On m'avait dit énormément de bien de ce film, mais au final j'ai été extremement déçu. Terry Gilliam part dans des délires complètements dingues, et je ne l'ai tout simplement pas suivi...
excellent fait partie de l histoire du cinema ......... un film tres innovant pour son epoque 1985 ...je serait curieux de voir le meme film realisee en 2012 ?????? c vrai que terry gilliam signe son meilleur film avec de merveilleuses performances d acteurs ......top
On ne le répètera jamais assez, avant de voir un film de Terry Gilliam, il faut se préparer, être en forme et surtout, s’accrocher ! Connu pour avoir fait partit de la troupe des Monty Python, il est surtout devenu un très grand réalisateur en donnant vie à pas mal de films ou devrait-on dire, des références. On fera notamment référence à des films comme L'Armée des 12 singes (1996) & Las Vegas parano (1998). Mais il est aussi réputé pour donner vie à des films bizarres, décalés ou expérimentaux. On repense inévitablement à son dernier film Tideland (2006) ou tout simplement Brazil (1985), film considéré comme œuvre culte par ses plus grands fans, pourtant cette œuvre visionnaire est plutôt complexe à suivre durant ses deux heures trente. Un film d’anticipation dans un monde totalitaire et sous haute surveillance, où le scénario, presque incompréhensible, devient fatiguant et difficile à déchiffrer. Bien que la mise en scène soit absurde, on appréciera les acteurs qui se donnent à fond dans leur rôles, notamment Jonathan Pryce ou encore Robert De Niro. Le film en lui même n’a aucun sens, c’est là son originalité, sa complexité et son côté si différent et effrayant pour une œuvre devenue avec le temps incontournable.
Comme toutes les oeuvres de Terry Gilliam,je n'ai pas adhéré à cet univers bien trop abstrait pour moi.Pourquoi le voir,me direz-vous?Parce que ce film est culte!Dont acte.On entre dans un monde kafkaien régi par la bureaucratie envahissante,le totalitarisme et la présence d'amas de tubes.Sombre,torturé,le décor est une véritable peinture cauchemardesque.A l'image d'un héros(Jonathan Pryce,malmené),qui ne peut conserver sa naiveté longtemps dans un monde aussi déshumanisé.Terry Gilliam se régale,le sepctateur un peu moins.Car les motivations du cinéaste,bien que comprises,restent opaques à l'écran.Une sorte de pèle-mèle sans fil conducteur,si ce n'est l'évasion par les rèves et une histoire d'amour impossible.Décevant,par rapport à tout le foin qui est fait autour de "Brazil".
Je tiens à me démarquer de l'opinion générale en disant que ce film est une grosse merde. Je suis plutot bon public mais là j'ai pas pu. On devait être 7 quand on à commencé à le regarder. D'un commun accord on a arrété apres 30mn. Le lendemain je me suis dit allez je me mate la suite, sait on jamais. J'y suis parvenu, au prix d'efforts surhumains , en ayant fait plusieurs pauses. Je me suis rarement autant ennuyé devant un film mais là je me serai surement plus diverti en regardant plus belle la vie ou les télétubbies.
Entre cauchemar, réalité, rêve, folie et critique de la société, Terry Gilliam nous livre SON chef d'œuvre d'anticipation, avec un équipage d'acteurs fantastiques assumant l'univers visionnaire du réalisateur !
Il y a des films qui viellisent bien, d'autres non. Malheuresement, Brazil fait partie de la seconde catégorie. On décroche aisement au bout de la premiere heure sans jamais pouvoir apprecier le contenu à part quelques scenes assez marantes de part leurs absolues absurdités. La faute a quoi alors? On pourrait reprocher les acteurs trés mauvais (surtout le personnage principal), le scénario maladroit ou un univers crée par Gilliam plus que tiré par les cheveux... Cependant, ce film est il a l'image de Las vegas parano, meilleur à chaque rediffusion? Le probleme est que contrairement à ce dernier, l'envie manque cruellement quant à une eventuelle rediff. EN définitive, preferez Las Vegas Parano pour de l'humour à la Gilliam avec un Benicio Del toro au top, et puis le trés bon (voir cultissime) "Bienvenue a Gattaca" pour des denonciations plus douce et habile.
Cherchant un film typé SF / fantastique, j'ai cherché sur le net et je vois " Brazil " dans des post qui citent aussi mes films préférés de SF " Blade Runner " " Bienvenue à Gattaca " " Orange Mécanique " " L'armée des 12 singes " ...
Et bien quelle déception ... Le film a un scénario en carton, l'aspect loufoque fait sourire mais juste au début parce que ça devient vite lourd. Les phases de rêves sont ridicules. Je me suis personnellement embêté et j'ai eu du mal à regarder jusqu'à la fin.
Le film part dans tous les sens, certains disent que c'est de l'art, moi j'appelle ça du n'importe quoi.
J'ai eu du mal à accrocher à l'histoire, c'est vieillot et un peu kitsch, par moment. L'humour est assez bon mais l'univers est trop particulier pour moi. Les décors semblent en cartons. C'est un film réussi mais je trouve qu'il ne traverse pas très bien le temps. Je n'ai pas aimé plus que ça.
Difficile d'évaluer ce film, sorte de "1984" sous acides, tant il est un ovni. Terry Gilliam déploie tout son talent graphique et son imaginaire débridé pour proposer un univers visuel complètement fou. Son monde écrasé par la paperasse est anxiogène, presque effrayant, et affreusement prémonitoire. En revanche, le scénario est un peu décevant. Il n'est qu'onirique, poursuite d'un rêve, et rend le film redondant et un peu ennuyeux.
« Brazil », une ville imaginaire à une époque indéterminée dans laquelle les êtres humains sont condamnés à faire fonctionner une machine bureaucratique inhumaine. Un fonctionnaire supérieur et zélé de cette administration va constater un beau jour une erreur aux conséquences insoupçonnables de cette organisation et va se mettre en tête de la réparer. Cette quête n’est pas guidée par un esprit de justice mais par la réparation d’une erreur d’un système qu’il pensait infaillible. Cette expérience et l’amour vont lui faire ouvrir les yeux sur la réalité du monde qui l’entoure sans pouvoir le changer et pire en finissant par se faire broyer par ce système malade. Terry Gilliam se battra contre les studios pour imposer sa fin bien loin des désirs de happy end de ses producteurs… comme un écho à son sujet, excepté que lui gagnera. Terry Gilliam égratigne sérieusement nos sociétés à travers cette peinture d’une société dictatoriale, kafkaïenne, bureaucratique et absurde. Même son Robin des Bois prenant les traits d’Harry Tuttle (Robert De Niro à contre emploi) sur lequel on fonde un espoir sera réduit à néant par le système ; sa fin imaginée comme une parabole autour de la paperasserie destructive est tout aussi sidérante que maline. Donc on est bien ici dans un monde déshumanisé où le système vaut pour lui-même et n’inclut pas l’Homme comme une fin mais comme un simple moyen ; un rouage dans une machine infernale ne pouvant être bousculée et conduisant à la décrépitude de l’Humanité. Ça ne vous rappelle rien ; peut-être alors Chaplin dans les engrenages d’une machine dans « Les temps modernes » ; on y dénonçait alors une autre forme de déshumanisation : l’aliénation de l’Homme par la machine, l’industrie et la production taylorienne. On peut aussi faire un parallèle encore plus ancien avec « Metropolis » de Fritz Lang ; ce thème est donc un marronnier du cinéma ; maintes fois traités, il l’est ici sur l’angle absurde grandiloquent comme chez Lang. Chez ce dernier, Gilliam emprunte aussi l’esthétique citadin mais aussi la rupture entre les univers fréquentés par les riches et ceux fréquentés par les pauvres ; pour mieux décrire ici aussi une société très inégalitaire. Cette esthétisme fera des petits dans la génération des Jeunet/Caro, Tim Burton, les frères Coen. Dans ce film aux intrigues à tiroir parfois nombreuses et confuses se dessinent aussi une autre condamnation de ces systèmes hyper administrés. Il dénonce l’écrasement de l’individu par un Etat policier. Et les messages du film à ce propos fusent sans cesse : « La suspicion engendre la confiance », « La confiance n’exclut pas le contrôle ». Dans un monde où le grotesque, l’outrancier et l’absurde devient la norme ; une personne censée est perçue comme folle. Ici, nous sommes loin du siècle des Lumières puisque la règle remplace la réflexion et que la norme remplace l’intelligence. A voir comme une référence des combats à mener. tout-un-cinema.blogspot.com