Avis sur Espèce Mutante

Ah Carnosaur 2... Que dire de plus que : JE T'AIME! Ce film a révolutionné ma vision du cinéma! On peut y voir Carnosaur 1 mais en pire... Impossible??? Mais si! Des Dinosaures Boxeurs! Des Dinosaures électriciens! Un adolescent qui pirate le système informatique d'une mine d'Uranium... Et oui Carnosaur 2 est une suite de faits tout à fait probables et logiques!

Cette fois la mention spéciale est à la scène de fin qui est selon moi une parodie de la scène finale d'Alien 2...
Notez tout de même que le T-Rex est apparut dans la salle sans raison et qu'à la fin il sort du mur sachant que les héros on prit un ascenseur sur 50m pour lui echaper... Comme quoi Peter Parker à eu des liaisons secrètes avec le Dr. Curt Connors...

Second volet du médiocre Carnosaur, cette suite ne reluit pas par son scénario, ni même par l'interprétation de ses acteurs. La réalisation est assez lente, les dialogues inutiles et la bande-son anecdotique. Que reste t-il à ce petit film ? Et bien plus grand chose, mis à part son côté divertissant. Une série B sans prétention qui n'apporte rien au genre.

Deuxième Carnosaur et deuxième fournée de dinos en caoutchouc ! Le scénario se révèle mieux construit que le premier opus (normal, on a plagié avec un zèle remarquable celui d'Aliens cette fois) ce qui n'empêche heureusement pas de multiples aberrations si chères à l'amateur de ce genre de production de seconde zone. Les dinosaures (les meilleurs acteurs du film) sont toujours autant mis en valeur dans ce survival très sympa qui se conclue sur un duel dantesque entre un Tyrannosaure et une pelleteuse conduite par un gamin ! Fauché mais jouissif !

Aussi nul que le premier, le seul truc qui a été amélioré, ce sont les effets spéciaux, et encore les dinosaures ne sont toujours pas ré pour son prédécesseur, les multiples défauts ridicules de ce long-métrage m'ont fascinés. Les acteurs sont quant à eux tous nuls. Encore une fois, il y a beaucoup de sang (dont une scène gore particulièrement dégueulasse) mais l'ambiance n'est pas très effrayante même si parfois elle demeure plutôt efficace à certains moments. La fin est alarmante tellement elle est ratée. Le pire, c'est qu'ils ont voulus faire un mélange de Jurassic Park et d'Aliens, le Retour (d'ailleurs honte à moi pour cette comparaison entre de tels chefs-d’œuvre et un tel navet) et ce jolie cocktail n'a pas trop fonctionné. Ça serra non pour le troisième opus, j'aime bien rire mais il y a des films plus intéressants à voir.

Une équipe de techniciens est envoyé en renfort dans une ancienne mine où d’étranges phénomènes se produisent. Une fois sur place, ils auront le malheur de tomber nez à nez avec des dinosaures.

Après un succès notable rencontré avec Carnosaur (1993), le célèbre producteur Roger Corman sauta sur l’occasion pour y donner une suite. L’ennui, c’est que cette Série B s’avère être du même acabit que la précédente, toujours aussi cheap et dont les apparitions des dinosaures n’interviennent pas avant les 30 premières minutes et encore… on les compte sur les doigts d’une main ! Il faudra réellement attendre les 20 dernières minutes que pour le film daigne enfin se sortir les doigts du cul, qu’il se passe réellement quelque chose et que les dinos apparaissent pour bouffer et attaquer leurs proies.

Une intrigue complètement navrante et torchée à la va-vite où l’on suit une équipe d’électriciens qui doivent intervenir pour réparer des câbles défectueux "J'ai jamais vu un court-circuit pareil de ma vie" s’exclame la nana du groupe. Quasi intégralement tourné au sein d’une usine que l’on tente subrepticement de nous faire prendre pour une installation minière (pour la crédibilité on repassera), le scénario de son côté pompe allègrement sur Aliens, le retour (1986) de James Cameron. A signaler enfin, la scène finale avec le Bobcat® dans le précèdent opus a été reprise ici avec cette fois-ci un chariot élévateur. A quoi aura t'on droit avec le film suivant ? Un combat entre un dino et un bulldozer ?

Carnosaur 2 (1995) édité en VHS sous le titre "Espèce mutante", s’avère toujours aussi navrant, un navet à réserver aux aficionados du genre, si vous aimez les dinos en caoutchouc qui donnent des baignes, vous devriez y trouver votre compte, car en dehors des 20 dernières minutes « divertissantes », il n’y a rien à en retirer.

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Si Carnosaur premier du nom a été, en un sens, un succès commercial, c’est grâce à sa piètre renommée qui lui ont permis de faire fureur dans les bacs (sorties VHS et plus tard DVD), et également à son faible budget d’un petit million de dollars, facilement rentable même quand on est un navet surfant sur la notoriété d’un autre (en l’occurrence, Jurassic Park). Il n’est donc pas étonnant de voir une suite déboulée aussi vite, qui tente de réitérer l’exploit de s’enfoncer un peu plus dans la débilité assumée. Seulement voilà, Carnosaur 2 va dépasser les limites à ne pas franchir, perdant au passage le « petit charme » que possédait l’opus précédent.

Bien entendu, il est inutile de pester contre le ridicule du scénario, les personnages clichés et mal joués, les effets spéciaux grotesques et les décors bas de gamme. Le premier film avait conscience de cela et en avait fait sa marque de fabrique, quitte à se faire descendre par les cinéphiles. Néanmoins, son parti pris de ne pas s’en cacher, de ne pas se prendre au sérieux sauvait un peu les meubles et en faisait un divertissement sympathique. D’autant plus que l’ensemble mettait en avant des effets gores à gogo pour rehausser le côté nanar du projet. Carnosaur 2 suit cette même logique, mais de manière bien maladroite.

Oui, les acteurs jouent mal. Oui, les situations sont toutes aussi ridicules les unes que les autres que nous ne pouvons les prendre au sérieux. Oui, les effets spéciaux sont catastrophiques et le film ne les cache jamais. Mais jamais, au combien jamais, nous n’arrivons à retrouver la jouissance du premier long-métrage. La faute principalement à la violence visuelle de l’opus précédent, qui semble totalement absent et ce malgré 2-3 séquences abordant ce ton. En n’ayant pas le plaisir sadique que procurait Carnosaur en faisant pleuvoir les morts sanglantes, il est difficile de s’intéresser à cette suite qui, sur le coup, n’amuse pas autant voire pas du tout. Au contraire, Carnosaur 2 ennuie, traîne un peu trop en longueur, et désespère par un happy end en contradiction avec la fin pessimiste du premier volet. Le tout servi par une mise en scène plate et dégueulasse niveau image. Il est vrai que le côté nanardesque de l’entreprise peut tenir éveiller jusqu’au générique de fin et pourra en divertir certains, mais nous sommes bien loin de ce qu’était le film d’Adam Simon.

Mais là où Carnosaur 2 se vautre, c’est par le biais de son scénario. Non pas que celui-ci soit d’une débilité profonde (et assumée ?), plutôt qu’il se présente comme un plagiat d’Aliens. Oui, vous avez bien lu : Carnosaur 2 est la copie conforme du film de James Cameron, reprenant chaque personnage, chaque scène, chaque réplique… Si vous n’êtes pas convaincus, voici des exemples (attention, ça va spoiler à mort à partir de là !) :
spoiler: -l’histoire qui suit un commando de sauvetage pénétrant dans une mine top secrète coupée du monde et avec qui les communications ont été coupées car tous les occupants ont été bectés par des dinosaures (même chose pour Aliens, les dinos remplaçant les xénomorphes et la mine une colonie sur une colonie lointaine) -un adolescent comme seul survivant du carnage (une fillette pour Aliens), dont va s’enticher le héros, ayant un fils décédé (une fille pour Ripley) -‘Monk’, personnage grande gueule qui balance des vannes et qui ne fait que gémir une fois le danger pointant le bout de son nez (Hudson dans Aliens) -l’hélicoptère qui s’écrase, le pilote se faisant attaquer dans son cockpit par un dino (le vaisseau dans Aliens, un xénomorphe à la place du dino) -le fait que les personnages se réfugient dans le centre de contrôle de la mine avant que celui-ci ne se fasse encercler par les dinosaures (même chose dans Aliens) -deux protagonistes qui ne pouvaient s’entendre et qui se sacrifient ensemble en faisant exploser une grenade (encore la même chose dans Aliens) -le combat final qui voit s’affronter un plus gros dino, le T-Rex, face à un personnage à bord d’une machine (Ripley combattant la Reine Alien) -une explosion nucléaire détruisant la mine et les dinosaures qu’elle abrite (sans commentaire…) En ayant Aliens en tête, il est impossible de ne pas pester devant Carnosaur 2. Car ce n’est pas en reprenant outrageusement un grand titre de la science-fiction horrifique (quoique que le film de Cameron est plus axé action) que l’on se montre ridicule dans le bon sens. Surtout qu’à aucun moment le film ne s’est présenté comme une parodie à la Scary Movie. Là, c’est juste honteux, étant donné que le plaisir n’est pas au rendez-vous de ce long-métrage.


Carnosaur 2 n’est pas le plaisir coupable qu’avait été le premier volet. Bien qu’il puisse se montrer sympathique les premières minutes, il donne l’impression de voir une version brouillonne et fauchée d’Aliens. Et rien que pour ça, cette suite ne mérite aucunement notre attention mais plutôt notre dédain. Un gros nanar, oui, mais qui ne remplit pas son cahier des charges.

En fait ce Carnosaur 2 c'est un mélange entre Aliens et Jurassic park, mais en mauvais. Bon il faut l'avouer ils ont fait un peu plus d'effort que pour le premier. Les dinosaures, malgré qu'ils soit quand même bien pourri, sont quand même mieux fait que dans le premier. Et la mise en scène ( toujours pas terrible quand même ) et aussi un peu meilleur. Mais sinon il y a rien a sauver, que ce soit les acteurs ou le scenario, c'est juste un mauvais film.

Mouhaha ! Au moins aussi bon que le premier ! J'aime ces coffrets z qui ne nous arnaquent pas sur la quantité ! On a là le plagiat le plus inavoué d'Aliens. L'histoire est la même, c'est juste les monstres qui changent (au lieu de beaux aliens tout frais, on a des raptors tout dégueu). Ils ouvrent les portes comme dans Jurassik park en plus. On a droit à quoi à la fin ? A un combat entre un gosse dans une pelleteuse et un tyrannosaure géant ! N'y voyez là aucune similitude avec la fin du navet de Cameron, nous, il y a plus d'action. Du Z costaud.

Je poursuis donc la saga Carnosaur, avec le 2. Il faut être honnête, le 1 n’était pas top, mais le 2 est pire. Il n’y a pas beaucoup à retirer de ce film.
Je commence par les acteurs. 1er point négatif. Sincèrement, il n’y en a aucun qui parvient à sortir du lot. Pour héros principal on a le droit à un jeunot fade et sans charisme. Sans doute convaincu et investi mais malheureusement terriblement dépourvu de talent. Il faut dire, à la décharge des acteurs, que pour être crédible niveau rendu des émotions, avec les créatures à l’écran, il fallait au moins être oscarisé ! Les personnages par ailleurs sont inintéressants, caricaturaux (scientifique fanatique, militaires gros bras…) et leur sort franchement ne nous fait ni chaud ni froid.
Le scénario de son coté se veut un poil plus réaliste que celui du 1. Mais à la limite, c’est là le problème. En effet le 1 pouvait faire rire de temps en temps, et se distinguer du tout venant par une histoire fantaisiste. Là c’est un survival classique, dont l’histoire à été maint fois vue et revue ailleurs, et très très souvent en mieux. Il n’y a aucune surprise, un manque de délire évident (en dehors peut-être des coups de boule du T-rex assez hilarants), et du coup le divertissement prend du plomb dans l’aile. Le rythme est par ailleurs mou, et le film ne se réveille vraiment que dans les 20 dernières minutes. En clair, on perd de la fantaisie pour gagner en lieux communs, poncifs et rebondissements téléphonés jusqu’au dénouement copié-collé sur le précédent épisode.
Sur la forme, que dire ! D’abord la mise en scène est dépassée. Je trouve que le réalisateur se débrouille vraiment pas mal, mais le pauvre il a tellement à faire pour cacher la misère totale de son film que c’est mission impossible. Par moment c’est plutôt bien fait (le combat final par exemple), mais malheureusement c’est très épisodique. La photographie est répugnante. Pire que celle du 1, pourtant déjà pas terrible. Les décors eux sont infâmes. J’ignore le budget de cet épisode, mais livrer un truc aussi mal foutu, c’est indigne. Tout ce passe dans un entrepôt ou un garage, et c’est tout ! Les effets visuels enfin. Les créatures sont globalement ratées. En dehors d’un T-rex pas si moche compte tenu du budget, les vélociraptors eux ne sont franchement pas terribles. A noter qu’ils apparaissent peu, mais alors leurs apparitions laissent des souvenirs marquants (dans le mauvais sens du terme il va de soi). Les effets horrifiques sont inégaux. Il y a des passages sympathiques (la mort d’un militaire, graphique et plutôt bien faite), mais globalement c’est très amateur. Même dans des films à budgets équivalents, et sortis à la même période on a pu voir beaucoup mieux. Enfin musicalement, il n’y a rien, comme ca c’est clair.
Que dire pour conclure ? Si le 1 était mauvais, le 2 est pire. D’abord car il a perdu en générosité. Beaucoup de longueur, peu de dinosaures en fin de compte, peu de gore, de l’action petit bras, c’est un point noir. Il perd en folie. Se voulant plus sérieux et réaliste que le 1, il amuse moins, même au second degré, et est très pauvre en humour. Enfin il est aussi mauvais, et parfois plus, sur le plan formel et du point de vue de ses acteurs, que le 1. On peut sans doute rire de quelques effets foireux, maintenant ce n’est pas l’intention du film, et donc objectivement, par rapport d’équité avec les autres films, je ne peux mettre que 0.5.

Si Carnosaur premier du nom a été, en un sens, un succès commercial, c’est grâce à sa piètre renommée qui lui ont permis de faire fureur dans les bacs (sorties VHS et plus tard DVD), et également à son faible budget d’un petit million de dollars, facilement rentable même quand on est un navet surfant sur la notoriété d’un autre (en l’occurrence, Jurassic Park). Il n’est donc pas étonnant de voir une suite déboulée aussi vite, qui tente de réitérer l’exploit de s’enfoncer un peu plus dans la débilité assumée. Seulement voilà, Carnosaur 2 va dépasser les limites à ne pas franchir, perdant au passage le « petit charme » que possédait l’opus précédent.

Bien entendu, il est inutile de pester contre le ridicule du scénario, les personnages clichés et mal joués, les effets spéciaux grotesques et les décors bas de gamme. Le premier film avait conscience de cela et en avait fait sa marque de fabrique, quitte à se faire descendre par les cinéphiles. Néanmoins, son parti pris de ne pas s’en cacher, de ne pas se prendre au sérieux sauvait un peu les meubles et en faisait un divertissement sympathique. D’autant plus que l’ensemble mettait en avant des effets gores à gogo pour rehausser le côté nanar du projet. Carnosaur 2 suit cette même logique, mais de manière bien maladroite.

Oui, les acteurs jouent mal. Oui, les situations sont toutes aussi ridicules les unes que les autres que nous ne pouvons les prendre au sérieux. Oui, les effets spéciaux sont catastrophiques et le film ne les cache jamais. Mais jamais, au combien jamais, nous n’arrivons à retrouver la jouissance du premier long-métrage. La faute principalement à la violence visuelle de l’opus précédent, qui semble totalement absent et ce malgré 2-3 séquences abordant ce ton. En n’ayant pas le plaisir sadique que procurait Carnosaur en faisant pleuvoir les morts sanglantes, il est difficile de s’intéresser à cette suite qui, sur le coup, n’amuse pas autant voire pas du tout. Au contraire, Carnosaur 2 ennuie, traîne un peu trop en longueur, et désespère par un happy end en contradiction avec la fin pessimiste du premier volet. Le tout servi par une mise en scène plate et dégueulasse niveau image. Il est vrai que le côté nanardesque de l’entreprise peut tenir éveiller jusqu’au générique de fin et pourra en divertir certains, mais nous sommes bien loin de ce qu’était le film d’Adam Simon.

Mais là où Carnosaur 2 se vautre, c’est par le biais de son scénario. Non pas que celui-ci soit d’une débilité profonde (et assumée ?), plutôt qu’il se présente comme un plagiat d’Aliens. Oui, vous avez bien lu : Carnosaur 2 est la copie conforme du film de James Cameron, reprenant chaque personnage, chaque scène, chaque réplique… Si vous n’êtes pas convaincus, voici des exemples (attention, ça va spoiler à mort à partir de là !) :
spoiler: -l’histoire qui suit un commando de sauvetage pénétrant dans une mine top secrète coupée du monde et avec qui les communications ont été coupées car tous les occupants ont été bectés par des dinosaures (même chose pour Aliens, les dinos remplaçant les xénomorphes et la mine une colonie sur une colonie lointaine) -un adolescent comme seul survivant du carnage (une fillette pour Aliens), dont va s’enticher le héros, ayant un fils décédé (une fille pour Ripley) -‘Monk’, personnage grande gueule qui balance des vannes et qui ne fait que gémir une fois le danger pointant le bout de son nez (Hudson dans Aliens) -l’hélicoptère qui s’écrase, le pilote se faisant attaquer dans son cockpit par un dino (le vaisseau dans Aliens, un xénomorphe à la place du dino) -le fait que les personnages se réfugient dans le centre de contrôle de la mine avant que celui-ci ne se fasse encercler par les dinosaures (même chose dans Aliens) -deux protagonistes qui ne pouvaient s’entendre et qui se sacrifient ensemble en faisant exploser une grenade (encore la même chose dans Aliens) -le combat final qui voit s’affronter un plus gros dino, le T-Rex, face à un personnage à bord d’une machine (Ripley combattant la Reine Alien) -une explosion nucléaire détruisant la mine et les dinosaures qu’elle abrite (sans commentaire…)

En ayant Aliens en tête, il est impossible de ne pas pester devant Carnosaur 2. Car ce n’est pas en reprenant outrageusement un grand titre de la science-fiction horrifique (quoique que le film de Cameron est plus axé action) que l’on se montre ridicule dans le bon sens. Surtout qu’à aucun moment le film ne s’est présenté comme une parodie à la Scary Movie. Là, c’est juste honteux, étant donné que le plaisir n’est pas au rendez-vous de ce long-métrage.

Carnosaur 2 n’est pas le plaisir coupable qu’avait été le premier volet. Bien qu’il puisse se montrer sympathique les premières minutes, il donne l’impression de voir une version brouillonne et fauchée d’Aliens. Et rien que pour ça, cette suite ne mérite aucunement notre attention mais plutôt notre dédain. Un gros nanar, oui, mais qui ne remplit pas son cahier des charges.

Aussi bien que le 1.Le trois lui-même est prometteur.