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7eme critique
462 abonnés
2 778 critiques
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1,0
Publiée le 15 septembre 2017
"L'arme fatale" du pauvre ! L'écriture des personnages manque de travail (en particulier le méchant), le scénario est sans intérêt aucun et d'une facilité affligeante, les tentatives d'humour tombent à l'eau, les dialogues sont extrêmement pauvres, les acteurs ont des têtes à claques, il y a une sur-utilisation de la musique qui en devient insupportable, sans oublier une mise en scène tout simplement affreuse, "Bad boys" se bat corps et âme pour s'imposer dans la médiocrité. Il faut le voir pour le croire, et pour se rendre compte du haut degré de lacunes et de l'impressionnante imbécilité qui règne sur ce film. Le nombre de scènes exaspérantes lui forgera d'ailleurs un aspect collector. Entre les fusillades incessantes, les courses poursuites qui n'ont pas lieu d'être etc... on a encore plus l'impression d'être pris pour un débile que face à un film d'horreur lambda pour ados. "Bad boys" est tellement pitoyable qu'il en deviendra drôle.
Coup d'essai et cas de maître! Michael Bay montre qu'il est plus qu'un honnête tacheron au service du producteur (Jerry Bruckheimer génial au demeurant). Son sens inné de l'image et son montage sans temps mort ont fait de lui un réalisateur sur qui il fallait compter. La BO est génial et le casting est terrible avec un Will Smith charmeur et athlétique, Martin Lawrence étonnament bon, Joe Pantoliano excellent en chef sur les nerfs, Tea Leoni mieux qu'une potiche, Tchéky Karyo énorme en méchant... Un chef d'oeuvre qui réserve quelques scènes d'action époustouflantes mais aussi des moments dde franche rigolade!
Je m etais toujours endormi devant au bout de 15 minutes et j ai eu la possibilité de le visionner en entier...j aurais peut être pas dû au fond . Je passe sur les vannes toutes les 5 minutes en bas de la ceinture et sur le scénario qui s étire pour rien sur 2 heures . Michael Bay a fait largement mieux plus tard au niveau de la réalisation même si il y a déjà ses tics insupportables comme les faux couchers de soleil et des ralentis poussifs.
ah ce que c'est nul !!! tu m’étonne que la suite de 2020 était mauvaise si le premier déjà est ultra nul: la plupart des scènes soit tu voit les flic s'engueuler jusqu’à l’écœurement soit tu voit les patron les engueuler jusqu’à l’écœurement soit c'est la femme de l'un des flic qui s'y met, quelques scènes avec les méchants. nul nul.
Première réalisation pour Michael Bay, qui officiait seulement en tant qu’acteur dans des séries télévisées. Aidé par l’un des ses meilleurs amis : Jerry Bruckheimer, il va se faire plaisir en réalisant un Buddy Movie, un genre vu et revu au cinéma (Rush Hour , Men in Black , L’Arme Fatale) en dirigeant Will Smith & Martin Lawrence. Bad Boys (1995) est le film qui les révèleront au cinéma. Après plusieurs apparitions à la télévision pour l’un et au cinéma pour l’autre, c’est bel et bien Michael Bay qui arrivera à faire la différence dans leur filmographie commune. Un film d’action ou s’entremêle répliques cultes, drôles et scènes d’actions. Aux côtés de Tchéky Karyo, Téa Leoni & Joe Pantoliano. Après quelques réussites ou déboires cinématographiques tels que Rock (1996), Armageddon (1998) ou encore Pearl Harbor (2001), le réalisateur donnera naissance à un second opus, sobrement baptisé Bad Boys 2 (2003). Fidèle à sa réputation, il réalisera plusieurs autres succès au box office, plusieurs films à gros budget, avec notamment The Island (2005) & Transformers (2007). “Bad Boy, Bad Boy, What you gonna do ? What you gonna do when they come for you ?”
Bad boys est avant tout le premier film de Michael bay où il réunie pour la première fois le pire duo de ces dernières années je parle bien sûr du tadem composé de Will Smith et de l'insuportable Martin Lawrence. Quelques parts c'est le film le plus soft de Bay qui n'avait pas encore l'experience ou les pleins pouvoirs pour faire du n'importe quoi en transformant sa caméra en shaker.Et puis dernière petite surprise avec Tcheky Karyo comme gros méchant même si on se demande ce qu'il fout là.
Le film réalisé par Michael BAY est très prévisible, mais aussi irréaliste. Le scénario proposé demeure sans grand intérêt. Le réalisateur semble même perdre de vue le synopsis de son film. Les dialogues des protagonistes sont pauvres. Malgré tout, Martin LAWRENCE et Will SMITH parviennent quand même à nous divertir. Mais dans l'ensemble, ça reste bien moyen.
Comparé aux autres films de Michael Bay, Bad boys fait plutôt pâle figure. Les scènes d'action sont très basiques et aucune n'en met plein la vue. Quand aux acteurs, ils sont juste bons et leurs blagues sont loin d'être hilarantes. Décevant.
Critique de "Bad Boys". Un de mes films préférés quand j'étais petit. Bon je l'ai vu récemment, mais je n'avais plus cette même sensation de "super" film. Ça reste assez divertissant, le scénario est bien réalisé , emporté avec un duo de choc Martin Lawrence et Will Smith qui fonctionne bien, un méchant charismatique, une bonne dose d'humour et d'action. 3/5
Un film d'action qui avait marqué mon adolescence mais qui, avec le recul, s'avère très mauvais. Du rythme, des scènes d'action bien chorégraphiées, trépidantes comme Michael Bay sait si bien les faire avec son extravagance coutumière mais une approche comique potache et lourde, des personnages qui apparaissent bien peu intelligents et intéressants, des dialogues grotesques. Au final, un peu révélateur de la qualité des acteurs principaux puisque Will Smith aura par la suite une carrière honorable avec des personnages intéressants ("Ali", "Ennemi d'état" ou "Je suis une légende") tandis que Martin Lawrence sera cantonné à des navets sans nom. Pétaradant mais franchement crétin.
Le premier film de Michael Bay "le démolisseur" est un de ses meilleurs et un must-see des plus décapants. Le tandem Martin Lawrence/Will Smith fonctionne à merveille, l'un en faisant agréablement des tonnes (pour le côté comédie black des années 90) et l'autre étant constamment classe, posé et charmeur. A leurs côtés, la sulfureuse Téa Leoni, atout sexy un brin cynique. Face à nos héros, notre Tchéky Karyo national, parfait en ordure sans pitié colérique et imprévisible, surprenant de crédibilité et de présence... Le scénario n'a en soi rien de bien original, le film exploitant à fond le buddy-movie sanglant rythmé à la perfection par le fils de pub et clippeur Michael Bay qui adopte donc un style élégant et coloré, sa caméra virevoltant de façon magistrale autour de scènes d'action dantesques. On n'oubliera donc pas la poursuite pédestre dans la ville, l'affrontement virulent dans les toilettes du nightclub ou encore tout simplement cette course-poursuite finale en Porsche 911, avec des ralentis en prime et des plans léchés par milliers. Réalisé il y a de ça déjà quinze ans, Bad Boys n'a rien perdu de sa fraicheur et de son efficacité, un terme représentant par ailleurs tout simplement l'ensemble du long-métrage, Bay arrivant sans peine à instaurer sa patte dans le blockbuster américain. Visuellement magnifique, scénaristiquement haletant, violent, marrant, bourrin et sans conteste exaltant, Bad Boys reste encore aujourd'hui un excellent spectacle bien hollywoodien dont on ne regrette pas le détour.