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    The Irishman
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    guillaume B.
    guillaume B.

    4 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    Extrêmement déçu, ce qui aurait dû être au vu du réalisateur et du casting, un très bon film n'est qu'au final qu'un lonnnnng et pénible métrage.
    On est quand même assez loin d'un scorsese au sommet de son art, on régresse sur des acquis d'un autre âge.
    La photographie basique, les flash-backs à outrance....
    Même les effets de rajeunissement des acteurs sont ridicules.
    On rajoute à cela aucune scène marquante et on obtient plus de trois heures d'ennuis.
    Mes deux étoiles sont pour Al Pacino qui est le seul à offrir une super prestation malgré son rôle de second couteau.
    Jpleilamylenediego
    Jpleilamylenediego

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 novembre 2019
    Cela aurait pu s’appeler Mafia Blues IV ou Ephad Confession. C’est le film de trop pour Scorsese, un peu à l’image des Bronzés III pour Leconte. La mayonnaise ne prend plus et même un casting de folie De Niro-Pacino-Pesci-Keitel n’ont pu sauver le film. Et pourtant on aimerait y croire comme pour les Affranchis 30 ans auparavant. spoiler: Mais non, cela en devient pathétique lorsque De Niro joue la scène de règlement de comptes pour sauver l’honneur de sa fille, une pâle copie de Ray Liotta dans la même situation pour sa petite amie dans les Affranchis
    . La vieillesse est un naufrage et les durs de la mafia n’y échappent pas, on arrive même à croire que le destin d’une mort prématurée préserve le mythe. Mais comment ne peut-on pas voir ce film, on n’en ressort pas déçu mais témoin que le miracle ne s’est pas exhaussé à l’image de ces 3h29 interminables.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 novembre 2019
    Quel film ! c'est avec une certaine nostalgie que j'ai regarder les grands noms du cinéma américain faire ce qui est surement le dernier film de mafia comme on en reverra plus. Des légendes, De Niro quel acteur.

    J'ai apprécié ce film.
    Naughty Dog
    Naughty Dog

    796 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    10 ans d'attente et 3h20 plus tard, c'est un sentiment très particulier qui nous travers après avoir attendu et vu The Irishman


    sorte de fresque mafieuse à la Scorsese tendance Casino rencontre le Loup de Wall Street où l'on suit un homme de main irlandais qui gravira les échelons d'un syndicat de travailleurs respecté mais qui verse également dans la criminalité, The Irishman estavant tout un film sur le temps qui passe.


    Telle une marche funèbre (le film étaient bien sûr une énergie, que l'on doit encore à une réalisation de Martin Scorsese ultra maîtrisée à base de plans longs, plans-séquences, plans "god-like" et bien sûr le talent de montage de Thelma Schoonmaker que l'on ne présente plus).

    Néanmoins,après le chef-d'oeuvre absolu qu'était Silence, et après avoir traité de la foi, Scorsese ne sublime plus ses figures mafieuses ou criminelles,et chaque instant du film nous rappelle qu'in fine, la tombe attend chacun d'entre eux.


    Avoir De Niro-Pesci-Pacino en trio principal est évidemment un immense bonheur de cinéphile,et on est clairement servi : les 3 acteurs livrent leurs meilleures performances depuis des années (et si c'était leurs derniers rôles respectifs, ils pourraient partir en paix).


    On avait pas vu Joe Pesci dans un tel personnage ambivalent, tantôt sympathique, tantôt très froid et calculateur dans l'ombre.

    Pacino est celui qui montre qu'il a rien perdu de sa fougue et son énergie (et le voir répéter "cocksucker" des dizaines de fois dans le film est savoureux ^^).


    Robert De Niro est évidemment au centre du récit, à divers âges. Et si sa prestation est évidemment de très bonne facture, on pourra regretter un rajeunissement numérique non optimal. A la base promis comme un film qui nous ferait revivre le De Niro du Parrain 2 jusqu'à aujourd'hui,la réalité est bien différente malgré les 160M de budget.

    Ona littéralement 3-4 looks différents du personnage, mais où l'âge véritable de l'acteur trahit l'artifice, et où le visage lissé fait plus office de lifting numérique que d'une vraie modélisation (comme Gemini Man par exemple).

    Malgré cela, le tout est plus naturel lorsque De Niro est présent dans la 2e partie du film.


    Le reste du casting est excellent même si plus ou moins (Harvey Keitel, Bobby Canavale, Jesse Piemons, Anna Paquin...).


    Le script fourni de Steven Zaillan est excellent (qui renvoie d'ailleurs un peu à son formidable travail sur American Gangster) même si on regrettera une partie centrale mettant le focus sur les luttes intestines du syndicat et les poursuites judiciaires, en délaissant grandement une des composantes majeures du cinéma de Scorsese : les femmes et la famille. Le cadre intime n'est pourtant pas négligé vu qu'il participe aux dernières 30 min (et une fin douce-amère émouvante), mais est trop peu exploité.


    La photographie de Rodrigo Prieto nous immerge dans cette Amérique des 60's-70's, sans être un de ses meilleurs travaux, mais propose des plans variés tout au long de cette tranche de vie dont on ressort avec l'impression que Martin Scorsese a clairement terminé sa tétralogie du crime (après Mean Streets, Goodfellas et Casino).


    Un excellent cru tout simplement, pour un film tentaculaire !
    selenie
    selenie

    5 431 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Une fresque de 03h30 toute de même sur un homme qui a traversé une demi-siècle d'histoire américaine rencontrant et croisant des hommes de l'ombre ayant eu à faire de prêt ou de loin aux grands évènements de l'époque. Le récit s'étale des années 50 au début des années 2000, tout en gardant les mêmes acteurs ! On se croit un instant dans la veine de "Les Affranchis" ou "Casino" mais cette fois Scorcese y retire le panache et la démesure et nous montre que le temps passe et que la vieillesse est un naufrage également pour les caïds. Le scénario est dense et foisonnant pour une fresque passionnante sur un homme de l'ombre qui aura tout traverser pour finalement finir seul au monde. Néanmoins, Scorcese signe une fois de plus un grand film, prenant et merveilleusement incarné qui ne pêche que par un rajeunissement numérique loin d'être probant.
    Site : Selenie
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2019
    Scorsese redonne une seconde jeunesse (au propre comme au figuré) aux dinosaures du polar mafieux dans un film fleuve sur le temps, qui passe pour ses personnages, acteurs et spectateurs, et qui sait aussi le prendre lorsqu’il le faut par la mise en scène, bien qu’un brin besogneux et radotant, montrant certaines limites du cinéma scorsesien tournant à vide, mais qui pousse inévitablement à la mélancolie tant il sent l’oeuvre testamentaire d’une époque, d’une vie.
    Un dernier baroud d’honneur, qui fait plaisir rien que pour revoir De Niro et Pacino dans une telle forme.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    590 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    The Irishman est un puissant film testamentaire. Malgré une première moitié parfois mécanique, où Scorsese rejoue ses vieilles partitions, la seconde est une leçon de cinéma. Hommage touchant à ses acteurs, vision sombre du temps qui passe, il offre la quintessence de son style.

    https://www.cineserie.com/dossiers/toplist/top-des-acteurs-rajeunis-numeriquement-a-lecran-2951305/?fbclid=IwAR0-AbNjkh5mnqcCfSRzxYoqDDIiwf6OH1Et-5oPeM5wthns3gGAJ8l85-A
    eldarkstone
    eldarkstone

    179 abonnés 1 950 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    Les acteurs sont bons, les décors rétro assez classes, mais à part ça, petite déception. J'ai l'impression de voir un ènième film sur la mafia version Scorsese. Peu de surprise.
    djnasty
    djnasty

    38 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Un bon film de mafieux mais à l'action distillée au compte gouttes, ce qui rend le film vraiment long par moments. La distribution est excellente, le trio d'acteurs principaux est toujours aussi charismatique malgré l'âge qui avance, et leur rajeunissement numérique est plutôt bien fait dans l'ensemble. Globalement un bon film, mais loin d'être le meilleur Scorcese
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Le cinéma de Martin Scorsese a toujours su s’emparer de la durée comme d’une ressource dramatique à part entière, si bien que bon nombre de ses long-métrages dépassent, du point de vue de leur durée, l’entendement. Déjà Silence entendait souffrir à l’unisson de ses missionnaires martyrs en suivant, pendant deux heures et quarante minutes, leur éprouvante quête teintée d’espérances et de cruelles désillusions. Avec The Irishman, Scorsese va plus loin encore, dépasse les trois heures trente minutes, pour mettre en scène l’odyssée individuelle d’un homme plutôt médiocre au sein d’une fresque historique plus vaste, soit une plongée de près de soixante-dix ans dans l’Histoire des États-Unis. Ce jeu d’interdépendance entre la grande échelle – Frank Sheeran et ses acolytes – et la petite – l’Histoire d’un pays – ne respecte cependant pas la réciprocité des échanges ; car si nos mafieux vieillissent et se perdent, le pays continue d’avancer, au risque de balayer d’un revers de main leurs bien insignifiants destins. Le choix d’une construction en flashbacks transforme les récits enchâssés en flux d’images, de sons et d’actions qui reviennent à la mémoire du personnage principal à mesure qu’il se remémore le passé. La mémoire apparaît comme ce long couloir d’hôpital ou de maison de retraite, donnant accès à une série de portes tantôt fermées tantôt entrouvertes et qu’il suffit de franchir pour se raboucher à des fragments d’existences. Et ce qu’il y a de paradoxal et, en ce sens, de fort pertinent, c’est de penser la durée comme une lassitude aux yeux d’hommes et de femmes insouciants et certains du temps qu’il leur reste – notons à ce titre la récurrence du motif de la cigarette et des perturbations qu’elle occasionne au sein du groupe –, puis comme une source-vive à laquelle venir boire lorsque la mort règne partout, à laquelle mêler ses larmes d’amertume et de regrets. Comme Silence, The Irishman s’achève en confession. Dans une confession indirecte, hypocrite, pied-de-nez aux attentes des générations antérieures, soucieuses de lever le voile et révéler les mystères qui continuent d'entourer l'Histoire. Preuve que la petite, très petite histoire de Franck, capitalise sur le grand mystère d'une machine dont les rouages restent inconnus. Et si Frank refuse de renseigner les agents de police, c'est parce qu'il tient à garder allumés les derniers feux d'une mythologie humaine qui risque de s'éteindre avec lui. Le film tout entier lui sert de confession, de testament cinématographique, à cette nuance près que ce livre d’images en mouvement est le fruit d’une vie intérieure : motivée par la parole, la réminiscence reste l’apanage d’un esprit loyal et éthique qui ne saurait servir de balance. Même devant Dieu. Pas un mot. Ce jusqu’au-boutisme constitue le coup d’éclat du film : les personnages – assez médiocres au demeurant – persistent à construire les bases de leur existence sur un sol mouvant qui peut à tout moment de disloquer. Trois heures et trente minutes pour mettre en scène des repas copieux, des bastonnades, de longs échanges verbaux où s’exhibent rapports hiérarchiques et sens de la famille (selon la définition mafieuse du terme). Trois heures et trente minutes pour mettre en scène un temps aujourd’hui révolu, temps auquel Martin Scorsese a voué l’essentiel de sa carrière et qui semble s’en aller avec lui et ses fidèles acteurs. Une durée extraordinaire, hors des normes en usage dans les productions actuelles, pour un testament dont l’imperfection n’a d’égal que les destins qu’il représente.
    Frederic H
    Frederic H

    15 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    quelle déception ! c'est LE film totalement surévalué du moment. Avant tout c'est long, c'est très long (à vrai dire je n'ai pas regardé la dernière heure). A aucun moment je ne m'intéresse à l'histoire ou aux personnages... tout est déjà tellement vu et revu... et le rajeunissement des personnages ne fonctionne pas du tout. Tout sent la naphtaline dans ce film. raté
    Philippe P
    Philippe P

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Un 2 * (un peu dur) pour contrebalancer l'avalanche de critiques dithyrambiques. OK je ne me suis pas ennuyé, les 3h30 ne m'ont pas posé de problème, donc difficile de parler de nauffrage absolu. Cela étant presque n'importe quelle série Netflix est capable de me tenir 4 heures d'affilée sans problème. Un breaking Bad se dévore par 3 ou 4 épisodes sans aucun souci :)
    Sauf que la, malheureusement on a affaire à un film de "vieux" sous Valium... et ça en devient parfois grotesque. De Niro rajeuni, non désolé ça ne fonctionne pas du tout, spoiler: la scène de baston avec l'épicier est juste risible
    ... seul Al Pacino est crédible et a encore un peu de peps. Harvey Keytel est la... juste pour le nom sur l'affiche.
    Donc très décevant et pas du tout du tout dans les top de Scorsese :/
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 décembre 2019
    Je ne comprends pas l'emballement, De Niro "le petit jeune", bras droit qui a du mal à mettre un pied devant l'autre... Un film venu trop tard ? Et le trucage pour le rendre plus jeune ? C'est un cinéma un peu triste que voilà... Le film de trop pour moi.
    -Gemini-
    -Gemini-

    13 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2020
    Le retour des légendes. On est en terrain connu avec Scorsese. Un casting 5 étoiles. Une bonne BO. Quelques longueurs, le film aurait gagné à être 30 min plus court mais tout est très bien développé. L'effet sur l'âge est pas mal. Quelques imperfections mais c'est déjà plus que correcte.

    Quel dommage de ne pas pouvoir en profiter en salle. Netflix gâche un grand film a le limiter en quasi telefilm... En espérant au moins une sortie Blu-ray/DVD pour lui rendre hommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Trop long, vraiment, pénible ! Pour moi on n'est vraiment pas obligé de le regarder, malgré d'immenses acteurs ! En plus les répliques de de Niro quasiment inaudible & incompréhensible ! Pénible
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