Derniers Avis : Sans Issue - Page 2

Partout où Henry Cavill ira, ils le traqueront [...] Le rèsultat du premier film ricain du rèalisateur de "JCVD" ? Une intrigue qui enfile les invraisemblances et le dèjà vu! Les scènes d'action sont souvent mal torchèes et mal cadrèes! Preuve qu'on ne devient pas Paul Greengrass en devenant l'assistant de Kassovitz! Argument marketing ? Bruce Willis! Les personnages, malgrè la prèsence de la star hollywoodienne de "Die Hard" et de la mèchante Sigourney Weaver, ne sont jamais vrais et attachants! Comme l'intrigue qui part dans tous les sens! Et apprendre comment on gâche un bon dèbut de film! Un genre qui ne convient pas du tout au tempèrament de Mabrouk el Mechri, condamnè à faire avancer l'histoire dans une Espagne de sèrie B, à coups de courses-poursuites faussement drôles (le saut de l'ange de Cavill d'un toit) et de retournements de situation absurdes . « Ne faites confiance à personne ! » stipule le slogan du film! Vaut mieux revoir la sèrie « Jason Bourne » là où il y avait au moins un semblant de crèdibilitè et d'efficacitè...

Après l'enlèvement de sa famille pendant leurs vacances en Espagne, Will (Henry Cavill), un jeune Américain ne dispose que de quelques heures pour les retrouver, faire éclater au grand jour un complot gouvernemental et trouver le lien entre cette disparition et les secrets de son père Martin (Bruce Willis). Un film d'action tout ce qu'il y a de plus basique. On se demande si les acteurs "connus" ne se sont pas perdu par mégarde dans le casting... Le scénario est truffé d’incohérences et la tension est peu présente voir quasi inexistante... Une perte de temps.

Même avec des épices de valeur, (Willis et Weaver), des doses lourdes de scènes musclées, la sauce de Mabroul El Mechri n’est pas savoureuse. Et pour cause ! Outre plusieurs grossières erreurs d’amateurs (faux raccords, plans maladroits, étirements inutiles de certaines scènes), le film du français pêche par une accumulation de ressorts dramatiques usés à la corde, des dialogues archi plats, et des situations peu vraisemblables. De plus l’intrigue est extrêmement tortueuse, voire obscure, faisant de l’ensemble un produit solidement soporifique en dépit d’un titre anglais ronflant, rendu en français par un autre à la mord moi le nœud.

Sans issue est un film sans saveur et surtout sans génie et originalité, ou l action et l histoire sont d une grande pauvreté . On se demande ce que vient faire Bruce Willis dans ce petit rôle ridicule sûrement un coup marketing. On s ennuie ferme du début à la fin.la mise en scène est très banale et le finale est écrit d avance. Dommage on aurait pu espérer mieux

un scénario intrigant, qui se découvre façon puzzle pour un thriller nerveux, aux actions et courses-poursuites intenses. mais certains rebondissements sont tout de même rocambolesques et la mise en scène n'est pas toujours exacte! même la distribution de haute renommée ne parvient pas à combler les nombreuses failles de cette série B.

Un énième réalisateur français décide d'aller voir outre-Atlantique si l'herbe est plus verte. Et pour y faire quoi ? Une petite série B d'action avec deux stars hollywoodiennes pré-retraitées : Bruce Willis et Sigourney Weaver. Enfin, Bruce Willis, on commence à être habitué. Le pauvre ne doit sans doute plus se souvenir qu'il a été acteur dans une vie antérieure chez Tarantino, Shyamalan, Zemeckis ou Gilliam. Depuis 2012, il a cru avoir la bonne idée de mettre son cerveau en stand-by en allant tourner des DTV seagaliens en affichant d'ailleurs le même enthousiasme : dans Sans Issue, le peu de temps qu'on le voit à l'écran, c'est pour le voir froncer les sourcils, plisser le nez ou pincer les lèvres. Sa manière d'exprimer son désintérêt poli pour ce qu'il joue là où Sigourney Weaver en fausse Terminator au féminin fait un peu plus le job. Quoi qu'il en soit, Mabrouk El-Mechri se débrouille pas mal pour filmer les quelques scènes d'action du scénario dont une course-poursuite finale dans les rues de Madrid. Madrid dont je ne peux pas dire qu'elle soit un personnage à part entière. Le film aurait pu être fait à Paris, Londres, Rome ou Munich que ça serait pareil tant la capitale espagnole n'est absolument pas mise en valeur. Ben non, le scénariste était trop occupé à nous trousser une énième (bis) histoire d'agent de la CIA véreux, une mallette (dont on ne saura jamais ce qu'elle contient, fainéant de scénariste) et un type au milieu qui n'a rien demandé (le gars est consultant ou quelque chose dans le genre), qui ne connait pas la ville mais qui est capable de tenir tête à tout ce joli petit monde (dont Roschdy Zem en agent du Mossad !). Crédible au milieu des années 90 avec des acteurs comme Morgan Freeman, Tommy Lee Jones, Wesley Snipes, Sean Connery, Kevin Costner ou...Bruce Willis, ce petit polar d'action mâtiné d'espionnage paraît aujourd'hui bien daté. Et El Mechri d'intégrer sans problème la longue liste des réalisateurs français comme Mathieu Kassovitz, Jean-Pierre Jeunet (pourtant le seul à avoir tenté de rester lui-même avec son Alien) ou Florent Siri ayant échoué aux États-Unis ces dernières années.

Trois noms figurent en tête d’affiche. 1°/ Henry Call. 2°/ Sigourney Weaver. 3°/ Bruce Willis. Classé par importance, l’ordre est le bon. Mais à ce compte-là, il aurait fallu y intégrer aussi dans la même taille de police les noms de Joseph Mawle et Roschdy Zem. C’eût été logique étant donné que ces deux-là bénéficient d’un rôle bien plus important que cette immense star américaine qu'est Bruce Willis. L’intrigue laissait pourtant de la place au personnage incarné par ce dernier. Peut-être qu’on aurait eu encore plus d’action (déjà bien présente) et/ou plus de spectaculaire, je ne sais pas. D’ailleurs, il est si convaincant lors de la seule et unique scène d’action dans laquelle il se trouve. Seulement voilà : c'est un feu de paille. Bruce Willis a été engagé dans une voie sans issue et tel un gamin vexé de ne pas avoir eu la part du gâteau qu’il convoitait, il se la joue. Par son jeu d’acteur (si toutefois ça en est un), Monsieur Willis se la pète. Monsieur Willis veut écraser tout le monde. Monsieur Willis maîtrise tout. Monsieur Willis prend les décisions qui s’imposent envers et contre tout. Monsieur Willis est le seul à connaître la solution. Résultat, Monsieur Willis est pédant d’arrogance, de suffisance, de fierté alors qu’il n’est pas fichu de se protéger face à la personne qu’il soupçonne d’être responsable de la galère qu’il subit. Non, ce "Sans issue" n’a rien pour plaire, mis à part le titre, le casting, et le pitch… qui rappelle un peu "Ronin" avec cette fichue mallette. Pour être honnête, il y avait de quoi faire un bon film. Encore aurait-il fallu que le scénario ne soit pas écrit à la truelle, comme c’est le cas ici. Oui, à la truelle et encore je suis gentil. Pourquoi ? Parce que les incohérences sont nombreuses. Si nombreuses que les citer toutes reviendrait à résumer une grosse partie du film. Allez, un petit exemple. Will (Henry Call) se retrouve pourchassé par des agents à la gâchette facile et d’une efficacité redoutable, en particulier de loin. Mais quand il se retrouve presque au bout du canon, eh bien il échappe miraculeusement aux tirs assassins (la scène où il s’échappe par une cage d’escalier est la plus flagrante). Devant cet étalage d’incohérences, le spectacle aurait de quoi désintéresser le spectateur, sans même parler de cette impression de déjà-vu. Eh bien ce n’est pas vraiment le cas. Et cela, on le doit aux interprétations d’Henry Cavill et de Joseph Mawle. Au milieu des immenses stars que sont Willis et Weaver, ce sont bien eux qui tirent leur épingle du jeu. En particulier Joseph Mawle, en tueur implacable à la solde de… de… chuuuuuuttttt ! Quant à Roschdy Zem, son personnage n’est pas suffisamment développé. Il fait partie des retournements de situations (parce qu’il y en a quelques-uns) mais on ne peut pas dire qu’il soit inoubliable. Il est même pour ainsi dire transparent, et on a du mal à comprendre sa façon d’opérer. Pour finir, Sigourney Weaver semble zombifiée par un personnage qui ne dégage rien. Elle est là et pas là en même temps. "Sans issue" est donc rapidement oubliable à tous les points de vue. Paradoxalement, on ne peut pas dire qu’on s’ennuie franchement, bien que cette sensation essaie de pousser la porte. Eh oui, je vous accorde que ça parait assez curieux mais bizarrement, les 93 minutes passent assez vite. Parce qu’il y a du rythme. Et heureusement qu’il y a du rythme : avec la bonne prestation de Joseph Mawle, c’est le seul aspect qui sauve ce film d’une réalisation décidément pauvre en inventivité.

On s'est donné du mal pour les effets spéciaux mais c'est bien tout. 1h30 à chercher de la cohérence dans un scénario qui est systématiquement dans une surenchère qui frôle le pathétique... Entre le rôle de chacun et notre jeune héros qui passe du mec lambda au super-héros des temps modernes... Mais c'est plaisant de se dire qu'en telle situation, on peut devenir un expert en armes et en traque...

Sans issue est un bon film d'action avec un sujet très classique comportant peu ou pas d'originalité.
L'histoire a des rebondissements et de l'inattendu pouvant être vraiment surprenante en restant claire et cohérent .
On nous apprends des informations plus ou moins importantes durant le film (surtout jusqu'à la moitié).
Le scénario est assez simple mais est logique sans en faire des tonnes .
Un dialogue allant parfaitement au film .
Une bonne fin .
Caville ,Willis et Weaver sont excellent .

Ça c'est regarde malgré les curses poursuites en voiture au centre ville de Barcelone. Avec de très bons acteurs, je pense que les notes baises son à cause d'une production assez bas niveaux..

Comment dire… Roschdy Zem… agent du Mossad, c’est une curiosité ! Blagues à part, un type qui met à mal des agents du Mossad, des espions, des agents de la CIA ou d’une branche secrète de la CIA, on s’en moque, on va pas chipoter, alors que ledit type n’a jamais porté une arme de sa vie a la chance que ladite arme soit constamment chargée, un peu comme dans les jeux vidéo grâce à des astuces en composant des codes de couleurs ; a la chance d’échapper à des méchants chevronnés, sans peur et sans scrupules, des bêtes de guerre, quoi ; et a la chance que lesdits méchants tirent comme des débutants, comme des amateurs comme ledit type sauf que lui il finit par parvenir, après quelques embûches, indispensables pour nourrir un suspens de pacotille, à libérer sa famille qui avait été kidnappée par d’autres méchants sauf que ce sont des méchants pas méchants, rien à voir avec les méchants qui tirent comme des baltringues ! Ouf ! Ca c’est une critique, comme à l’image du film, une course poursuite interminablement démodée…

Un film à suspense et d'action qui va à toute allure réalisé par le cinéaste bien de chez nous Mabrouk El Mechri avec très peu de réussite !! "Sans issue" démarre pourtant bien par des vacances en famille sur un voilier avec le père, la mère, les deux fils et belles filles. L'un des enfants laisse le cocon familial un instant mais en revenant, il n'y a plus personne mis à part son père qui lui avoue travailler pour la CIA. Jusqu'ici, ça tient la route mais pas longtemps car la suite est une avalanche de courses poursuites qui va aussi vite que la musique casse tète, les révélations hallucinantes (la soeur par exemple) qui deviennent au fil des minutes lassantes. Ca sent le film de commande Américain ou le réalisateur Mabrouk El Mechri n'a pas l'air très inspiré niveau mise en scène. Les acteurs sont pas très bons comme Henry Cavill pathétique ou comme Bruce Willis et Sigourney Weaver qui sont la juste pour payer les impots. On notera la présence de Roschdy Zem dans un petit role. Pas terrible.

Franchement ça aurait coûter quoi d'améliorer un peu le scénario qui approche du grand n'importe quoi au fur et à mesure de l'avancement du film. En fait les producteurs ont tout misé sur l'action mais à vrai dire c'est assez mal filmé. de plus le passage de témoin entre Bruce Willis, trop vieux pour ces conneries, et le fils à papa Henry Cavill ne fait pas nos affaires. le jeune acteur aillant plutôt sa place dans des productions de série B. Il reste le cas de Sigourney Weaver qui semble s'amuser mais ne peut pas grand chose pour sauver le film et Roschdy Zem qui essaye de la jouer sérieux mais qui n'est là que pour servir la soupe.

Un film d'action sans trop d'intérêt où l'on se perd un peu entre tous les protagonistes malgré un bon casting

Un petit film d'aventures sans prétention. En Espagne , un jeune homme apprend que des membres de sa famille ont été enlevés , il va falloir mener une poursuite, Beaucoup de bagarres et de l'action. Un bon jeu des acteurs , Henry Cavill et Bruce Willis impeccables et le plaisir de retrouver Sigourney Weaver que l'on ne voit pas assez.