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    Le Bon Dieu sans confession
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    3,4
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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2018
    Quand on n'a commis un acte, il faut souvent en subir les consèquences! Avec "Le bon dieu sans confession" qu'il rèalise en 1953, Claude Autant-Lara signe son vingtième long-mètrage d'une carrière qui comporte dèjà que des classiques et des vedettes non moins cèlèbres! La principale originalitè de ce film mineur, d'après le roman « M. Dupont est mort » de Paul Vialar, est son procèdè narratif! Sinon rien de bien transcendent pour qui connait l'oeuvre prestigieuse de Autant-Lara! Mr Dupont a t-il bien fait de mourir ? A la sociètè d'hier, celle qui disparait, on aurait trouvè cela un blasphème! Ça n'en est pas un! C'est une contestation! il disparaît à temps, sans doute pour ne pas voir ce qui n'aurait pas su comprendre! Et ce même si le fils Dupont a jugè son paternel avec la duretè de son âge! On n'aime ou on n'aime pas! A prendre pour Danielle Darrieux en garce (on lui donnerait « le bon Dieu sans confession » comme le souligne son titre) ou à laisser pour Henri Vilbert en français moyen qui n'a jamais ètè un acteur de premier plan! En conclusion, on n'a pas toujours besoin de rencontrer une autre femme pour divorcer, il suffit souvent de regarder la sienne...
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2011
    Une bonne intrigue, un film plutôt bien mené, mais l'ensemble a plutôt mal vieilli... Les mœurs ont tellement évolué depuis lors...
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juin 2017
    Excellent classique français des années d’après-guerre. Le film est très habilement monté, avec des flash backs parfaitement organisés – ce que bien peu réussissent –, flash backs qui accrochent notre intérêt en permanence. Solidement et soigneusement réalisée, mais sans originalité, cette histoire d’une vache à lait foncièrement sympathique grugée par une « vertueuse » garce est remarquablement interprétée. D’abord par Henri Vilbert, à contre-emploi, ensuite par notre centenaire du cinéma français, pleine de charme vénéneux. À revoir avec un immense plaisir.
    Maqroll
    Maqroll

    131 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2010
    Un bon film français (mais pas forcément « à la française ») des années cinquante signé de cet auteur inégal mais souvent intéressant et parfois passionnant qu’est Claude Autant-Lara. C’est le récit, un peu à la Mauriac, d’un homme pris dans une trame sociale dont il cherche à s’enfuir avec ses défauts et ses faiblesses mais aussi avec un certain courage et finalement des principes, qui va jusqu’au bout de lui-même et finit par en mourir. L’idée originale du film (et du roman dont il est tiré) est de partir justement de cette mort pour construire une tentative d’explication par une succession de retours en arrière où chacun de ses proches exprime son ressenti envers le disparu et apporte un éclairage à ce qui s’est passé. Dans un rôle de garce exceptionnel, Danielle Darrieux montre un talent incontestable tandis que dans le rôle principal, Henri Vilbert est d’une solidité remarquable. La mise en scène d’Autant-Lara est juste, discrète et donne à l’ensemble un label de qualité.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2010
    Une des oeuvres les plus méconnues et pourtant certainement une de celles qui fait le moins "qualité française" de Claude Autant-Lara. Le réalisateur fait preuve d'une indéniable originalité dans le paysage cinématographique français en utilisant une structure narrative qui n'est pas sans rappeler Mankiewicz. Plus sobre qu'à l'accoutumée, Claude Autant-Lara se montre pourtant d'une férocité exemplaire à travers ce qu'il aime critiquer le plus : l'hypocrisie bourgeoise. De plus il a le mérite de laisser sa chance au comédien Henri Vilbert, qui sert habituellement de seconds couteaux, de montrer l'étendue de son talent dans un rôle de premier plan très émouvant. Danielle Darrieux n'est pas en reste non plus en étant totalement à l'aise dans celui d'une garce finie. Un des meilleurs films du réalisateur.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2017
    Très bon film qui met au cœur du récit un homme aveuglé par l’amour, foncièrement bon, aimé mais dont la mort va révéler des secrets lourds dont il ne pouvait supporter le poids.
    Le film est une vision globale de sa vie et des événements qui ont mené au drame.
    Passionnant et passionné.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mars 2018
    En 1953 avec "Le bon Dieu sans confession", Claude Autant-Lara retrouve Danièle Darrieux après l'ébouriffant "Occupe-toi d'Amélie", adaptation d'une pièce de Georges Feydeau, sorti quatre ans plus tôt. Danièle Darrieux souhaite alors sortir définitivement de son image d'ingénue construite en autre par Henri Decoin son premier mari qui commence à lui peser. L'occasion va lui en être donnée avec ce rôle de femme vénale incapable d'arbitrer entre son amour pour son époux désargenté (Ivan Desny) et son goût irrépressible pour la vie facile que lui apporte sa liaison platonique avec un petit patron au cœur d'artichaut (Henri Vilbert). Le tout se déroule en partie pendant l'Occupation, ce qui permet à Claude Autant-Lara qui adapte ici un roman de Paul Vialar ("Monsieur Dupont est mort") de fustiger à travers cette étude de mœurs l'opportunisme d'une partie de la bourgeoisie qui n'a songé qu'à tirer profit de la présence des allemands sur le sol français. Mais c'est aussi le portrait d'un homme trop naïf et sincère qui s'imagine que les principes qui le guident seront récompensés de réciprocité. Henri Vilbert, acteur de seconds rôles crève l'écran (sa ressemblance avec José Garcia est ici frappante), étant parfaitement dirigé par un Autant-Lara très inspiré qui lui a fait gommer les excès de sa faconde méridionale pour lui donner toute l'humanité nécessaire au rôle. Quelques scènes sont bouleversantes notamment celle où François Dupont (Henri Vilbert) reçoit avec une empathie en décalage avec son époque, la confession de sa fille (Isabelle Pia) qui lui annonce sa future maternité. L'acteur a d'ailleurs reçu pour ce rôle le Prix d'interprétation à la Mostra de Venise en 1953. Danièle Darrieux avec le charme qu'on lui connait démontre de son côté qu'aucun rôle ne pouvait passer à côté de son talent et réussit ainsi son pari . On retrouve aussi avec plaisir mais pour un petit rôle l'inénarrable Julien Carette compagnon de route fidèle du réalisateur. Autant-Lara qui n'avait pas son pareil pour mélanger légèreté et gravité a choisi la narration en flashback dont il évite avec dextérité tous les pièges. Au risque de se répéter, on ne dira sans doute jamais assez que les tombereaux d'injures qui lui sont tombées dessus avec l'avènement de la Nouvelle Vague ont été injustes, expliquant peut-être sans les excuser ses dérapages des années 1980, où il n'était plus qu'un homme amer.
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    7 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2017
    Dans l'ensemble un bon film avec une structure un peu originale, ménageant un certain suspense. Malheureusement, comme beaucoup de films français de cette époque, il a un peu vieilli, notamment la diction et le personnage de Ivan Desny assez insupportable; par contre Danielle Darrieux joue très bien et le personnage d'Henri Vilbert est très humain. Par contre l'attente de François Dupont, se faisant repousser sans cesse et n'obtenant que des baise-mains me semble quelque peu irréaliste.
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