhésion de la critique et du public. Contre toute attente, Anvil a enfin accédé à ce statut auquel il était destiné depuis ses débuts. Celui d'un des groupes majeurs de l'histoire du hard rock.

un des meilleurs rockumentaires avec Dig , l'éopépe d'un groupe de heavy has been qui n'ont jamais failli à ce qu'ils étaient et non pas vendu leur cul aux majors quand je vois les grosses merdes qu'on a en France ça fait relflechir