Avis sur Stretch

Malgré un rythme un peu bâtard et une conclusion un peu hâtive, Stretch possède un charme inébranlable qui nous pousse à vouloir en savoir davantage au fil des secondes.

Stretched c'est ballonné, bouffi comme dans budget bouffi, le casting est bouffi, la bande son est bouffie, tout est bouffi. C'est peut-être parce que je viens de regarder plusieurs bons films. Peut-être que c'est pour ça que ça a l'air si incroyablement mauvais. C'est un rappel que les acteurs ne sont en fait que des acteurs et qu'ils ne font que dire des répliques. Un des acteurs de ce film était dans un autre film récent que j'ai vu un bon film. Je déteste discuter des acteurs parce que j'aime me concentrer sur le film lui-même et non sur les personnes qui jouent les rôles. J'aime bien faire ça mais je ne peux pas le faire pour un film comme celui-ci parce que c'est un cercle hollywoodien qui ne mérite pas d'être considéré comme un film. C'est juste une collection de bobines de film avec des gens qui parlent et des choses qui bougent. Ce film est l'incarnation de l'énergie gaspillée...

Celui qui aime les courses de chevaux sera comblé de voir ce sujet au centre du film . On y voit quelques vrais vedettes des pistes faires de brèves apparitions , tel que Christophe Pieux . Reste que le scénario est pratiquement inéxistant . On en sort déçu.

Avouons le clairement, on allait pas voir Stretch (2011) pour son intrigue sur les courses de chevaux et les jockeys, mais uniquement pour voir David Carradine (1936-2009) qui est décédé pendant le tournage de ce film, dans la nuit du 3 au 4 juin 2009, à l'âge de 72 ans, à Bangkok en Thailande (il lui restait trois jours de tournage).
En ce qui concerne le film, c'est la déception qui nous envahi, David Carradine fait figure de guest-star et n'apparait pas bien longtemps durant les 90 minutes que comptent le film. L'intrigue de ce dernier n'a réellement rien de palpitant et manque de chance pour nous, la mise en scène totalement amorphe aura tendance à ennuyer plus qu'autre chose. Et ce n'est ni la présence de Nicolas Cazalé, Fan Bing Bing et encore moins Nicolas Duvauchelle qui parviendra à sauver les meubles.

"la fille tremblait pour le jeune jockey français" le hasard, la chance, la texture des images, vidéosurveillance dans les salles de casinos, incrustation de textos, tatouages, insertion de l'annonce dans un flash radio du décès de David CARRADINE, en tout début de film, comme un pressentiment, un signe mystique fait au jeune sportif ingénu, qui finira bien par comprendre que tout est truqué, arrangé. Des scènes suberbes, magiques : la proposition de "ne pas gagner cette fois" au milieu des gloussements de jeunes asiatiques dévêtues ; Pansy dans sa chambre, surplombant Macao, avec cette grande tour hallucinante à l'habillage de lumières-néon mouvantes, observant la nouvelle victoire de Christophe à la télévision, l'embrassant sur l'écran ; cette rangée de lampadaires urbains, comme une citation de Weerasethakul, comme la splendide séquence de l'exil dans l'exil, en Thailande. Etc etc... et surtout MACAO, MACAO, MACAO sans fin

Catastrophe, ce n'est pas un film regardable au-delà de 10 minutes.

Un parieur est un un homme qui joue ce qu'il a, métaphysiquement, sur un coup de chance, relatif au jeu choisi évidemment.. Un coureur est un homme qui court pour gagner, à différencier de l'homme qui court, courant pour d'autres convictions bien moins franches.. Le parieur, ainsi, entretient négativement, une relation avec le coureur et positivement avec l'homme qui court, le but étant, comme il l'est toujours, de rentabiliser la perte consentie, de faire du flouze en somme et grossièrement. Le spectateur subit la loi des jeux, la passion pour le coureur, l'ignorance des deux autres, dans un despotisme tout à fait ignorée lui-même.. Une vie, est un ensemble de jeux que l'on gagne ou que l'on perd, sans corrélations bien-fondées mais entretenue tout de même par un rapport inéluctable.. Une défaite est une perte non-consentie, or une défaite peut s'avérer être une victoire et est toujours la victoire d'un autre.. Une image est un plan que l'on choisit d'arrêter et de fixer dans le temps, non pas une image arrêtée elle-même.. Un casino n'est pas un magasin de supermarché.. Une femme est la clé ouvrant les courses qui ne s'arrêtent jamais.. Une femme est indépendante de la notion de fluidité financière.. Une fin est ce qui arrive lorsque quelque chose a débuté.. La fin, c'est maintenant..

Deception au rendez-vous de cet opus manqué... dommage que le film ne tienne pas le pari prometteur du trailer...

bon alors d'abord quant je vois les critiques 5 étoiles je sent la pub a plein nez a ce point la c'est hallucinant de bêtises de la part des commerciaux du film moi maintenant je vais quand même lui mettre 3 étoiles alors pourquoi d'abord je me suis vraiment identifie au hero poutant je suis assez grand pas super maigre j'aime pas spécialement les chevaux et je pourrez jamais portez une casaque orange mais je me suis sentie proche de lui ensuite les décors et les images en general sont superbes on sens bien l'ambiance des diffèrent lieux on est vraiment en train de voyager a Macao de et de parcourir le monde de l'hippisme pour finir je voulais mettre 4 mais malheureusement je l'ai vu en anglais non sous-titres et mon niveau n'est pas super bon donc je baisse MA note(je sais perso mais si j'ai perdu de l'intrigue c'est normal)ah oh faite au sujet de David carradine moi j'ai pas vu le film pour lui comme disais certains critiques mais d'un autre cote il a vraiment un petit rôle en plus l'hommage au début est discret et simple pour finir oui l'affiche fait peur vous arrêter pas a ça

Je ne sais pas trop quoi penser de ce film. Est ce vraiment la loi qui règne a Macao ?
L acteur principal est très bon.

film à mourir d'ennui.Une heure et demi de pas grand chose, à eviter absolument!!

Le realisateur a oser faire jouer david carradine dans se film quel honte. Paix a son ame je pense quil en et mort :(

Je viens de voir ce film en avant-première et tout d'abord je dois dire que ce film est destiné à ceux qui connaissent le monde des courses et sont un peu cinéphiles, sinon pas la peine d'aller voir ce long métrage. Histoire d'un jockey qui se retrouve vedette à Macao, après des déboires en France. Le film est bien fait avec de belles images plausibles de courses hippiques et des images de Macao resplendissantes. Nicolas Cazalé, que j'avais beaucoup aimé dans "le fils de l'épicier" et "Dans pars vite et reviens tard", joue avec talent le rôle de jockey. Par contre quelques longueurs et une certaine lenteur peuvent ralentir l'attention du spectateur. Quant à la jolie actrice Chinoise (très connue dans son pays) à elle seule vaut le déplacement. Un film qui ne laisse pas de marbre, on aime ou on n’aime pas...

Un film effarant de nullité. Tout est mauvais : le scénario, les acteurs, les dialogues (qui consistent la plupart du temps en messages sur répondeur, voire en sms affichés en gros en surimpression sur l'image !). Charles de Meaux a peut-être voulu inventer un nouveau genre de film : le film-sms !
C t tro nul ce film !!! kikoolol

spoiler: Christophe est un jeune jockey parisien pétri d’ambition et d’illusions. Mis à pied après avoir été contrôlé positif à l’issue d’une course, il choisit de s’expatrier en Asie, à Macao. Rapidement, son statut change. Les victoires en course se succèdent, lui amenant argent facile et conquêtes féminines. Mais Macao a ses règles, auxquelles Christophe pense pouvoir déroger. Les événements vont se précipiter alors que l’étau se resserre autour du jeune jockey. Poussé par l’amour d’une jeune femme chinoise moderne, distante mais obsédante, Christophe va finalement remettre son destin en jeu, mais cette fois sur le tapis vert.